Périphrase

société autour de celle-ci. La déchéance de Fantines'inscrit tout d'abord dans un registre pathétique. L'auteur utilise des périphrases pour désigner son personnage : "La pauvre" (l4) ; "L'infortunée" (l37). Par la suite, nous pouvons voir qu'Hugo adévelopper un champs lexical de la misère : "maladie", "vieux", "pleurer", "douleur", "plaignait" ... Ces périphrase et le champs lexical mit en place par l'auteur renforce l'atmosphère de misère installéeautour de Fantine. La déchéance de Fantine

seize la comparaison entre le poète et l’albatros. Mouvement 1: L’albatros, le jeu des hommes V1 «s’amuser»«prennent» → marins décrit comme cruels V2 hypallage et une périphrase «vastes oiseaux des mers» → vaste = oiseaux + mers > insiste sur la puissance de l’albatros et sur la grandeur de la mer . V4 métaphore «gouffres amers» → vagues = tempête/climat

derrière son désir de l'oublier. Ensuite, un amour véritable ne peut pas se multiplier. L'amour qu'elle a pour Thésée reste intact, ce qui suggère que l'amour qu'elle éprouve pour Hippolyte peut être une intervention des forces divines. Cette périphrase aboutie l'amour incestueux de Phèdre a une Illusion possiblement établie par les dieux : « Toujours devant mes yeux je crois voir mon époux » 629. Sachant que son conjoint est aux enfers, ce passage suppose que Phèdre ne fait que superposer l'image

refus de soumission, de la position d'esclave   expression de sa liberté -         interpellation, apostrophe : le prendre à parti pour le faire culpabiliser "malheureux" -         périphrase proche de l'insulte "empoisonneur de nations" -         périphrase dévalorisante "homme en noir" (prêtre) -         périphrase "tes petits œufs de serpents" (perles, verroterie) référence biblique au serpent      symbole du mal, de la tentation donnée par les occidentaux aux Tahitiens -         répétitions

 Voltaire l’être humain n’est qu’un petit atome Nous avons ici on ton pascalien  reconnaissance et gratitude L’être humain est corrompu par l’esprit originel  Voltaire dit « je » mais le « nous » prend vite la place  « péché originel »  périphrase Sentiment très chrétien « Tu ne nous as point donné un cœur pour nous haïr »  opposition entre cœur et haïr  la haine n’a pas sa place dans un cœur humain « les erreurs » = préfixe du péché originel « Fais que nous aidions… »  l’entraide

chez le spectateur. -Pontagnac insiste avec des tirades ; «  Qu’est-ce que ça prouve, le mari ? […] C’est l’artiste de l’amour. Le mari n’en est que le rond-de-cuir » l24, l 25 - l26 « l'artiste de l'amour » On trouve un comique de caractère et une périphrase comique, Pontagnac est un véritable Don Juan. Pas une fois il ne lui déclare son amour, mais se contente de l'inciter à tromper son mari, sous prétexte qu'elle ne l'aime pas. B : Le jeu théâtral - l 6-7-9-10, Beaucoup

monde ancien » ? Strophes de 2 vers + alexandrins présents Structure :V1-v2 : situation initiale V3-v4 : Elément perturbateur V5-v20 : Péripéties où c’est la sorcière qui demande son propre châtiment lors de son procèsExplication linéaire :V1 : - périphrase « sorcière blonde » = loreley - oxymore « sorcière » / « blonde » => mal / angélique V2 : - topos femme fatale : cruauté « tous les »

antithèse entre question sur les avantages et les réponses (négatives) (mépris + marqué, dédain+ signalé → entre avant/ après, dépréciation (manque de valeur ) des femmes n’a pas cessée) – postambule = comparaison avant/ après– « siècles de corruption périphrase= l’ancien régime (avant 1789)→ négation restrictive « vous n’avez régné que sur la faiblesse des hommes = pouvoir limité : illusoir, séduction et désir suscité chez les hommes = femme objet– phrase suivante, question rhétorique, réponse attendue :

par le langage : « subterfuges », « sophismes ». Voltaire sait aussi utiliser les moyens éprouvés de l’anthropomorphisme des fables. Ainsi, les animaux n’ayant pas les mots pour désigner des réalités qui ne font pas partie de leur univers, les périphrases sontelles nombreuses : « cette espèce de grange qui est près de notre poulailler » désigne une église ou un temple, qui apparaissent ici sous un jour trivial qui désacralise le lieu de culte. Les conséquences sont les mêmes pour l’« homme qui

remarque un degré de contradiction dans le personnage. _Dans cette manière, Tartuffe prend soin, avec ruse, d’évoquer le « Ciel » v.936 (avec une maj. emphatique) ou par périphrase « l’auteur de la nature ». Il atténue l’intensité de ses compliments par un vernis de religion. _Il fait référence à la ruse du malin par la périphrase : « noir esprit » v.946 _Il se désigne par la métonymie religieuse de « mon cœur » v.947-952 : il est un cœur qui se « confesse » et se constitue une « offrande » qui formule