Personnification De La Foret

axe doit être soulignée par des connecteurs. Observons dans un premier temps 1. L’art de la concision. 18 vers, deux personnages rapidement présentés (v.1 et 2), absence de description mais réponses aux questions qui ? Où  (lexique de la forêt) et quand (cf. temps verbaux) ? L’univers du conte est installé avec une grande économie de moyens pour ne pas lasser le lecteur et le plonger au plus vite dans l’univers du merveilleux. Voyons à présent 2. Le recours au merveilleux et la théâtralisation

« qu’à cette heure s’y épanouisse »Complément circonstanciel Il y a simultanéité entre l’énonciation et le phénomène qui est décrit. C. est restée connectée en permanence au pays de son enfance.L.2 « toute une chevelure embaumée de forêts »MétaphoreCompare les forêts à une partie du corps féminin =connotation amoureuse, érotisme.« embaumée »Adjectif mélioratifMet en avant un rapport sensuel à la nature grâce au sens de l’odorat.« Toute »Déterminant indéfini quantitatifExprime l’abondance, l’immensité

la réel interprétation de la poèsie. En effet il décrit une nature très personnifiée : « frissons des bois » ; « étreinte des bois » ; « l’herbe agitée expire » et mèle deux isotopie,le champ lexical de la nature à celui de l’amour, par les personnifications de la nature . Donc la deuxième interprétation possible est que Verlaine décrit un acte de reproduction d’un couple : « extase langoureuse » ; « fatigue amoureuse » la fatigue après l’acte ; « étreinte » ; « cri doux » ; « herbe agitée ». Dans

entière ? Car il est dit de lui à la page 39 que «  ce n'est pas vraiment un arbre ». Pour ce faire nous allons donc en un premier temps montrer que le hêtre est avant tout le point de départ du livre, puis en un deuxième temps nous montrerons la personnification de l’arbre. Giono explique lui-même que le hêtre est le point de départ du livre. En effet, il dit lui-même : « Le livre est parti parfaitement au hasard, sans aucun personnage. Le personnage était l’Arbre, le Hêtre. Le départ, brusquement

« aube », « nuits », « jour »). * Les pluriels (« nuits », « jours », « mers », « monts », « fleuves », « forêts », « montagnes », « bois »). II- L’éternité de la nature a) L’action superficielle du temps sur la nature * Ses effets sont négligeables : * Nuance contenue dans l’expression « ridés et non vieillis » : le participe adjectif « ridés » qui est une personnification évoque les glissements de terrain, à la suite de milliers d’années. * La préposition « sur » montre

(v.19). Il parle à voix basse (« à voix basse » v.19) : c’est alors un secret que V.H. soit un élu, ça implique aussi que le poète doit être à l’écoute. Personnification des objets (pas humain), il cite des éléments mais aussi surtout de la création de Dieu comme lui : « forêts […] flots » le poète est un prophète : « pareil

tout comme « l’esprit » au vers 14, alors que les éléments issus de la Nature sont présentés au pluriel. Par opposition à lui, la Nature s’affirme comme une « unité » qui réunite une multitude de composants comme des « piliers », des « échos », des « forêts », des « parfums », des « couleurs », et des « sons » ? Cette relation apparait donc, telle que la dessine le poète, comme une opposition. Pourtant, à la fin du deuxième quatrain, une communication apparait : «  les parfums, les couleurs et les

front des montagnes », qui sont au vers 10 « ridés et non vieillis » et vers 11 «les bois toujours verts / s’iront rajeunissant ». Le temps est également objet de personnification, il « court » littéralement comme le montre le vers 4 : « pas du temps qui s’enfuit ! ». Hugo multiplie les pluriels « mers », « monts », « fleuves », « forêts », ce qui crée un effet de masse, réuni notamment dans le terme « foule » (v5) . Ces effets d’amplification sont proches du style épique, il contribue à représenter

symbole – A l’air d’être la croix de cette nécropole10, Où ce qu’enclôt la tombe est un peuple vivant. FRANÇAIS 5 Le soir, quand tout s’éteint, hors l’âme du poète, Quand ma lampe mourante a trop brûlé mes yeux, Au dernier bruit des eaux que la forêt répète, Devant l’immensité qui s’ouvre sur ma tête, Je m’assieds à ma porte et regarde les cieux. Casimir Bouis, Poèmes de la Nouvelle, éd. L’Herbier de Feu/Les Amis de la Poésie. 175 09188498_175-184.indd 175 02/08/12 08:32 Français Poésie

mort car je trouve que de nombreux poètes s'en sont inspirés pendant la période du Romantisme. De plus on retrouve de nombreuses figures de style, autrement dit de nombreux procédés littéraires, tels que : des antithèses, des hémistiches, des personnifications, des oppositions, des apostrophes, des diérèses... Charles Baudelaire est un écrivain du 19ème siècle. Remords posthume est un sonnet formé de deux quatrains et deux tercets. Le registre du poème est lyrique. Remords posthume est dédié à Jeanne