Peut On Obéir Librement

l'Etendue et la Pensée, ce qui signifie que la justice n'en fait pas partie. La Bible n'est pas pour Spinoza un texte qui cherche la vérité. On y trouve rien de philosophique mais seulement des injonctions, des ordres dont le seul but est de faire obéir les masses. La liberté (et en particulier la liberté de penser) suppose donc nécessairement la critique de toute religion. On voit donc apparaître chez Spinoza l'idée d'une différence entre la politique et la religion déjà très moderne. Spinoza conceptualise

Cependant, on constate que toute action humaine repose sur un certain nombre de contraintes, ne serait-ce que les limites naturelles imposées par la condition humaine : on ne peut pas marcher sur l'eau, on doit mourir un jour... De plus, l'être humain est un individu social qui ne se réalise qu'au contact d'autres hommes. Or, peut-on penser que ceux-ci resteraient libres, sans morale ni contraintes publiques ? L'objection nous montre que notre définition est trop large car l'on risque de nier toute

L’autorité L’Homme est un être qui ne peut vivre seul. Il éprouve le besoin de vivre entourer de gens, c’est-à-dire en communauté. L’évolutionnisme qui permit à l’homme de perfectionner sa communauté en créant une certaine organisation hiérarchique. Il créa une société organisé sous forme de système, dirigé par des ministres, des diplomates, des agents, des colonels et autres. L’autorité c’est le droit ou le pouvoir de commander et de se faire obéir. De L’antiquité au monde contemporain, dans

loi du talion (voir Juges 1, 6 et 7) ❖ Des lois de l’honneur ❖ Des lois électorales ❖ Des lois organiques ( mode et action des institutions) ❖ De la loi martiale 3 - Citez des institutions ou des personnes qui créent les Lois ? On peut citer : Les institutions européennes, le gouvernement, les députés (et sénateurs), les maires, etc … mais aussi vous-mêmes dans le cadre par exemple d’une association (les Statuts) ou d’une co-propriété (le règlement de co-propriété) 4 - Citez

Libertés absolue et limitées Cette sous partie traite tout ce qui touche aux limites des libertés qu’à l’homme. C’est à dire de savoir jusqu’où nous pouvons aller sans être soumis au droit, ou dans le cas ou celui-ci interviendrait de quelle manière peut-il nous protéger. En effet car si le droit nous libère c’est parce qu’il proscrit à l’homme le fait de respecter autrui. 1) Libertés publiques Au cours du temps les notions de libertés ont évolué. Un des éléments fondateur des grands changements

l'éducation de soi et des autres. Il y a un devoir de solidarité envers ceux avec qui on partagé nos conditions socio-culturelles pour participer au processus d'éducation. Leurs problème n'est pas de ne pas voir, tout en chacun peut voir. On parle de l'usage de ses capacité qu'on peut ou non pas faire. La conversion de l'âme est une manière de voir. Il faut éduquer la vision ou sortir de la caverne de l'ignorance ? On doit sortir de la caverne car il y a moyen de tourner son regard vers une autre direction

une pratique dont le but est de développé l’autonomie de la pensée, penser librement et le mieux possible par soi-même. En Belgique, aucun pré-requis dans l’enseignement secondaire. Autre cliché qui dit que la philosophie est une réflexion abstraite qui est déconnectée de la réalité et réservée aux rêveurs, alors que c’est un outil intellectuel pratique. Le but est de développé l’autonomie de la pensée, pensé librement et le mieux possible. L’enjeu de la philo : comment penser par soi-même 

rapport à ce que la femme devait subir : « Il dit à la femme : J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi » Il n’y avait rien à dire, il fallait juste obéir et les hommes ont été très obéissants, ils se sont occupés de s’ériger sur les femmes comme des maîtres absolus. Les femmes devaient être « protégées » par une figure masculine pendant toute sa vie, depuis la naissance et jusqu’au mariage, cette

totalement inaptes aux Lumières. Ce qui prouve à quel point il est nocif d’inculquer des préjugés, parce qu’ils finissent par se venger même de leurs auteurs ou des prédécesseurs de ceux-ci. C’est pourquoi un public ne peut qu’accéder lentement aux Lumières. Une révolution pourra peut-être causer la chute du despotisme personnel ou d’une oppression cupide ou ambitieuse, mais elle ne sera jamais à l’origine d’une vraie réforme de la façon de penser ; de nouveaux préjugés serviront, tout comme les anciens

poursuites lancé contre les protestants par François 1er. Il se réfugie en suisse et en 1536, il publie un ouvrage dans lequel il expose une nouvelle doctrine religieuse: la prédestination. Pour lui, Dieu a choisit les élus et les damnés et personne ne peut rien y changer. Calvin organise à Genève une Eglise intransigeante sur le respect du dogme et de la moralité; un médecin est brûler vif pour avoir nié le dogme de la trinité: Dieu est la père, le fils et le saint esprit. - L'Eglise Anglicane