Personnification

analyserons ensuite les caractéristiques des grenouilles et les analogies qui s’établissent avec les humains, puis nous aborderons enfin les différentes leçons de la fable. I – Un récit plaisant A°) Les effets de la personnification Utilisant comme souvent la personnification, La Fontaine amuse son lecteur en lui racontant les péripéties vécues par un peuple de grenouilles. Il donne ainsi à son récit un caractère imagé, d’autant plus qu’il développe longuement le champ lexical du marécage, évoquant

de chevaux") et la présence de verbes d'action qui font référence à l'acitivité de berger. Le poète fait une métaphore filée (la nuit est considérée comme un personnage auquel on attribue des qualités humaines) il s'agit plus précisement d'une personnification. Les élémentes métaphoriques situent le moment de la scène: les cavernes profondes sont des la mythologie le lieu où la nuit attend la fin du jour. L'expression "fuyant le jour" place l'action peu avant l'aubre. On a ici une réprésentation

n°4 – De l’eau, Francis Ponge. Ce poème n’est-il qu’une définition de l’eau ? I-Tente d’établir un semblant de définition de l’eau. 1- L’écriture de Ponge, les nombreuses figures de style. 2- On notera la place importante qu’occupe la personnification-matérialisation. 3- Utilisation d’un vocabulaire scientifique pour crédibiliser son semblant de définition. II- L’échec du poète face à son besoin de définir l’eau. 1- Retournement de situation ? 2- La frustration de cette incapacité

[IS1] le site d’un lac, dépeint de façon détaillée par l’auteur, sert de cadre au poème. Toutefois, il ne s’agit pas là d’un lieu purement décoratif, mais plutôt d’un élément fondamental de l’œuvre puisque le lac va jusqu’à faire l’objet d’une personnification et que le poète s’adresse à lui lors d’une longue apostrophe se déroulant au long des quatre premières strophes et des quatre dernières du texte. En ce sens, tout un champ lexical constitué autour de cette figure du lac sert à en marquer l’importance :

quatrain met en valeur la rapidité du temps. Elle rythme la strophe. Il y a utilisation du futur dans des verbes de mouvement « viendra, passeront, s’iront,passe,irai » qui met l’accent sur la fuite du temps. Le mouvement souligné par des images, personnification : « le soileil s’est couché » ou même « pas du temps qui s’enfuit » qui  accentue le pouvoir du temps. L’allitération du premier vers «  Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées » apporte une certaine chanson au vers, ledébut d’un rythme

Dans ce recueil, il est question d'une séparation d'un couple dont la fenêtre est ouverte, et où le vent se fait entendre. Nous allons d'abords abordé la personnification omniprésente dans ce poème, plus particulièrement la maison. Ensuite nous verrons de quoi cette personnification est sujet, une séparation amoureuse. I La personnification omniprésente,,, Une maison « lugubre » est personnifié de l'extérieure et de l'intérieure, dès le début du texte (v1-6), En fin de poème on peut constater

l’aube sont donc personnifiées : la première, telle une bergère du cosmos rassemble ses étoiles dispersées dans les pâturages du ciel, tandis que la seconde apparait sous les traits d’une femme blonde. Du Bellay utilise encore le procédé de la personnification dans le premier tercet, où une femme apparait des eaux telle une déesse. Le poète crée un sentiment de mouvement par l’accumulation de verbes d’action «amassait »

d’alexandrins? Dans un premier temps nous aborderons la transformation en arbre à travers des personnifications et ensuite nous attarderons comment se manifeste la souffrance. A) Transformation en arbre à travers de personnifications À première vue, au cours du poème nous allons voir lentement comment le pin est progressivement humanisé, le poète nous présente la transformation en arbre à travers de personnifications, il donne des attributs physiques à un objet inanimé. Le pin est qualifié avec des

Il faut etre la pour etre labas puiis voia s’agit particulièrement des femmes qui subissent la misère et la pauvreté du monde surtout en périodedifficile, l’hiver. Présence d’une personnification dans le texte Les Contemplations : « La misère, démon, qui lui parle à l’oreille. » Champ lexical de la pauvreté dans le texte Les Misérables : « plusde lit », « une loque qu’elle appelait sa couverture », « un matelas à terre », « une chaise dépaillée » , «des bonnets sales », « son corset, vieux et usé

d’abord, les figures de styles sont abondantes, que ce soit pour décrire un personnage, une action, un lieu ou une émotion. De plus, elles sont diversifiées, de sorte qu’on peut y retrouver des comparaisons, des métaphores, des zeugmas, des personnifications, et encore. Par exemple, l’extrait suivant décrit poétiquement un orage à l’aide d’une comparaison et d’une métaphore. « Je vis l’orage se répandre comme des taches de sang noir entre les nuages, masquant la lune, étendant un manteau de ténèbres