Peut On Renoncer Librement à Sa Liberté

responsabilité peut être vue comme délicate. Sommes nous responsable seulement des actes que nous avons commis? Dans ce cas la, pourquoi la justice ne reconnait pas un criminel qui tue en état de folie par exemple, comme étant responsable de son acte alors que aux yeux de la loi les parents sont responsables des actes de leurs enfants? On constate de ce fait que la question de la responsabilité, au niveau juridique, se lie a celle de la liberté humaine. Un homme libre peut répondre des actes qu'il a posé.

L’Homme se distingue souvent des animaux et a un mode de vie particulier très différent de ceux-ci, il a de plus pris le dessus sur l’ensemble de la planète jusqu’à pouvoir choisir de la détruire ou de la préserver. On pourrait alors se demander quelle est la cause de cette distinction. Ici, Rousseau voit en l’Homme et l’animal deux machines à qui la nature aurait donné des sens. Ainsi les animaux ont un entendement semblable à l’humain. Cependant, l’animal est restreint par son instinct, et la nature

Culture: rassemblement de traditions, coutumes et comportements hérités à travers les époques              : désigne dans le langage courant également tout ce qui est a lieu dans un contexte artistique  Notions relevés: ­traditions/coutumes/sociétés humaines ­religions/croyances/courants/règles morales ­langues/langage/communication ­héritages ­transmissions orale et écrite/échanges de connaissances/éducation/cultiver/instruction ­l'histoire ­cause/fin Sujets à réflexion: « Peut­on considérer la culture est­elle un luxe inutile

c’est renoncer, sans abandonner, à une part de sa force, de son pouvoir… La tolérance intervient quand la connaissance fait défaut en nous laissant dans le domaine des opinions. Elle fait abstraction du « moi » au bénéfice d’autrui. Elle nous oblige à nous remettre en question en nous laissant entrevoir que ce que nous tenions pour vrai ne l’est sans doute pas plus que la vérité de l’autre. Elle ne peut se concevoir que si l’action ou l’opinion tolérée n’est pas contraire à la règle morale où à la

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celui de la création avec Adam et Eve, qui illustrent un acte plus ou moins inconscient. En effet d’après Freud, tout homme est composé de cet inconscient, instance psychique, à laquelle il n’a pas accès, possédant un mode de fonctionnement et des caractéristiques propres, et de nature à nous faire agir. Quant à la liberté, elle s’entend comme un libre arbitre, elle suppose que nous puissions choisir. Or, choisir c’est décidé en conscience : nous optons volontairement pour telle action parce que

destinée, et la hiérarchie sociale ne renvoie plus à un ordre social pré-établi qui donnerait à chacun une place, des droits et des devoirs différents. En effet, bien que n'étant pas équivalentes, les positions sociales peuvent évoluer et ne cristallisent pas l'ensemble de l'existence sociale des individus. Tous les hommes possèdent une liberté naturelle (la potentialité d'agir librement), qui se traduit dans la cité par une égalité des droits. Il y a donc une quasi-équivalence entre démocratie et

grâce au déclin de l’Europe. Les Américains et les Soviétiques, appartenant tout 2 à la Grande Alliance vont se séparer à cause de leurs différences idéologiques. Chacun des 2 modèles se veut universel, expansionniste, le modèle de référence mondial. Cette lutte va susciter de nombreuses tensions et crises faisant peser sur le monde la menace d’un troisième conflit mondial avec notamment la crise de Cuba en 1962. Ce face à face ne prendra fin qu’avec la disparition de l’un des 2 protagonistes, l’URSS

Etats-Unis de 1861 à 1865, nous invite à penser que dans un régime démocratique tout le pouvoir est dans les mains du peuple : le pouvoir est détenu ou contrôlé par le peuple sans aucune distinction ; c’est le principe d’égalité. Dans un tel régime le peuple est souverain. Mais puisque l’Homme est un loup pour l’Homme à l’etat de nature, les volontés individuelles vont se confronter. Cela va évidemment engendrer une sorte de violence au sein de la société puisque chacun va défendre sa liberté tout en negligeant

C’est donc du problème de la définition de la liberté ( en particulier de la pertinence de la vision commune de la liberté comme indépendance) et de la place des désirs dans une existence libre dont nous allons traiter. I. C’est quand on ne peut les satisfaire que l’on ne se sent pas libre au sens d’indépendant le désir se distingue de la pulsion involontaire et du besoin nécessaire, vital : c’est déjà une signe de liberté, on semble choisir de désirer, ce qu’on désire et de satisfaire