Peut On être Libre Sans être Conscient

Par exemple un esclave na pas la capacité d'etre libre comme un autre individu car il en est empéché par une force exterieur. La liberté peut prendre plusieurs formes, liberté physique, liberté morale, liberté politique... De nombreux auteurs se sont penchés sur la question de liberté comme Isaiah Berlin par exemple qui voit le sens de la liberté dans la liberation de tout lien. Ou encore Jean Jacques Rousseau qui lui dit que "'homme est née libre et que partout il est dans les fers". La liberté

moi-même, le « moi », « empirique » nous dit Kant ( = celui dont on peut faire l’expérience) désigne la synthèse toujours changeante de nos multiples manières d’être. Il est ce qui constitue notre identité qui ne cesse de se reconstruire à mesure que nous nous positionnons dans le monde. Dès lors, le « moi » que je suis ce révèle dans toutes sa fragilité. Je prends conscience de la contingence de mon identité du fait que j’aurais pu être autre et qu’à tout moment je peux devenir autre. Le sens et la

-puisqu'on en a  conscience- mais en face, on peut opposer que ce n'est pas parce que l'on sait qui on est qu'on n'a pas d'actes manqués, c'est-à-dire que parfois, ces mots, certains gestes nous échappent, par rapport à des situations qui nous dépassent et que l'on ne peut pas contrôler. Dès lors, est-ce que l'on reste maître de soi-même ? La colère par exemple est une émotion forte, et bien que l'on ait conscience d'être en colère, donc de son être entier rempli par cette émotion, le propre de la

madame ". L'émotion peut également jouer un rôle , en effet sous le coup de l'émotion, je peux ne plus me contrôler et mal agir. Je peux ne plus être totalement responsable de mes actes. 1 ) Ai-je toujours conscience de ce que je fais? a - tout acte est l'expression d'une volonté b - agir est souvent un acte qui releve d'une intention consciente et réfléchie il suppose donc une réflexion 2 ) Arrive-t-il que certains de mes actes m'échappent? a - les actes conscients mais non réfléchis

étudié. Si nous sommes conscients et pouvons être conscients de l’être, nous ne pouvons être conscients de la conscience des autres car cette caractéristique humaine et vitale, aussi synonyme de liberté, est un concept personnel. Nous pouvons donc résumer la question que se pose Bergson à celle-ci : Jusqu’où s’étend donc la conscience ? Tel est le problème que résout Bergson dans cet extrait de La conscience et la vie. Le philosophe veut montrer que la conscience peut être attribuée à tous les vivants

C’est donc du problème de la définition de la liberté ( en particulier de la pertinence de la vision commune de la liberté comme indépendance) et de la place des désirs dans une existence libre dont nous allons traiter. I. C’est quand on ne peut les satisfaire que l’on ne se sent pas libre au sens d’indépendant le désir se distingue de la pulsion involontaire et du besoin nécessaire, vital : c’est déjà une signe de liberté, on semble choisir de désirer, ce qu’on désire et de satisfaire

L’écrivain, Antoine de St Exupéry définissait l’homme comme un être responsable. Cela signifierait donc que la responsabilité fait partie de notre humanité, que c’est une chose dont on ne peut se défaire. La responsabilité détermine par définition le devoir de répondre de nos actes, toute circonstances et conséquences comprises. Si nous agissons, nous sommes responsables. Mais jusqu’où va cette responsabilité? En effet peut-on poser une limite à ceci dans le mesure où cela semble définir une des

II.                L'inconscience inclut la responsabilité : ou l’homme seul est responsable de tous ses actes.   Saint-Exupery disait "Etre homme, c'est precisement etre responsable", en ce sens la résponsabilité fait partie de l'inconscience puisqu'elle determine nos actes. Sartre et Alain s'opposent à l'hypotese freudienne, selon eux il n'y a pas de pensée qui s'opere en moi sans moi . Une des citations de Platon dit : « Chacun, parce qu’il pense, est seul responsable de la sagesse ou de

être libre: notez que l'expression semble parler d'une donnée à la naissance et non pas d'une conquête progressive. Or ce qui est donné à la naissance c'est la liberté naturelle de faire tout ce qu'on veut ... si on le peut. Cette liberté est certes théoriquement illimitée, mais si on réfléchit elle est nulle car il suffit de rencontrer devant soi un obstacle infranchissable pour la perdre. La liberté, c'est l'expérience d'une spontanéité par laquelle l'homme s'affranchit des déterminations causales

sujet vient ainsi à désigner un être réel et singulier. Être sujet, c’est se considérer comme un être libre et responsable, capable de rendre compte, notamment par la connaissance, du monde et de soi-même. Le Cogito cartésien constitue sans doute la première affirmation forte d’une opposition de nature entre l’extériorité et un "je pense" présent en tout homme – dont l’existence est garantie par l’exercice de cette pensée, quelle qu’en soit la forme ou la validité. Etre sujet c’est rendre raison des