Peut On Désobéir Aux Lois Au Nom De Sa Conscience Morale

initiatique : En effet les maux qui affligent le protagoniste de ce récit sont liés à sa descente dans les profondeurs obscures des ténèbres, qui a pour finalité la remonté vers la Vraie Lumière.  En effet, la purification d’une vision  altérée du sacré ne peut se faire qu’à travers une dynamique christique de VIE-MORT-VIE, ou de MORT-RESURECTION si on préfère. Voilà, toutes ces choses, Dieu les fait Deux fois, même trois, à l'homme, Pour ramener son âme de la fosse, Pour l'éclairer de la lumière de la vie

imprévue, //// La royauté française a 13 siècles dʼexistence depuis Clovis. La France est le plus ancien royaume dʼEurope. Cette ancienneté se transforme en prestige, qui rejaillit sur les français. Au 18eme siècle, la France exerce une supériorité morale, intellectuelle, culturelle, sur lʼensemble de lʼEurope. Dans les RI on sʼexprime en Français. La France demeure LA référence en matière culturelle, politique, juridique... Il est difficile de comprendre comment en moins de 3 ans ( 1789 à 1792 ) la

LOINTAINES CHAPITRE 1 - LA CITE GRECQUE S1 - LES ORIGINES A – LE CADRE POLITIQUE Le monde grec se caractérise à la fois par son unité et ses divisions, ces dernières le conduiront d’ailleurs à son déclin. L’UNITE : Les Grecs ont conscience de former une collectivité, d’appartenir à un ensemble qui les oppose au monde extérieur ; celui des barbares. Ce sentiment remonte en fait aux guerres médiques (499-449 AV JC) où tous les grecs se sont unis face aux perses réussissant ainsi à les

citoyen : droit de vote et de choisir qui les gouverne = démo indirecte) Il y a une assemblée d’élus a Athènes. Les citoyens st tirés au sort pr faire les lois et gouverner. La responsabilité π est entre mains citoyens. A Athènes il y a la pratique de l’esclavage, ils étaient qualifiés d’♂ nn-libres dc nn-citoyens et ne pouvaient ê gouverner par des lois : l’esclave est à la Mercie de son maître, il subit et n’est protégé par aucune loi. Les cités se faisaient souvent la guerre et les vainqueurs s’octroyaient

INTRODUCTION AU DROIT PRIVE Introduction : Le mot DROIT peut être appréhendé sous deux approches : en premier lieu, le Droit est un ensemble de règles destinées à organiser la vie en société, lesquelles ont vocation à s'appliquer à toutes les personnes formant le corps social. C'est l'aspect du Droit que l'on nomme Droit objectif, lequel étudie la règle de Droit en elle-même, abstraction faite de son application aux personnes qui y sont soumises. Exemple : la partie du Droit qui s'occupe de

envoyer msg citoyens) (ex:loi VS chô:nmbreuse mais pas dim chô) Plupart serve à montrer gouv agisse. Impossible que dt soit pas complexe, plurale mais pas changeant. b)essai d'une def du dt Pas off car dif à distinguer de d'autres regula° comportmts (moral, religion) -dt est social: but est reglementer comportemts H en soc (ds rapp prof et perso). Dc dt existe que si ya 2pers ou + -regule rapp hum pr plus utiliser force mais a pas completmt disp mais très limité (état utilise force pr maintien ordre

idées morales 4 5. L’Etat 4 B. La notion de pouvoir 4 1. Les formes de pouvoir 4 2. Les trois types de domination (Weber) 5 C. Les différents types de régimes politiques 5 1. Le meilleur régime est celui où le philosophe est roi (Platon) 5 2. Les bonnes constitutions sont celles qui visent l’intérêt commun (Aristote) 6 3. Le meilleur régime dépend de circonstances (Montesquieu) 7 II. Le contrat ou la guerre : deux modèles pour penser l’Etat 7 A. Le contrat et la justice 7 1. Les lois constituent

la monarchie absolue, régime à priori aux antipodes des droits de l’homme. Absolutisme : ce qui est 1er : l’état. Les libéraux (pas encore nommés ainsi) pensent que la société peut s’auto réguler : nombre d’entre eux imaginent un contrat social pour déterminer quelles sont les tâches de l’Etat. On ne peut concéder tous les droits à l’Etat car on ne peut pas céder quelque chose qui n’existe pas. Le libéralisme suppose une suspicion de principe (légitime défiance) vis-à-vis de l’état, des dirigeants

La conscience   La conscience, c’est la faculté, c’est-à-dire le pouvoir qu’a l’esprit de se représenter quelque chose. C’est donc la conscience qui fait que l’on n’est pas seulement dans le monde comme une chose enfouie perdue par les choses, mais que nous sommes devant le monde, c’est-à-dire comme un sujet se tenant face à un objet extérieur à lui-même. La conscience implique donc une certaine séparation, une certaine distanciation par rapport à ce sur quoi elle porte, c’est-à-dire son objet

KAJABIKA qui a accepté de préfacer cet ouvrage. Merci à mes formateurs le Père A. BOUR et Dr Hyldegard Goss. Ma profonde gratitude est adressée à ma famille : mon père ma mère, mes frères et sœurs ainsi que mon épouse et mes enfants pour leur concours moral. Merci aussi à mes confrères Maître KIRIZA MASHALI, Maître SWEDDY BASILA, Maître TAOMBO OLAMBA, Maître UTSHUDI MBALA et Messieurs Christian KILUNDU, Faustin NVUYEKURE, Benjamin avec qui nous évoluons dans l’assistance judiciaire et la défense des