Peut On Renoncer Au Progrès Technique

religions sans Dieu. Et prenez toujours grand soin de ne pas confondre religion et fanatisme, superstition et fondamentalisme. L’étymologie est ici particulièrement instructive. Le mot « religio » serait dérivé de « religare » qui signifie « relier » et peut-être aussi de « relegere » qui veut dire à la fois « respecter » et « recueillir ». Or la religion, c’est à la fois ce qui relie les hommes à une puissance qui les dépasse, tout en les reliant entre eux. Mais c’est aussi un retour méditatif sur

Introduction : « L’homme libre ne veut que ce qu’il peut, et fait ce qui lui plaît1 ». La philosophie est souvent définie comme la recherche ou l’amour de la sagesse. Elle n’est pas simplement un savoir portant sur un des aspects de la réalité ou de l’être mais s’efforce aussi de répondre à la question du sens même à donner à notre existence. La question par laquelle ce passage débute exprime directement ce souci. Vivre… soit, mais comment vivre bien, vivre heureux ? Le texte s’ouvre sur cette question

parallèle entre deux civilisations qui ont vécu l’expérience du sacré différemment, nous pouvons être tentés de conclure que chacune des deux a une position propre sur tout ce qui relève du vivant et notamment des problèmes posés par les nouvelles techniques médicales. Pourtant, l’observation attentive des débats bioéthiques dans les quatre coins du monde nous révèle une réalité : si la biomédecine constitue un autre champ permettant l’intervention du religieux dans les sociétés musulmanes, elle permet

s'agissait, pour chaque pays, d'exporter plus qu'il n'importe, afin de s'enrichir aux dépens de ses voisins. Ce n'est qu'à la fin du 18ème siècle, avec notamment A.Smith (1776) et D.Ricardo (1817) que se développe l'idée qu'un commerce international libre peut être mutuellement profitable pour les pays qui y participent. Cette idée s'est progressivement affinée et étayée, jusqu'à devenir aujourd'hui la doctrine économique dominante en matière de commerce international. Nous allons présenter ici rapidement

« Le maxime de tout chef de famille est de ne jamais essayer de faire chez soi la chose qui lui coûtera moins cher à acheter qu’à faire. Le tailleur ne cherche pas à faire ses souliers mais il les achète au cordonnier ... Si un pays étranger peut nous fournir une marchandise à meilleur marché que nous ne somme en état le d’établir nous même, il vaux mieux que nous la lui achetons avec quelque partie de notre industrie, employée dans le genre dans lequel nous avons quelque avantages »

d’objectivité possible. En outre, les faits historiques ne se succèdent pas au hasard mais selon un lien causal qu’il appartient à l’historien de retrouver à travers une mémoire collective mais aussi par sa propre raison. D’où le problème : l’histoire peut-elle être ramenée à une suite de faits dont il suffirait de conserver la mémoire ou bien l’historien doit-il développer un point de vue rationnel sur l’histoire ? 1. Les titres en gras servent à guider la lecture et ne doivent en aucun cas figurer

four à bois.S’il se décrit aujourd’hui comme « paysan-meunier-boulanger », Jean Sébastien Bernard était au départ menuisier.Il y a cinq ans, il a commencé à faire du pain pour sa famille et ses amis. À force de passion, il a affiné le geste, ses techniques pour faire de cette production son activité principale. Depuis, il produit du pain de la terre au fournil.Jean Sébastien Bernard confie :« La fabrication du pain est l’aboutissement d’un long chemin car il faut entretenir le sol, semer le blé, effectuer

rémunération du travail, sous réserve du SMIC, mais il doit respecter un certain nombre de principes, tels que l'absence de discrimination. La rémunération peut être forfaitaire ou variable. Si elle est indépendante du nombre d'heures travaillées, il s'agit d'une convention de forfait. Il s'agit principalement du salaire, mais aussi de diverses compensations supplémentaires : primes, intéressement et participation

façon générale vers la rupture des liens de type patriarcal. Pour certains, pour la majorité peut-être, cette rupture constituait une émancipation par rapport à une tradition devenue opprimante. Pour d’autres, plus pessimistes, elle engendrait un nouveau type de société caractérisé principalement par une morale égoïste et par une vie sociale atomisée. Mais qu’ils considèrent le phénomène comme un progrès ou comme le signe d’une décadence, tous les philosophes, qu’ils soient de bords aussi éloignés

réformiste puis radical, nous avons eu l’heureuse chance de connaître un autre point de vue aux relents culturalistes[1]. Pour résumer la critique de l’auteur envers moi et Benmoumen : la gauche a comme socle commun un eurocentrisme viscéral dont elle ne peut se détacher conduisant en fait à un élitisme méprisant envers le peuple. En plus que ce constat est faux pour moi au moins (premier point), cette critique porte un projet obscurantiste (deuxième point) et une vision essentialiste du monde (troisième