Périphrase

incompétence du traducteur . détails historique : Charles IX à Rouen "Je" caution du "je" : j'y étais et ça n'était pas parfait c) La parole donnée aux Indiens Récite rendu vivant par la présence de cette parole. . terme de "moitié" . périphrases : effet produit => le lecteur essaie de décoder la parole des Indiens en mêm temps que Montaigne. "Pour les Suisses de la garge" : Suisse = Hommes grands . débat sur la manière dont il faut appeler le chef. Roi ? Capitaine ? . parenthèses nécessaire

n°2 Supplément au voyage de Bougainville Problématique : Pourquoi cet extrait rend-il la conquête de la liberté des philosophes plus forte ? Axe I – Un message qui a un impact 1-Le vieillard est le porte-parole de Diderot Avec la périphrase «Je touche à la fin de ma carrière» (l.9), on apprend que le personnage est âgé, et avec la phrase «je ne la verrais point» (l.9), on remarque que le vieillard es t visionnaire mais ne sera plus de ce monde dans le futur. Quand il parle de «calamité»

La Nature est divine. La périphrase « esprit créateur » désigne justement la Nature. On lui attribue d’ailleurs « une vie divine ». En rattachant le divin à la vie, Goethe fait référence à une conception panthéiste de la Nature puisque la vie devient l’objet du divin. L’homme fait partie d’un plus grand tout, un tout créateur et divin. Ceci s’accorde justement avec le parallèle fait entre l’infini et la Nature. * La Nature comme exutoire du poète : * La périphrase « ce qui fait la félicité

nacre »de luis de Gongora(plan detaillé) I)l’idéalisation du sentiment amoureux et de l’etre aimé(un sonnet galant) 1°la description de cloris a)cloris =reifiée en bijoux « nacre »=métaphore de la peau de Cloris Periphrase= « nacre articulée »->designe le doigt de cloris Periphrase= « ivoire indien »=peau de Cloris Métaphore= « pourpre »=sang de cloris Bilan=Cloris=joyau b)Cloris=déifiée « sang divin », « sacrilege »(terme blasphematoire)->Cloris=divinité Fin du sonnet=Cloris placée au dessus

___________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________2. Quelle périphrase utilise-t-elle pour désigner les adultes p.75 ? Pourquoi ?__________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

texte)4ème étape  : ANALYSE LINÉAIRE 1er mouvement : ……………………………………………………………………………………………………………………………………………….CPIL1 « Les mères, les filles, les soeurs »L1 « représentantes de la nation »L1 « demandent »Énumération de périphrases au pluriel qui renvoient à la femmepériphraseVerbe au présent>tisse des liens familiaux, fraternels entre les femmes + affirme l’existence d’une union féminine. ODG s’inclut dans cette énumération et apparaît comme leur porte-parole.NB – différences

soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses -----Le jeu des antithèses Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du

frustre, grossier s’esquisse en contraste avec l’image de l’albatros. Importance de l’Albatros, non en communauté mais seul : -De grandes périphrases : v.2 « vastes oiseaux des mers », v.3 « indolents compagnons de voyage ». -Symbiose entre l’oiseau et le milieu : ❖ épithète « vastes » v.2 , ❖ périphrases « ces rois de l’azur » v.6 et « voyageur ailé » v.9, -Climat de bien-être et de nonchalance : ❖ rythme et sonorités : effet d’allongement

dévoilement. - Suspens renforcé par « réponse négative » l.11 - Dévoilement du mal à la toute fin : dernier mot = « peste » (1seule occurrence). Avant, celle-ci est désignée par des périphrase telles que « ce mal curieux » l.28, « véritable épidémie l.28-29, « elle » l.41, « ce que c’est » l.43. ces périphrases anticipent le fin mot, et participent au dévoilement progressif. - Castel est présenté comme le messie qui amène la révélation : « beaucoup plus âgé » l.30 (signe d’expérience et de sagesse

univers soumis à de fortes tensionsA- Le jeu des antithèses-----Le jeu des antithèsesLe poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du