Peut On Désirer Ce Qui Nous Rend Malheureux

évitant le malheur qui accompagne le bonheur ? Le désir est considéré par Spinoza dans L’éthique comme une force vitale. Se contenter de peu de désirs revient à vivre moins intensément, et donc à moins être heureux. -Un homme qui n’a pas de rêves, de but dans la vie ne trouve pas de raison même à vivre. Espérer, rêver, c’est avancer dans la vie, c’est ce qui nous pousse à agir. -Assouvir un désir mène dans un premier temps au bonheur, mais une fois ce désir assouvi, un autre vient forcément combler le

la liberté de l’homme peut faire son malheur, nous pensons que cette question est contradictoire. Dans un premier temps la liberté de l’homme ne peut pas faire son malheur car quand on parle de liberté, on raccroche ce mot au bonheur parce qu’être libre c’est agir celon nos désirs. Mais une personne libre est une personne qui n’est influencé par personne et qui a des responsabilités qui conduisent à des choix difficiles. Ainsi l’homme libre est-il heureux ou la liberté peut-elle apporter son malheur

Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? L’homme désire, tel est sa nature. Le désir n’est pas contrôlable, parfois perçu comme mauvais, chez les bouddhistes par exemple. C’est une force inconsciente et est imaginaire. On l’oppose a la volonté, au besoin et la raison. Le désir fait vivre et est humain. Il entretient un lien étroit avec la réalité puisque il vient de l’imaginaire. Le désir est sans limite, mais sa réalisation rencontre les limites de la réalité. Il est donc intéressant de

Dom Juan désir continuellement, et ses objectifs et ses envies sont inlassablement renouvelés. Malgré cela, sa vie du séducteur n'est pas apprécié et un dilemme s'impose à lui : mourir ou arriver a se fixer avec une femme et vivre sainement. Pensant être intouchable, sa recherche perpétuelle du désir va lui porter préjudice et va finalement le mener à sa perte. Mais est-ce que le désir de dom Juan le rend malade ou justement le comble ? Car maladie est associé avec souffrance, elle peut être aussi

bonheur n'est jamais choisi en vue de ces biens, ni d'une manière générale en vue d'autre chose que lui-même". Aristote, Éthique à Nicomaque, I, 5, 1097 a 20 - 1097 b 7. "Le concept du bonheur est si indéterminé que, quoique chacun désire être heureux, personne ne peut jamais dire d'une manière déterminée et conséquente ce qu'il souhaite et veut véritablement. La raison en est que, d'un côté, les éléments appartiennent au concept du bonheur sont tous empiriques, c'est-à-dire doivent être dérivés de

faim" avait écrit Alphonse Daudet prenons comme exemple nous enfant lorsque nous percevions le camion de glace. Nombreux d'entre nous ont couru jusqu'à leurs parents afin qu'ils nous en achète une. Parfois ils acceptaient c'est alors que notre petit désir était assouvi mais parfois ils refusaient car nous sortions tout juste de table et n'avions pas voulu finir notre assiette. Nous en déduisons que cette glace était de la pure gourmandise non pas un besoin. Ce refus de leur part s'accompagnait bien

on peut même se demander si nous sommes à la recherche d'un plaisir? Cette question est assez paradoxale puisqu'elle laisse supposer que dans l'amour il y a quelque chose que nous n'aimons pas, ce qui va à l'inverse même du principe de l'amour. Ainsi peut- être n'aimons nous que dans l'amour le simple fait d'aimer, l'amour peut-il être son propre objet? Dans un premier temps nous allons voir ce que l'Homme aime réellement, et dans un deuxième temps nous verrons que ce qu'il aime n'est peut être

philosophiques. Nous pouvons prendre l'exemple de l’œuvre de Candide de Voltaire. Ce dernier est un conte philosophique, un apologue. Pour cela nous nous situons dans le siècle des Lumières (XVIII). Le film into the Wild nous présente un homme assez malheureux dans l'ensemble, il ne supporte pas la société et pour éviter cela, il part tout seul à la recherche du bonheur. Durant cette histoire, le jeune homme (Christoper) fit plusieurs rencontres différentes. Ces dernières vont l'aider dans sa quête du

Le mot désir ( du latin « de », « absence de » et « sidus », « astre, étoile » ) se définit comme un manque, une tension, visant un but (la satisfaction) au moyen d’un objet, d’une personne ou encore d’un état de choses. Avoir le désir de marcher sur l’eau ou de sauter de nuages en nuages est absurde, car on sait que c’est impossible. Il est donc illogique de chercher à le réaliser. Les limites du désir ne semblent pas exister : on peut rêver d’avoir des pouvoirs magiques, de voler, on peut désirer

puis qu’elle revient a dire que la personne désirer a tout pour être heureuse mais qu’elle ne l’est pas. L’expression « il a tout pour être heureux, n’est elle pas employée sur un ton de reproche ? Un ton de reproche qui voudrait dire qu’a sa place, la dite personne serait heureuse ? Un pic de jalousie, une envie d’avoir tout ce que cette personne possède en l’accusant de gaspillage ? L’expression peut simplement refléter la naïveté ou la sottise de