Personnification De La Foret

Apollinaire – Commentaire littéraire / Analyse préalable Le ciel est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croches Mais avez-vous le mot         Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux Aux créneaux Laissez là les pioches Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous vous

amants à s’aimer (impératif « aimez-vous ! ») // strophe 2 = description (cadre) dialogue 2. La mort et la vie en relation avec la nature Nature = cadre bucolique Champs lexical de la nature : « étang » « bois » « arbre » «clairière » « forêt » « colline » « arbre »  « branche » « brin d’herbe » « coudrier » ≠ « ifs » « fraises » Nature vivante, en renouveau = printemps (animisme : la nature parle, révèle un discours sacré, ici celui d’aimer pour vivre) Hypotypose : description d’une

|mauvaise à boire/ Avons nous assez navigué/ De la belle aube au triste soir.| |concrets. |(Apollinaire) | |Personnification: la personnification consiste à évoquer un objet, une idée |Le soleil aussi attendait Chloé, mais lui pouvait s’amuser à faire des | |sous les traits d’un être humain. |ombres. (Boris Vian)

mettre l’accent sur les principales procédés littéraires, artistiques et stylistiques véhiculés dans ce poème. développement : Au début, on constate que le poète se trouve dans un bois en automne « Salut ! bois couronnés », il se promène dans la forêt avec une mauvaise humeur « l’obscurité des bois ». En effet, Lamartine ravive ses moments de passé, la saison de l’automne « L’automne est le deuil de la nature » comme le montre le poème. La nature pour le poète est une source d’inspiration,

Seul, au sommet de la montagne de pierres, Il apercevait ses pairs frôlant les nuages. La neige, les dotant d’un charment habillage, Formant un paysage d’une nouvelle matière. Plus loin, dans la forêt, une eau y habitait. Goutte, marais, ou rivière étant en pleur, Dû à son ancien sentiment de terreur, Lui criant haut et fort la haine qu’elle éprouvait. «La famille, tu l’as lâchement abandonnée. Aujourd’hui je suis veuve et connue de tous. Je ne suis que seule au monde et sans ressources

présentatif montre peu de présence humaine, donc peu de possibilité de trouver des témoins ou des informations par rapport a l'enquête. Le fait que le lieu soit très à l'écart peu nous faire comprendre qu'il recel un mystère ou un secret. La personnification, "trois maisons se battaient en duel" (l.2-3) indique que c'est un lieu "serré", ce qui donne une image oppressante. Les personnages eux sont comme coupé du monde, ce qui crée un climat tendu. C'est effet est accentué avec le chiasme "au milieu

Les différences formelles des paragraphes justifient, en partie, que ces textes appartiennent à la poésie. Dans l'ensemble de ce corpus nous pouvons remarquer qu'un langage poétique est largement déployé. Le poème d'A. Bertrand est riche en personnifications «une courut» lg 4, il parle ici d'un des «douze voix» lg 3, il y en a également à la lg 5 «tourbillons fouetta ma fenêtre» et «les girouettes criaient», ainsi «gronda la foudre» lg 10 puis «Cette effrayante lueur peignait» lg 3. Nous remarquons

sonorité de dureté en « Q » « lorsque tu n'auras plus alcôve et manoir Qu'un caveau bien pluvieux et qu'une fosse creuse ». Pour Baudelaire la mort n'est pas une délivrance ni la fin des souffrances, c'est juste un obstacle a franchir amené par une personnification « un monuments = la pierre= le tombeau ». Le titre, Remords Posthume, explique cette punition. Le tombeau est le complice V10 car il ouvre sur l'infini , il peut donc comprendre le poète. Le vers 11 rappelle l'idée des deux quatrains c'est

temps qui les efface Ne nous les rendra plus? 45 Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez? Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez? Ô lac! rochers muets! grottes! forêt obscure! 50 Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, 55 Et dans

nymphe est une personnification des forces vives de la nature. Ce sont des divinités bienfaisantes qui étaient préoccupés par la santé et le bien être des humains. Elles protégeaient surtout les jeunes filles, les fiancées et les jeunes mariées. Les Grecs leurs donnés des pouvoirs fertilisants, car pour eux ces divinités pouvaient s’intégrer à la pluie, à l’air, aux rivières, aux sources ainsi qu’aux fontaines. Ce sont des femmes qui peuplaient la nature, comme les bois, les forêts, les montagnes