Personnification

Le soleil de l'enterrement, image du temps immobile 2. Le soleil comme destin tragique : Toutes les images liées à l'évocation de l'apocalypse, vocabulaire qui évoque le lyrisme de Noces. Une fois de plus un élément extérieur, ici la personnification de la chaleur, montre à quel point elle est devenue atroce. (« son grand souffle chaud »). C'était le même soleil, la même lumière sur le même sable qui se prolongeait ici.» Le temps semble de toute façon s'être même immobilisé: « il y

je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! · Apostrophe = lac rôle = témoin / regarde = personnification du lac = confident · Champs lexical de la vue = poète demande au lac de se souvenir· Carrière = personnification du lac· La/tu/pronom personne =personnification du lac = sa femme aime /première apparition dans le poème · Pronom personnel je/1er pers du sing = désigne le poète = expérience et souffrance personnel · Viens/vis

qu’on a affaire à une rêverie. v.3 : « rivages heureux » : personnification des « rivages ». v.3 : « se dérouler » : verbe « dérouler » = dénote du mouvement. C’est un verbe qui est mis en relation avec le calme, harmonieux, doux.  v. 4 : « Soleil monotone » : personnification du « Soleil ». Champ lexical de la chaleur : « chaud » (v.1) ; « chaleureux » (v.2) ; « feux » (v.4) ; « Soleil » (v.4). v.5 : « Île paresseuse » : personnification. L’île représente la femme. Cette île (allusion au corps

Forte est l'amour, qui lors me vient saisir, >>> personnification Quand haine vient et vengeance me crie : Ainsi me fait haïr mon vain désir Celle pour qui mon cœur toujours me prie Maurice Scève, Délie, objet de plus haute vertu 1544. Texte 2 Je n'ai plus que les os, un squelette je semble, >>> métaphore Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, >>> accumulation et hyperbole Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; >>> personnification Je n'ose voir mes bras que de peur je ne tremble

mort ! » | Comparaison | Terme contradictoire. Le spectre c’est ce qui hante, plomb c’est ce qui pèse. | « comme un spectre de plomb » | Métaphore filée | | « brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie » | personnification | | | | | | | | | parallélisme | | « Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée » | Répétition de condamné à mort au début et à la fin du texte. | Sa vie est mise entre parenthèse | |

chp. lex. du manquel. 16 : « distinguer » ils ont du mal à voir manque de lumière obscuritél. 17 : « la nuit », l. 18 : « noirâtre », l. 20 : « ombre » chp. lex. de l’obscurité Présence de la mort l. 1 : « enfermés » personnification l. 3 : « pendus » personnification l. 5 : « lueur pâle » chp. lex. de la mortl. 7 : « coupe-gorge » chp. lex. de la mortl. 8 : « de grandes ombres s’allongent » personnificationl. 9 : « souffles humides » chp. lex. de la mortl. 10 : « galerie souterraine »

« Je » dans un sens autobiographique. Ce « Je » ne représente pas un narrateur qui serait étranger à Charles Baudelaire. Sur le plan rhétorique on peut relever la fréquence des personnifications : « ton sein chaleureux » du deuxième ver du premier quatrain, mais aussi le dernier ver du deuxième quatrain, une personnification de l’œil : « Et des femmes dont l’œil…… » Le regard de Jeanne Duval évoque immédiatement la franchise et l’honnêteté des femmes des îles, honnêteté qui l’oppose implicitement à

la nature qui l’entoure A. La nature est un miroir de son âme 1. La personnification des vents et des eaux a) Les sons que rendent les passions dans le vide d’un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d’un désert ; on en jouit, mais on ne peut les peindre.  Il compare ses émotions avec la nature qui l’entoure comme un miroir de lui-même 2. Champ lexical personnification de la nature a) «murmure», «entendre», «silence», «surprit», «chassait»

Allégorie de Vénus et Cupidon. allégorie: décrire, raconter, peindre quelque chose avec l'intention de signifier autre chose. Personnification d'une idée ou d'un sentiment. Présentation du peintre : Bronzino (Agnolo di Cosimo di Mariano Tori) est né le 15 novembre 1503 à Monticelli en Italie et décède le 23 novembre 1572 à Florence. Il est le représentant du mouvement maniériste. Il devient le portraitiste officiel de Côme de Médicis, le duc de Florence. Il s'est beaucoup inspiré des oeuvres

Nous le verrons justement lorsque le poète fait la nature comme une image de ses sentiments. Dans un premier temps, l’auteur fait une description de la belle nature. Au début du poème intitulé , il exprime : . Dans cette citation, une personnification des saules est présente, car on leur attribut des caractéristiques humaines en mentionnant qu’elles chantent. Il y a également une métaphore des feuillages avec des eaux vives. Si on continue à analyser ce même poème, Saint-Denys Garneau