Personnification De La Foret

métaphore est une comparaison sans élément comparatif. p.55 : « Le soleil de 4 heures n’était pas trop chaud, mais l’eau était tiède, avec de petite vagues longues et paresseuses. Personnification : des vagues longues et paresseuses pour des vagues lentes et calmes La personnification est une métaphore qui représente un objet inanimé comme s'il s'agissait d'un être humain. p.56 : « J’avais laissé ma fenêtre ouverte et c’était bon de sentir la nuit d’été couler sur nos corps

le paysage romantique. (contrairement aux réalistes). Paysage composé de : "lac", "roches", "rivage", "flots", "grottes", "forêt", "riant coteaux". Paysage contrsaté avec des émotions fortes : -contraste entre ce qui communique les sentiments et les impressions. -contraste entre le sauvage et le rassurant =>"eau"/"pierre" ; roche(mineral)/forêt(végétal) ; "forêt sauvage"/"riants coteaux". Cf: Paysage décrit par Jean jacques Rousseau dans Les rêveries d'un promeneur solitaire 2)Paysage

adverbes qui marque le renouvellement : « toujours, sans cesse » sous-partie 3 : une nature diversifiée et personnifiée personnifications : v.6-9-14 anaphore de « sur la face » +v.1 Tous les éléments de la nature sont convoqués : l'eau « mer, fleuve », la terre « roche, monts », l'air « les vapeurs, les nuées », le feu « soleil », minéraux « montagnes », végétaux «bois, forêt » nature grandiose + hyperbole : v.16 « immense et radieux » v.14 « le soleil joyeux » Axe 2 : L'homme sous-partie

cependant il y a seulement François Paradis, le coureur des bois, qui est dans le cœur de Maria. Malheureusement pour elle, ce dernier s’était tué en essayant de traverser la forêt en solitaire à partir de La Tuque pour pouvoir passer les vacances de Noël avec Maria. En effet, une grosse tempête de neige s’était abattue sur la forêt lors de son expédition et cela lui a couté la vie. Le grand froid hivernal a eu le dernier mot. La mort tragique de François a beaucoup affecté Maria : elle devient dépressive

géant rougit et disparaît » (v. 3), dans cette dernière citation il y a une personnification du Soleil qui peut faire référence au père de Victor Hugo qui est mort la même année. Le verbe « Disparaît » donne l'impression qu'il ne va plus jamais revenir, comme si c'était la fin du monde. Pour finir, Hugo utilise le champ lexical de la nature : « le grand bois » (v. 4), « la colline » (v. 4), « la pluie » (v. 6) et « la forêt » (v. 6) pour montrer la monotonie de sa vue. Aussi, il utilise des mots péjoratifs

effet . On distinguera au niveau de la classe de 3ème, Quatre grandes familles : 1.1 Les figures d’analogie et de substitution qui rapprochent deux éléments (comparaison, métaphore, personnification, allégorie, symbole) ou qui désigne un élément sous une autre dénomination (périphrase, métonymie, synecdoque). a/ La comparaison  : elle met en relation un comparé (élément

comparée à une forêt. Baudelaire envisage l’univers perceptible par nos sens. La Nature est évoquée sous la forme du temple, lieu de communication privilégié entre notre existence et l’au-delà. Baudelaire renvoie peut-être à la pythie de Delphes dont les propos obscurs pour le commun des mortels étaient compréhensibles seulement pour les prêtres (le poète) qui les traduisaient à destination des fidèles. Le premier quatrain est bâti sur la double métaphore filée du temple et de la forêt. La constitution

« Les saltimbanques », le 3ème poème, correspond presque parfaitement au tableau : beaucoup de vers collent très bien avec le tableau surréaliste. Le dernier poème, « Les sapins » est associé à une photo anonyme d’un relais hertzien derrière une forêt de sapins, qui a un côté plutôt surréaliste ; ce serait presque un paysage appartenant au monde de la fiction. Automne malade Automne malade et adoré Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers

est personnifiée comme le montre l’emploi de la majuscule et des mots « vivant », « paroles » »observent » « regard familier ». L’homme, quand a lui, est présenté comme un voyageur provisoire a la lecture du vers 3 «  l’homme y passe à travers des forêt de symbole » Ce quatrain met donc en valeur un lien particulier et inversé entre l’homme et la nature car ce lien est marqué par un effet symétrique : 2vers pour l’homme ( dans le premier hémistiche) et deux pour la nature. Ce lien semble inversé

et des points d’exclamation. La personnification des arbres:«Vous savez que je suis calme et pur comme vous.» Il nous montre combien les arbres sont chers à ses yeux, et comment se sont des personnes pour lui, des amis, des compagnons plus que les humains de notre monde. Il s’identifie plus aux arbres qu’aux êtres humains. L’euphémisme : « Et que je veux dormir quand je m’endormirai. » Cette figure de style termine le poème en douceur en disant que la forêt est l’endroit où il se sent le mieux