Périphrase

« jouissance »l.6, « plaisir »l.11, qui s’oppose à celui de la souffrance: « amertume »l.7, « douleurs »l.7, « regrets »l.10. L’enfant doit pratiquer l’épicurisme: « goûté la vie »l.12 le reflète très bien. Ensuite, une éducation insouciante. La périphrase: « ces petits innocents »l.5-6, donnent un caractère naïf aux enfants. Rousseau ne souhaite pas qu’on les accable de peines, de maux… dès leur plus jeune âge, car ils en auront bien assez tôt de toute manière; c’est ce qu’est dit dans le dernier

Langage précieux, littérature précieuse: La figure de style proprement précieuse est la périphrase. Les Précieuses cherchent à se distinguer du commun par le langage: la périphrase le permet car elle n’est compréhensible que des initiés. Elle a l’avantage de donner une tournure plus littéraire à une expression simple. Comme: L’exagération, l’hyperbole, les métaphores, les superlatifs, la personnification… La périphrase peut aussi permettre d’éviter d’utiliser des mots trop populaires ou considérés comme

hommes d’équipage » : terme vague personne n’est décrit avec « Prennent des albatros » : oiseau=objet / première et seule locution du terme « albatros » / enjambement mettant l’accent sur … « Vastes oiseaux des mers » : périphrase désignant l’albatros« Compagnons de voyage » v3 : périphrase désignant l’albatros« Qui suivent indolents » : attitude passive des oiseaux« Equipage » «

soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses -----Le jeu des antithèses Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du

prépositionnel suivant (cf. épiphore), suppose un implicite douloureux (= pas pour autrui). La répétition du groupe « elle seule » insiste sur la solitude du poète (mais cela s’intensifiera par la suite, notamment par le retour à l’inquiétude à travers les périphrases) et sur la symbiose miraculeuse du couple. En effet, l’adj. « seule » a ici une valeur adverbiale (après un pronom accentué) ‘se dit d’une personne qui réalise l’action à l’exclusion des autres’. — dans cet hémistiche, allitération en è. Son

solennel, autoritaire: utilise d'abord subjonctif à valeur d'impératif, puis l'impératif « venez, voyez, parlez » = rythme ternaire, voussoiement. Périphrases: tout ce qui respire, ma grandeur: lourd, touffu, épais, formules longues. * Singe est un personnage de comédie, qui ressemble à l'homme: coté signiesque, difforme « mes 4 pieds » (périphrase) , il parle d'abord de son corps, il semble très content de lui. * L'ours, est mesquin, méchant: discours pléthorique et malveillant. Redondant: glosa

dissimule par plusieurs moyens : - les personnages sont désignés majoritairement par des périphrases visant à les nommer en plusieurs mots par exemple au vers 5 « votre amante » , au vers 6 « compagne du péril » ou au vers 36 « la veuve de Thésée » référence à Phèdre. Hippolyte est quant à lui désigné au vers 34 par la périphrase « Digne fils du héros qui t’a donné le jour ». Cette utilisation de périphrases permet de créer un effet de flou quant à l’identité des personnes - Jean Racine attribut

de but, de cause, de conséquence, symboles d’une argumentation rationnelle : « Pour (l.2, 3), à cause (l.3), car (l.8) ». Présence d’un exemple ciblé, précis auquel l’auteur dit avoir assisté, d’où la promesse de réalisme : La périphrase : « Avant-hier » (l.1) ancre le récit dans une temporalité vécue par Montaigne, tout comme l’emploi des temps du passé, qu’ils soient passé simple : « Je vis » (l.1), imparfait : « Conduisaient (l.2), était (l.3), soutenait, marchait (l.4), gazouillait

vulgaire est très important chez le duc. Répétition au vers 3 de « patience (…) patience » qui montre que Lorenzo souhaite calmer le duc et le faire patienter. Cette répétition nous informe que le duc est impatient. Nous pouvons aussi observer une périphrase « Altesse » qui montre que Lorenzo est très respectueux envers son cousin, le duc. Nous pouvons observer par la suite un second juron au vers 8 « entrailles du pape ». L’emploi de ce second juron renforce cette idée d’un duc vulgaire et sans patience

soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses -----Le jeu des antithèses Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du