Peut On Dire à Chacun Son Opinion

est-il raisonnable de croire qu’une vérité est possible au-delà des opinions personnelles?» (concepts-clés : «opinion» et «vérité») Titre : L’enjeu de faire pareil comme tout le monde en se disant différent (ou l’inverse?) Introduction Sujet amené, incluant une référence à un philosophe à l'étude (5 pts.) : Au Ve siècle avant Jésus-Christ, Socrate et les sophistes s’interrogeaient sur la valeur à accorder aux différentes opinions. Alors que Socrate s’efforçait de trouver des définitions véridiques

nous renvoie au problème de ses conditions d'accès, et à celui du critère des jugements vrais. La vérité n'est ni un fait, ni une donnée : elle s'aborde comme une exigence ou encore une valeur. La recherche de la vérité en question : Le projet de recherche de la vérité est constitutif de la réflexion philosophique : c'est par cette recherche que la philosophie se définit, dès son origine, dans la Grèce antique. La philosophie de Platon, illustre à merveille la triple idée autour de laquelle se formule

Vie » datant du mois de Janvier intitulé : « Une fin pour les t.p.e ? ». Celui-ci a provoqué chez moi un énervement sans fin. Je me permets de vous faire part de mes réactions. Vous vous permettez de dire, je site : « les t.p.e sont des heures perdues qui pourraient être consacré à de l'enseignement.» Certes, ce que vous dites là n'est pas une absurdité, mais pensez vous améliorez les taux de réussite au bac à lauréat en travaillant ou plutôt « enseignant » toutes les heures qu'une année puisse

mettre à l'actualité, une fois n'est pas coutume, et tenter d'élucubrer sur la question. Je me suis documenté et ai trouvé quelques trouvailles qui valent, selon moi, le coup... Après notre discussion longue et périlleuse sur l'utopie et autres on peut dire que le désir fondamental de l'homme, de tout homme, est d'être heureux, la quête du bonheur. Néanmoins cette aspiration n'induit pas le rapport de l'homme avec la nature mais celui de l'homme avec son semblable, avec l'homme. Chacun, et je cite

de la réalité. La vérité permet a deux individus de discuter. Il y a donc un véritable échange, en revanche ils doivent reconnaître l'existence d'une vérité commune et doivent prendre au sérieux ce qui dit l'un et l'autre sinon il est impossible de dialoguer. La reconnaissance de la vérité ne nous permet pas de trancher entre une vérité fausse et une vérité vraie. Donc pour pouvoir reconnaître cette vérité, nous devons déterminer le critère de vérité, c'est-à-dire le critère reconnu par tous. Un

Avoir un autre regard peut être assimilé à l’ouverture d’esprit, c'est-à-dire d’être disposé à tout entendre et voir, pour découvrir mais aussi par la suite analyser sans préjugé. C'est-à-dire avoir un regard étendu sur tout ce qui existe au-delà de ce qui nous concerne directement. Avoir un autre regard ne signifie pas que nous acceptions toutes les possibilités comme étant également vraies, de la plus ridicule à la plus sérieuse. Nous devons donc aussi prendre en considération toutes les possibilités

Dissertation de philosophie Chacun de nous partage des opinions plus ou moins différentes mais qui s’apparentent à des croyances qui ne peuvent se justifier, se prouver, mais qui se donnent comme une vérité. Ce n’est pas un savoir sur lequel on peut raisonnablement s’appuyer avec certitude. Lorsqu’on hésite et que l’on doute, il s’agit d’une croyance plus ou moins probable qui nous servira de guide dans la plupart des situations de notre vie. Car ces croyances concernent les questions morales

respecter toutes les opinions ? Depuis la genèse de la philosophie, des avis font débat chez tous les philosophes. Faut-il respecter toutes les opinions ? Même les plus absurdes ? Le concept thématique de ce sujet est l’opinion alors que le concept opératoire est le respect. Nous essayerons de répondre à ce problème en trois parties. Premièrement nous définirons les bases de ce sujet, puis nous verrons ce qu’est avoir tort avant d’évoquer les limites du respect des opinions d’autrui. Dans cet

esclavage, et seul est libre celui qui vit volontairement sous la conduite de la raison. Quand à l’action commandée, c’est-à-dire l’obéissance, elle ôte bien d’une certaine manière la liberté, mais ce n’est pas cela qui rend immédiatement esclave, c’est la raison de l’action. Si la fin de l’action n’est pas l’utilité de l’agent lui-même, mais de celui qui commande, alors l’agent est esclave et inutile à soi-même. Mais dans un État et sous un pouvoir où la loi suprême n’est pas le salut de celui qui

Toutes les opinions sont-elles tolérables ? (corrigé de dissertation, fait par I. Smadja) Voici la problématique de ce sujet (qui ne doit pas apparaître dans le devoir qu’intégrée à l’intro cf ci-dessous): D’un côté, nous savons bien que la liberté d’expression est un droit fondamental de l’être humain, qu’interdire à quelqu’un de s’exprimer, de dire son opinion, c’est en quelque sorte lui refuser le droit d’avoir un statut dans le monde, c’est quasiment lui refuser le droit d’être. Bref, nous