Personnification

: La personnification de la nature rend vivant les objets de la nature qui sont habituellement abstraits. Illustration : Personnification du vent. (l. 12 à 14) 2e idée secondaire : Le héros se sent parfois comme un animal dans la nature. Explication : Le héros se compare, lui et son voyage, à celui d’un oiseau migrateur en employant le champ lexical propre à la migration. Illustration : …la saison de ta migration… (l.18) …tu déploieras ton vol… (l.19) Synthèse : La personnification de la

comme dans les autres textes qui est décrite mais la ville, ses buildings et leur lumière. Dans le texte Thérèse Raquin l’on assiste tout d’abord à une description de la nature : «En face, se dressait le grand massif» l.2 puis par la suite une personnification de celle-ci : «Les rayons pâlissent dans l’air frissonnant, les arbres vieillis jettent leurs feuilles.» l.6. La condition humaine ne parle en termes de nature que de la lumière, une lumière artificielle puisqu’elle provient d’un building : «La

* Danger : sordide, nébuleux, noirs, mornes, poison , tremble, gouffre, amers, terrible, mord, remord, vertige, roule, défaillante, mort. f. Temps et sujets Premier paragraphe : présent + infinitif. Transitif direct. ( Renforce la personnification du vin). Utilisation du mot savoir : ce n’est pas définitif, il peut faire autre chose. Les autres : Présent. Effet de vraisemblance. Effet de réel. Parle de sentiments actuels. B. Thèmes Thème de l’évasion onirique et du danger. C

l’objet est soulignée par l’adjectif « noir » à la césure et par la locution adverbiale « à peine » (v.8) => le vélo commence à se transformer et à prendre de l’autonomie, à se détacher de la réalité, du « mur ».La transformation débute par la personnification introduite dans le contre-rejet (v.8) « la grâce d’une bête » = insistant sur son charme, la beauté de l’animal qui attend le moment propice pour s’échapper : « sa fixité calme » transformant l’immobilité de l’objet en une attitude réfléchie

une grande idéalisation de cette passante , celle ci est présentée comme la femme idéale ce qui créer un contraste avec le contexte de la rencontre . Cette rencontre a lieu dans un contexte sonore avec un aspect déplaisant . Il y a une grande personnification de la rue , et beaucoup d'adjectifs pour la décrire. Ce poème nous montre aussi que cet amour est impossible A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa,

descendant) Problématique potentielle : En quoi le texte de Le Clézio soumet-il une critique du monde actuel ? Axes de lectures : A. déshumanisation des êtres a.raréfaction de l'humain b.rapport aux machines c.perte d'identité B. personnification de la ville a.omniprésence des machines b. la machine prend la fonction de l'humain c.caractère impensable de l'humanisation Commentaire : L'extrait de la nouvelle « Ville Vivante », écrite par Jean-Marie Gustave le Clézio en 1969

la première strophe, qui apparaît au début puis à la fin, avec un rajout de « et l’éclaire de loin pour qu’il ne tombe pas », cela donne une sorte d’harmonie au texte et est assimilé aux couplets de chansons. Au premier vers, nous trouvons la personnification du sentiment amoureux. En effet, l’amour, déterminé par le pronom possessif « mon », traîne dans les rues de la ville. Au deuxième vers, le temps se transforme en quelque chose de bien concret et de divisible. Avec l’expression « peu importe »

Lien avec le titre II) « sein chaleureux » Personnification Sensation agréable Renvoi à soir chaud, sensation de chaleur = positive « respire » « odeur » « chaleureux » Allitération en r Musicalité, sens auditif II) ou III) V.3 « Je vois » « yeux fermés » V.4 « éblouissent » Champ lex de la vue  sens et vision qui naît de l’odeur du corps de la femme  sens visuel + lumière I) Rivages heureux Personnification Sensation positive  l’idéal II) Heureux, chaleureux

mais termes péjoratifs ( -âtre) et mélioratifs («  perle » 8 Métaphore- allégorie-personnification (« gueux »; « tristes») Personnification ( de la charogne)+ comparaisons + métaphores Comparaison : -Venus = animal ( «  échine »; « croupe ») - Baignoire = cercueil Comparaison-métaphores-personnification ( poète = crapaud) Crapaud = allégorie du poète maudit Comparaisons, métaphores ( « cieux », personnification ( «  opiniâtre »), allégorie ( huître =allégorie du poème) 9 Registres: lyrique

montre que ce voyage n’aura pas lieu, dans ce poème. En effet, dans le vers 30, on lit « Dormir ces vaisseaux / Dont l’humeur est vagabonde ». Ceci est une personnification qui nous démontre que ces vaisseaux sont amarrés à quai. Le vers 34 poursuit cette idée : « Qu’ils viennent du bout du monde ». Il s’agit là également d’une personnification, ces vaisseaux ont fini leur voyage, et ne sont pas prêts de repartir. De plus, dans le refrain, il y a l’adverbe indéfini « là » : il s’agit bien d’un lieu