Peut On Vouloir Etre Immortel

raison, c’est la naissance de la philo de la pensée de la science d’un régime rationnelle et rationnaliser qui est la démocratie. Cela commence avec l’école de Milet, c’est une école de scientifiques, de penseurs, porter pas le professeur Thales. On peut dater le début de la philo à son nom c’est au 7 siècle avant JC. L’école de Milet va faire la première le passage d’un discours mythique à un discours logique. Avant Thales on comprenait le monde à travers le mythe, la poésie, le récit… A l’école de

que Schopenhauer, et qui en ce faisant, le prive d’une grande majorité de son audience. Schopenhauer arrêtera d’enseigner après 6mois seulement.Le principe fondamental de la Volonté Schopenhauer est à l’origine du concept de Volonté, du concept de vouloir-vivre. Il s’évertue à expliquer tout au long de son œuvre, que la Volonté est partout, qu’elle est partie intégrante du monde et que tout ce qui se donne à la connaissance n’est en fin de compte, qu’expression de la Volonté toute puissante et n’est

Conscience ! Conscience ! Instinct divin, immortelle et célèste voix, juge infaillible du Bien et du Mal, qui rend l'Homme semblable à Dieu" (Rousseau - Emile) " L'Homme peut-il atteindre la certitude en ce bas monde ? " (Descartes) " Pour examiner la vérité, il est besoin, une fois dans sa vie de mettre toutes choses en doutes. " (Descartes) Doute gnoséologique (des sens) : Le soleil tourne autour de la Terre, il est plus petit qu'elle. " On ne peut se fier à ceux qui nous ont une fois trompé

Selon Kant, le bonheur ne peut pas être défini : nous ne pouvons pas dire avec certitude ce qui nous rendra heureux : « Le concept du bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu’a tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents ce que vraiment il désire et il veut ». Le sujet proposé nous amène à réfléchir sur la nécessité de tenter d’obtenir le bonheur ou de le chercher méticuleusement pour découvrir ou connaitre cette sensation

que le droit à la parole. C’est presque questionnable lorsque l’on sait que Mme de Gouges a été guillotinée pour ses idées. « Dis-moi » + tutoiement : elle donne des ordres forts. Elle semble vouloir une réponse, elle insiste, alors que ses réponses sont rhétoriques. L’on n’a pas l’impression qu’elle laisse le temps de répondre. En plus, tout le long du texte, elle tutoie l’homme à qui elle s’adresse : c’est une façon de le faire redescendre

deux morts » St Augustin - XXVI, « Notre être véritable est hors des atteintes de la mort » Schopenhauer - XXVII, « Nous sentons et nous expérimentons que nous sommes éternels » Spinoza L'idée que nous pouvons nous faire de la mort est à première vue est purement négative : biologiquement, la mort est l'état définitif d'un organisme qui a cessé de vivre ; pour l'individu, c'est la fin de son existence physique. Pour certains philosophes, la mort peut être quelque chose de positif, une sorte de libération

de notre destruction personnelle. Celle que l'on ne voit pas venir, qui nous brûle petit à petit. «La flamme de l'amour» «Un amour ardent» Ce n'est que le début. Une immolation intérieure, agréable au départ et terrible à la fin. Tellement qu'on ne peut jamais s'en remettre complètement. On meurt, on se ressaisit, on recommence, une régénération perpétuelle mais jamais complète. On finit par ne plus avoir rien à donner. Brûlé à vif. Complètement. Au point de ne plus rien pouvoir supporter, plus rien

1) Le choix du thème de la mort 2) Le choix des poèmes c) Biographie des auteurs d) Analyse des trois poèmes et comparaison 1) Le Mal d’Arthur Rimbaud 2) Je n’ai plus que les os de Pierre Ronsard 3) Mémoire immortelles de Rhita Benjelloun 4) Comparaison des trois Poèmes Conclusion II) Deuxième Thème : L’amour a) Présentation des textes b) Justification du choix 1) Le choix du Thème de L’amour

texte est relativement claire : il s’agit de montrer la supériorité absolue de la beauté de l’œuvre d’art, sur les beautés naturelles : un beau paysage peut être charmant, mais il est dénué de signification, s’il n’est pas pensé. Pour cela l’œuvre d’art est supérieure. La structure de son argumentation suit et permet de développer cette idée. On peut décomposer le texte en trois parties, et à chaque fois, on assiste au même mouvement : l’art dépasse la nature, car la nature existait avant l’œuvre

l’expression de la quintessence de l’humanisme antique. La phrase de Térence reprend elle-même un fragment de Ménandre, affirmant que le nature humaine est une dans la mesure où elle est dans son état de pureté, et qu’un homme vertueux ne peut être un étranger pour un autre homme vertueux. L’affirmation porte donc initialement sur l’unité de la nature humaine en dépit de laiversité des hommes. Il n’y pas de barrière ou de frontière entre deux hommes bien, quand bien même ils appartiendraient