Périphrase

d) Figures de substitution. ● La périphrase. - « les sages du pays » (l. 2). [Cette périphrase désigne les théologiens catholiques de l’université de Coimbre.] - « des appartements d’une extrême fraîcheur, dans lesquels on n’est jamais incommodé du soleil » (ll. 13-14). [Cette périphrase ironique, qui désigne un cachot, est, en même temps, un euphémisme.] - « les deux hommes qui n’avaient point voulu manger de lard » (ll. 22-23). [Cette périphrase, employée à la place de « deux Portugais »

L'amante de Céphale- Vincent Voiture 1er quatrain: D’emblée, à travers la périphrase "l’Amante de Céphale" [1], se pose le contexte amoureux. L’amante de Céphale, prince Thessalien, désigne Eos, la déesse de l’Aurore, Tétanide soeur d’Hélios, le Soleil, donc l’Aurore elle-même. Cette périphrase est également l’occasion de présenter le monde, l’univers comme animé, personnifié, selon le mode mythologique. Une déesse est aussi un élément naturel, et un moment, de l’univers. Pour bien comprendre

justice : Ligne 9à 10 : La critique dont on devient magistrat → achète sa charge puis on a le droit de faire ce que l'ont veux sur autrui. « Le droit de faire ces expériences sur son prochain » = périphrase → droit de torturer. Expérience → Test = Faire avancer les connaissances. C'est une périphrase ironique car elle présente de façon positive un acte négative. Autrui : «  Son prochain » vocabulaire chrétiens. Son prochain implique la fraternité, proche or c'est tout le contraire de la torture

soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses -----Le jeu des antithèses Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du

fidèles ne comprend pas : périphrase « jargon formé d’une ancienne langue », avec l’emploi du terme à connotation péjorative « jargon » (terme péjoratif désignant la langue réservée à une catégorie de personnes, généralement hermétique pour les autres. Le terme « ancien » souligne le côté vieux et dépassé de cette pratique (dire la messe en latin) qui n’est plus adaptée aux temps nouveaux.  Voltaire vise directement les cardinaux et les évêques à travers des périphrases qui les réduisent à la couleur

aux hommes d’église leur goût pour l’argent, la fortune et le pouvoir. Il utilise des périphrases pour désigner cette hiérarchie ecclésiastiques qui sont une manière de la refuser : " ceux dont l’habit est teint en violet " (évêques) " ceux dont l’habit est teint en rouge " (cardinaux) " quelques fragments arrondis d’un certain métal " (argent) " un jargon formé d’une ancienne langue " (latin) Ces périphrases de plus, dévalorisent ce dont il est question : " jargon " Ligne 14, " petit tas de

contrée ») périphrase qui désigne les hommes. Le fait qu’ils ne sont pas directement nommé montre que le narrateur est un étranger L663 énumération de terme péjoratifs (« pas net » « confuse » « embarrassé ») montrent les defaults des hommes L664 périphrase  (“épaisseur de cheveux étranger”) comme s’il ignorait le mot perruque a recourt à une périphrase qui ridiculise ce qu’il apporte

: vers 5 ® réduit par la métonymie. A partir de ce vers, on est obligé de se recentrer sur l’univers étriqué des Hommes. Ce recentrage réapparaît dans la dernière strophe. 2) Les personnages a) Les marins : - « hommes d’équipages », périphrase qui suppose déjà qu’ils sont une communauté et cela tout au long du texte. Il n’y a jamais d’individualité ce qui suggère un comportement grégaire. - « pour s’amuser » = but des hommes qui ont besoin de tromper l’ennui. Mais le divertissement

cela nous indique que quand l'albatros est à terre l'oiseau reste faible , maladroit et , incompris des hommes . III. La comparaison du poète a l'oiseau L'albatros est désigné par les expressions suivantes : des périphrases aux vers 2, 3, 6, 9, 13, 19 de périphrase en périphrase, c'est tout l'aspect majestueux de cette oiseau qui est évoqué . La dernière strophe expose la comparaison entre le poète et l'albatros. C'est la même souveraineté dans la solitude mais c'est la même déchéance lorsqu'il

plan matériel : RICHE Hyperbole «  les immenses possessions » Anaphore de «  tous, toutes » l.5 à 7 Adverbe «  fortement » Pluriel l.3 Périphrase valorisante sur le plan social «  un homme de considération » . L.9 Pauvre Phrase négative l.32-33 dénuement financier . Locution adverbiale «  a peine » Singulier l.4 Périphrase dévalorisante «  un misérable » 2/ Antithèse sur le plan humain Riche «  oisif »l.21 Qui se fait servir, qui est assisté Cf chaise à