Personnification

images : - à mi-chemin de la cage au cachot : dès le début, le « cageot » est caractérisé par l’enfermement, comparé à deux lieux signifiant la prison. - vouée au : personnification du cageot, à travers l’image d’une « vocation » (indice d’ironie marqué par la modestie de cette vocation) - suffocation, font une maladie : personnification à effet comique des fruits transportés. - les durées fondantes ou nuageuses : les fruits sont comparés à leur « durée de vie », plus longue que celle du cageot qui

interprétation : ce peut être les femmes de New York. Le gigantisme de la ville attire le poète. Mais dès le vers 3, des signes inquiétants apparaissent dans la description du décor urbain : " tes yeux de métal bleu", "ton sourire de givre". Ces deux personnifications soulignent certes une certaine beauté mais surtout la froideur presque mortifère. La ville est décrite sous un aspect fantastique voire morbide (propre à un état maladif). En effet, les gratte ciel baignent dans une lumière v 7 "sulfureuse"

Commentaire composé 1 Vous ferez de ce texte un commentaire composé. Vous pouvez analyser le rôle des éléments de la nature dans la présentation des sentiments du poète et l'effet provoqué par la personnification des animaux. Une promenade au Jardin des Plantes Sous ces arbres chéris, où j'allais à mon tour  Pour cueillir, en passant, seul, un brin de verveine,  Sous ces arbres charmants où votre fraîche haleine  Disputait au printemps tous les parfums du jour ; Des enfants étaient

croissante) « le moindre de » v.2 / « ces maux » v.16 / « pr surcroît de maux » v.41 => lamentation, poète jamais content. c) car le narrateur semble paranoïaque : * thème du complot : « tout conspire » v.1 même les objets qui sont personnifiés (personnification = attribuer des caractéristiques humaines à qqch d’inanimé) v.9,10,11, ils sont vivants => poète pris au piège = victime. * réf. à Dieu et à la malédiction (on souligne d’une autre couleur) => poète = victime face à son destin. Décalage spiritualité

Son ventre possède une voix il peut s’exprimer et exprime ici de la souffrance = personnification car il lui donne une voix« demi-vive » signifie que d’un autre coté son gosier fait entendre une voix demi-morte ce qui rappelle le champ lexical de la mort vu précédemment.Le cri me sert de guide, et fait voir à l’instant= le cri de son ventre à nouveau = personnification car il considère son ventre comme un être capable de crier et de le guider par la même occasion.« Le cri

au receuil Romances sans paroles de Paul Verlaine écrit en 1874, La Valise de Francis Ponge extrait des Pièces écrit en 1961 et enfin La Bicyclette de Jacques Réda extrait de Retour au calme. Ces textes présentent un thème commun, celui de la personnification de l’objet qui accorde une importance dans ces quatre poèmes que nous étudierons, tout en s’interrogeant sur la forme des poèmes qui composent ce corpus. Le premier poème datant du XIIIème siècle, est écrit en alexandrins. Le poète met

Les Faunes : demi-dieux champêtres et forestiers, associés au culte de Bacchus ; * Faunus : dieu des bergers d'Arcadie, divinité de la fécondité, puis incarnation de l'Univers ; * Fama : déesse de la renommée et des ragots ; * Iris : personnification de l'arc-en-ciel ; * Janus : dieu des passages ; * Junon : reine des dieux, protectrice des femmes mariées (équivalente d'Héra chez les grecs); * Jupiter : roi des dieux et dieu du ciel; * Juventas : déesse de la jeunesse ;

Et Thanatos ? Pour faire bref on pourrait dire : « Le premier représente l’amour, le deuxième la mort. », mais il est vrai que ce n’est pas aussi simple que ça. Ces deux termes sont en fait des personnifications. L’Eros est le dieu Grec de l’amour et de la puissance créatrice. Thanatos est la personnification Grecque de la mort. Elles sont presque en tout point opposées mais nous verrons que là où l’on trouve l’une, on trouve très souvent l’autre. Il faut savoir également que l’on fait la distinction

commence à être excédée par les questions d’Orgon. · L’apostrophe : « Mon Dieu » (v.1362), qui confirme cela. · La modalité injonctive à valeur d’ordre : « Laissez faire » (l.1362). · La métaphore : « J’ai mon dessein en tête » (v.1363). · La personnification : « Et vous en jugerez » (v.1363). · La rime suffisante et féminine : « Nécessaire (v.1631) / Faire (v.1362) » montre en effet que son stratagème est essentiel, et qu’Orgon a tout à gagner s’il lui obéit. · Le caractère vif de l’épouse d’Orgon

qu’il a le mal de vivre. Il attend que son tour viennent pour ce libérez de son mal. TROISIÈME PARTIE ARGUMENTATIVE Argument principal : Le mal de vivre, voir la vie en noir A. Arguments secondaire : Libération, tristesse Illustration : Personnification  « attends que le vent de la mort se lève» Comprend les désirs que René éprouve envers la vie. L’envie profonde de se laisser emporter dans ce qu’il le libèrera de son sort. Illustration : Antithèse  « dans tout pays le chant naturel de