Périphrase

II­ Un univers soumis à de fortes tensions    A­ Le jeu des antithèses  ­­­­­Le jeu des antithèses  Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant  l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du  vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : ­ les " ailes " du vers 7  qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; ­ la beauté du  vers 10 ? la laideur du vers 10 ; ­ du vol royal (vers 3)

monarchique », aux vers 24 et 26 « Jupin en a bientôt la cervelle rompue » « Le monarque des Dieux leur envoie une grue » et au vers 30 où il annonce la morale « Et Jupin de leur dire : ». La Fontaine n’hésite pas à montrer sa supériorité grâce à la périphrase « Le monarque des Dieux » et l’utilisation du verbe soumettre « les soumis » (v.4). Les personnages principaux de la fable sont des animaux « Grenouilles » (v.1) « Grue », qu’il fait vivre à travers une personnification des grenouilles « Donnez-nous

Phèdre est une tragédie de l’âge classique et l’on ne saurait s’étonner d’y trouver des périphrases, ou d’autres figures de l’atténuation. Dans la mesure où nous avons parlé de refoulement, comment s’étonner que l’objet de ces diminutions soit l’amour, la sexualité, et pour finir, soi-même ? On peut ainsi faire le soit disant « départ » entre les périphrases que l’on dira "classiques". Les périphrases ou les atténuations plus récentes, plus négatives aussi, qui attirent d’autant plus l’attention

soleil et du poète car tous les deux au centre • GN péjoratifs : « vieux faubourgs; aux masures »—> donnent un aspect abord péjoratif • PSR + rejet du substantif : « persiennes »—> mettent en valeur les environs et le verbe « pendre » • Périphrase : « abri des secrets luxures »—> description insiste essentiellement sur la misère sociale et donc à la misère morale • PS CCT + COI + préfixe : « Quand le soleil frappe cruel ; a trait redoublés; re »—> personnifie et représente une violence

Folle de l’Alma » (l.9-10). ═► Le tragique, le lyrisme, et le pathétique soulignent alors le didactique. II- Les personnages. 1°- Aurélie. ● Nomination : Nommé par la périphrase, grâce au jeu des didascalies : « La Folle » : Il s’agit, en fait d’Aurélie. Désignée également par la périphrase placée en apostrophe : « Madame » (l.5). Désignée aussi par le pronom personnel de la première personne du singulier, aux fonctions de : Sujet : « Je » (l.11). Déterminant possessif : « Mon »

censurer la geste des amours, moins glorieuse, indigne selon lui (v. 83 à 94). 2) Phèdre et la parenté fatale Phèdre intervient d’emblée dans le discours d’Hippolyte à travers la célèbre périphrase jugée inepte par un personnage de La Recherche : "La fille de Minos et de Pasiphae" (v. 36). Une périphrase qui dit tout pourtant de Phèdre, et de l’intrigue qui va naître : Phèdre n’est évoquée par Hippolyte qu’à travers son ascendance, qui signe aussi sa contradiction : – Minos incarne

doté d’une langue spécifique et élitiste. Il y a des efforts à faire une poésie française pour les élites et enrichir du langue et du style, établir de strictes règles de la versification, on voit un usage de figures de rhétorique (métaphores, périphrases, comparaisons). Un poète moins connu du XVIe siècle Langier de Porchères, un contemporain de Malherbe, a écrit pour Gabrielle d’Estrées un sonnet galant où on peut aussi remarquer les signes de la poésie précieuse. Connotations historiques des

de l'imitation. Il meurt à Versailles en 1696.Type du texte: descriptif.Structure du texte: Pas d'introduction ni de conclusion.I un regard étranger:1 la non identification du pays.- Champs lexical de l'anonymat (ceux qui habitent cette région)- Périphrases lignes 15 et 16 : Perruque qui symbolise l'hypocrisie car visage caché.2 - les énonciations (effet de miroir) dans la première phrase: jeunes opposés à vieillard.- redondance- construction en parataxe- il connote les vieillards3: l'étrangerpériphrases

conduite et de ses actes, on peut parler ainsi d'une identification à un personnage biblique. La Lionne est désignée par « La Reine » (v.26), « l'apppât » (v.55). On peut observer que pour désigner la lionne, Jean de La Fontaine utilisent deux périphrases dont « La femme du Lion » (v.1) et « Votre digne moitié » (v.41). Les pleurs des animaux obéissent, en effet, à une logique, qui est celle qu'il plaît au prince (v.19), il est important de paraître pour plaire au Roi. La désignation d'une victime

cela montre que même une femme qui partait de rien peut servir exemple, mais, Nana est aussi comparée à une ‘’ marquise des haut trottoirs’’, cette citation est une périphrase péjorative associée à un nom commun mélioratif et cela est une condamnation esthétique de l’auteur, car, ici le nom commun mélioratif est ‘’marquise’’ et la périphrase péjorative est ‘’ des haut trottoirs’’, l’auteur compare Nana a une marquise car elle est chic et a une vie luxueuse mais il dit ‘’ des haut trottoirs ‘’ car c’est