Personnification

procure ce qui lui manque. On voit tout au long du texte le champs lexicale de la nuit et du ciel, par exemple « étoiles », « ciel » qui montre l‘omniprésence de la nature dans sa vie. Il y à aussi une personnification des étoiles « Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou ». Dans cette personnification on distingue tout d’abord que Rimbaud s’attribue les étoiles, mais aussi qu’il y est habitué, comme si le doux bruit lui était familier. Enfin les synesthésie sont présente tout le long du texte « je

aux formes de la femme. De même, le choix du terme "teint" (v. 6) désigne explicitement une femme parce qu'il s’agit d’une particularité humaine. Cette comparaison se marque également par la structure comparative  "au votre pareil". La personnification de la fleur "elle a dessus la place" (v. 8), "ses beautés laissé choir" (v. 9), donne à la fleur des attitudes humaines et précise le rapprochement entre la femme et la fleur. Son mode d’apparition "ce matin avait déclose" (v. 2), " … une

la relation qu’entretiennent ces 2 rivaux. 2.) Agressivité contre le duc Apostrophe inversé « Oh l’insensé vieillard […] vieillard insensé » Champ lexical de la vieillesse Images effrayantes de la mort : - Champ lexical de la mort : - Personnification de la mort : Agressivité du paradoxe final Vers 87 : avec jalousie qui s’exerce même contre Dona Sol II. La haine contre le roi 1.) L’apparition de la figure du roi Enchainement des répliques de Dona Sol & Hernani : Vers 88/89 : Hernani

est comparé) avec un comparant (ce à quoi on compare).Métaphore filée : est développer à travers plusieurs expressions qui se rapporte au champs lexicale du comparant. Chosification/réification  : inverse de la personnification. Transformée un être vivant a un simple objet. L’allégorie : des choses imaginaires représentés par une chose réel comme la paix( la colombe). La métonymie : c’est remplacé un mot par un autre qui lui est

ou Marie Daubrun. Le poète est désespéré, seul, en détresse et malade. Il tente à travers ces vers de restituer l'intensité de sa souffrance et de son désespoir. Annonce du plan : Dans un premier temps, nous étudierons la personnification de la souffrance avec la personnification de la douleur et son impression d'apaisement. Nous nous pencherons sur la notion de plaisir importante dans ce sonnet pour les oppositions et les effets de contraste entre le poète et la foule. En second lieu, nous analyserons

choisissez l'heure" +vers décrivant la faiblesse de l'Espagne : °"l'heure sombre"= situation de crise °utilisation du champ lexical de la mort pour décrire l'état du royaume: *l'Espagne agonisante: personnification de l'Espagne mourante *Fossoyeurs *dans sa tombe °progression dans l'affaiblissement de l'Espagne: chute ="votre pays qui tombe" suivie de la mort "dans sa tombe" ils sont lâches "vous

Métaphore dans «transports fébriles», signifie les grands gestes qu’il veut faire calmer. Métaphore dans «spasme obsesseur», signifie également les grands efforts qui ne valent pas un long baiser. Personnification de baiser qui ment, démontre que le poète ne se donne pas qu’a un seul amour. Personnification d’amour qui chante, donne de l’importance. Métaphore dans «doux refrains qu’Amour chante», démontre le doux bonheur que l’amour apporte chez Verlaine. Mots péjoratifs «archange», «charmeresses»

plusieurs siècles : Rimbaud reprend le personnage de Shakespeare. On remarque de nombreux points communs entre les deux œuvres particulièrement au passage de la noyade d’Ophélie, à celui de son errance dans le poème rimbaldien: tout d’abord, la personnification de la nature, déjà, était présente dans Hamlet, notamment dans la branche de saule Ophélie est un des personnages de Hamlet, écrit par Shakespeare. LE texte fut publié en 1601. Dans la tragédie, Ophélie est amoureuse d'Hamlet,

opposition avec le spleen de l 'auteur. 1e strophe : -On décrit le blason de la femme (son physique) + répétition de « beau » -La femme est associée au paysage (habituel chez Baudelaire) -Le « rire » = la joie + personnification du rire qui « joue » -Synesthésie au dernier vers : « vent frais », « ciel clair » -Le tutoiement apporte la proximité : « ta », « ton » 2e strophe : -Enjambements sur toute la strophe -Continuité de

répétitions parallèles de propositions en chiasmes dans la sixième phrase. La symbolique de la nature est également présente dans la personnification de la nature. D'un point de vue grammatical, les plantes sont souvent sujets de verbes d'actions: “la plante avait grimpé, la branche avait fléchi” (l.9), “la végétation (…) avait célébré” (l.13-14). La personnification est la plus importante à travers l'emoloi de verbes tels que “célébré” et “accompli” (l.14), et s'établit progressivement entre les