Périphrase

et surtout la science de l’Homme » (l.1 à 2). Le passage du pluriel au singulier démontre que la capacité à apprendre de l’Ingénu lui donne la possibilité de se spécialiser et ainsi d’obtenir des savoir plus poussés. On peut supposer ici que la périphrase « science de l’Homme » peut faire écho à la philosophie. Le texte nous propose ensuite un nouveau marqueur de rapidité aux lignes 2 et 3 « La cause de son développement rapide de son esprit était due à son éducation sauvage ». Ici l’on constate

même temps, il y a deux accusations ici : le roi est manipulateur et menteur mais le peuple est naïf et bête. Périphrase désignant la déflation. Le lecteur doit saisir l’ironie et cela le fait sourire. Structure de la phrase avec proposition subordonnée exprimant l’hypothèse et proposition principale séparée par une virgule qui donne une impression de rapidité. Nouvelle périphrase désignant l’invention du billet. Parallélisme de construction avec la phrase précédente. Impression de répétition

peints en action (verbes de mouvement + v2/11/12) caractérisé par un terme vulgaire « brûle-gueule » = monde trivial/contraste avec l’A. importance apportée aux A = périphrases (v2/3/4) + faible valeur descriptive des adj. quali. (« vastes ») « vastes » v2 = envergure de l’oiseau + harmonie albatros/son milieu (infini de l’azur) + périphrase « roi de l’azur » v6 et « voyageur ailé » v9 rythme + sonorité = mettent en valeur l’harmonie de ce vol allongement crée par les « e » muets v3/4 où prédominent

indications temporelles / « longtemps » / réalisme de la scene. • le narrateur expose un point de vue interne / CCT « aussi longtemps que le courage » / héroïsme de Manon. • registre pathétique / marque de sensibilité « courage » « amante incomparable » périphrase / émouvoir le lecteur avec des notes élogieuses et affectueuses pour Manon • la bravoure semble sublimer l’amour des amants / adverbe de manière « constamment » / traduit le refus de Manon a abandonner malgré son épuisement. • l’auteur crée une

penser à un jeu de quilles. d) Utilité de la guerre La guerre élimine les « coquins qui infectaient la surface » La guerre a une fonction utile, c'est une entreprise hygiénique. Elle permet au héros d'assouvir leurs besoins naturels » (périphrase mise pour « violer »). e) Narrateur omniscient (« au dessus »/ »sur ») qui se cache au dessus du regard de Candide = c'est le philosophe Voltaire qui prend du recul par rapport à la scène, comme nous allons le voir (transition avec l'axe suivant)

est mis en avant par une périphrase : «le père et le maître des dieux» (v.1275). Elle ne peut donc rien laisser inaperçu. Elle se demande alors où elle peut se cacher (v. 1277). Elle présente son désir de mourir comme une façon de fuir vers les enfers : «fuyons dans la nuit infernale» (v. 1277). Cependant, Minos, le père de Phèdre, en raison de sa sagesse, «tient entre ses sévères mains l’urne fatale» (v. 1278 et 1279) à l’entrée des enfers. «L’urne fatale» est une périphrase qui représente l’urne où

obscure" | Dans ce vers il y a deux mots qui s'opposent, palais lieu brillant et chic alors que grotte lieu sale.Pour Alcandre, la grotte est un palais, les contraire se rejoignent, c'est étrange. | Périphrase méliorative | Vers 21 : "Ce fils, ce cher objet de mes inquiétudes," | La périphrase méliorative accentue les sentiments du père pour son fils. Il est désespéré, il n'a pas vu son fils depuis 10 ans. | Métaphore filée du théâtre (double sens du vers) | Vers 4 : "N'ouvrant son voile épais

cultures sont trop éloignées. Le poète doit donc s'exiler, être seul et cette singularité s'est cristallisée dans le symbole de l'albatros. L'albatros est désigné par les expressions suivantes : des périphrases au x vers 2, 3, 6, 9, 13, 19 qui ont toutes une valeur emphatique : de périphrase en périphrase, c'est tout l'aspect majestueux et souverain qui est déployé. La dernière strophe développe la comparaison entre le poète et l'albatros. C'est la même souveraineté dans la solitude mais c'est la même

qui est, l’amusement et la distraction des « hommes d’équipage » qui est une périphrase pour désigne les marins, sujets de l’action. L’enjambement au deuxième vers, commençant par « Prennent des albatros », insiste sur le fait que la capture des oiseaux n’est en fait, qu’un jeu pour les marins, mais aussi, une cruauté pour les albatros qui sont décrit comme majestueux dans la continuité de ce vers grâce à une périphrase ainsi qu’un hypallage, « vastes oiseaux des mers ». De ce fait, au troisième

fortes tensions A- Le jeu des antithèses -----Le jeu des antithèses Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du