Peut On être Indifférent à La Beauté

premier temps, nous verrons en quoi ces poèmes décrivent-ils une femme séductrice et désirable. Tout d'abord, ces poèmes sont destinés à des femmes toutes décrites comme belles. Dans le poèmes Les Bijoux, la femme en question est nue : « la très-chère était nue », ce qui évoque un charme féminin. Elle n'a gardé que des bijoux, ce qui est tout autant évocateur de la beauté féminine : « elle n'avait gardé que ses bijoux ». De plus, cette femme attirante est sure d'elle : «  elle souriait d'aise ». Le vocabulaire

A UNE PASSANTE BAUDELAIREVoc : fastueuse : qui marque un déploiement de magnificenceFeston : bordure brodée, denteléeExtravaguant : égaré, fou, qui est sorti des chemins (étymol)Livide : d’une pâleur terne, plombée, bleuâtreTemps de « j’eusse aimée » : plus que parfait du subjonctif, valeur de conditionnel passé «  j’aurais pu t’aimer », valeur d’irréel «  cela ne s ‘est pas fait »Le poète rencontre une inconnue dans la rue. L’apparition le fascine, mais elle est de courte durée car la femme s’en

A - Présentation 11 paragraphes de longueurs inégales campent, majoritairement au présent descriptif, le portrait physique et moral d’une belle Indienne à la peau noire, probablement rencontrée à l’Ile Maurice à l’âge de 20 ans (1841), inspiratrice de " A une Malabaraise " (1846), poème XX des Epaves, pièces condamnées des Fleurs du Mal, et de " Bien loin d’ici " (1859), poème X des Additions de la 3e édition), personnage émouvant autant pour son exotisme que pour le contenu dramatique de sa vie

introduction (définition et problème) : On peut se poser la question de ce qu'est l'art car il est difficile de trouver le point commun entre toutes les oeuvres d'art. Exemple: Quel est le point commun entre les fresques de Michel Ange et le « Land art » ou même le carré blanc sur fond blanc ? Dans l'usage courant, on associe souvent le thème art à celui de beauté. Une oeuvre d'art pourrait être définie comme la représentation d'un idéal esthétique. Mais problème : Toutes les oeuvres ne

que l’Art est et ne peut être que la reproduction exacte de la nature. » Au contraire, un critique de la Revue des Deux Mondes déclarait quelques années plus tard : « L’Art est dans le choix, dans l’interprétation des éléments qui lui sont offerts, nullement dans la copie littérale de tel ou tel détail indifférent ou repoussant ». Si l’Art n'est qu' une copie, alors la plus belle œuvre serait la photographie. L'art n'imite pas la realité mais la represente a travers les yeux de l'artiste

cette affirmation à partir des pages 39 à 54 du roman. Dans l'univers du roman contemporain québécois, le quatrième roman de l'essayiste et la romancière Cathrine Mavrikakis, Le Bay City, se distingue avant tout par la richesse du récit. Combinant des éléments de littératures migrantes et de postmodernisme, l'écrivaine s'intéresse à l'Amérique, terre de tous les espoirs, grand continent ouvert à donner gîte, nourriture et travail à une immigration souffrante et se relevant à peine de ses drames

 Il décrit son milieu c’est à dire l’aristocratie sicilienne et son récit retrace  plusieurs décennies d’une histoire de grande famille, mutation sociale et politique de l’Italie  au XIX siècle.   Lampedusa analyse le déclin de la noblesse à qui il reproche sa facilité, cédant la lace à une  bourgeoisie avide tant sur le plan social, financier et politique.    Problématiques :   Comment le déclin de la noblesse est­il souligné à travers l’arrivisme des deux personnages  ?    I. Le déclin de la noblesse    a) Le personnage de Concetta et sa vision du monde 

Décris le personnage 1? Le personnage 1 est mutilé. Il n'a plus de jambes, il lui manque un bras et il est aveugle. C'est une gueule-cassée, il est défiguré. 2. Que fait-il? Il mendie. 3. Pourquoi est-il dans cet état? C'est un mutilé de guerre. Il a reçu ses blessures pendant la Première Guerre mondiale. 4. Est-ce le seul personnage dans cet état? Non, un autre personnage, au premier plan, est également mutilé. Il n'a plus de jambes. 5. Qu'est-ce qui le différencie du personnage 2? Le mendiant

Clèves. « Il parut alors une beauté à la cour ». Commentaire composé. Texte à commenter. « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite … et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes. » Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes

I)A) - etrange beauté de la nature : " les prés [...] rosés] soleil [...] brilleront" "somptueuse," ""luxueux" "divinité" " doux" => Tout ce champ lexical de la beauté constitue un paradoxe. On est mal à l'aise car la nature semble totalement indifférente à l'horreur du camp de concentration. -etrange calme de la nature : "aucun bruit" " les chiens dorment" => ce calme contraste avec la violence du camp - force et santé de la nature -"sommeil sain et repu" "nourissent" " transpirent"