Phedre Intrigue Principale

auquel invitent l’œuvre et son auteur. C’est ainsi que la littérature est souvent assimilée, par conséquent, à un espace où se transmettent des « formes de savoir » et une « connaissance du réel ». Et c’est toujours le lecteur qui doit être l’acteur principal par qui l’œuvre trouve toute sa richesse.Robert Escarpit distingue deux profils de lecteurs : · le connaisseur (le lettré) qui est capable de porter des jugements littéraires motivés (par sa formation scolaire

et les sentiments du protagoniste. CORNEILLE dit ses pièces implexes: elles ont une intrigue compliquée. RACINE dit que Britannicus, Bérénice ont une intrigue dont le dénouement est prévisible. Le déroulement de la tragédie n'était pas linéaire (ce n'était pas charmant); on utilisait la ''péripétie'' qui est un revirement de l'action: le dénouement qui se préparait est remis en question. Par exemple dans Phèdre, Thésée est vivant et s'approche. Il existe encore un autre ornement de l'intrigue:

qui méprise les événements extérieurs et se réjouit par la vertu ». Ses tragédies constituent l'un des meilleurs exemples du théâtre tragique latin avec des œuvres qui nourriront le théâtre classique français du xviie siècle comme Médée, Œdipe ou Phèdre. Sommaire [masquer] 1 Biographie 2 Apport philosophique et moral 2.1 Conception de la religion 2.2 Une doctrine du bon savoir vivre 3 Références littéraires à Sénèque 4 Bibliographie 4.1 Œuvres 4.2 Études 5 Notes et références 6 Voir

scientifique, dans le contexte du développement des sciences sociales, en particulier de l'anthropologie. C'est aussi à ce moment que naît la mythologie comparée, conçue d'abord sur le modèle de la linguistique comparée. De cette évolution sont issus les principaux courants des études mythologiques aux xxe  xxie siècles, tels l'interprétation ritualiste, l'approche psychanalytique ou le structuralisme. Sommaire  [masquer]  * 1 La mythologie comme ensemble de mythes * 1.1 Les mythologies du monde

veiller à la cohérence des caractères et des personnages d'un bout à l'autre de la pièce. Par exemple, il est invraisemblable qu'une héroïne de tragédie s'abaisse à mentir. C'est pourquoi Racine préfère confier à Œnone la dénonciation d'Hyppolite dans Phèdre de Racine. − la bienséance Il ne faut pas choquer le public en présentant sur scène des actions violentes ou érotiques. On exclut donc de la scène tout ce qui irait contre la morale établie. Il est également préférable que le langage ne rapporte pas

était un compromis entre l’œuvre textuelle et la façon de l’écrire. Pour ce qui concerne le sous thème, le statut du créateur m’a paru être une façon originale de revisiter le théâtre sous toutes ses formes. Pour déterminer le sujet, on a pris les principaux dramaturges anglais et français les plus « connus » dont nous avions connaissance, ce qui a constitué la base de notre dossier. Pour mettre au point ce dossier, nous avons utilisé différents types de documents : des sites Internet du

IV, 3 p. 174). On dénoncera à plusieurs reprises cette scurrilité (bouffonnerie) de Molière ( de Donneau de Visé à Boileau, dans son Art poétique). Le cas de Tartuffe est exemplaire de cette réappropriation par Molière de la farce. Le personnage principal est emprunté à l’univers de la farce, le nom de Tartuffe fait référence au corps : étymologiquement, il désigne tantôt une tumeur, une excroissance qui ne cesse de grossir pendant cinq actes (la farce est plus courte), un parasite[3] qui veut tout

dans le contexte du développement des sciences sociales, en particulier de l'anthropologie. C'est aussi à ce moment que naît la mythologie comparée, conçue d'abord sur le modèle de la linguistique comparée. De cette évolution sont issus les principaux courants des études mythologiques aux XXe ‑ XXIe siècles, tels l'interprétation ritualiste, l'approche psychanalytique ou le structuralisme impériale http://fr.wikipedia.org/wiki/Mythologie Le dieu Thor de la mythologie nordique affrontant

de la première 25 l’organisation des éléments dans l’ordre le plus efficace, comprenant quatre parties : - l’exorde : destiné à capter l’attention - la narration : qui agit pour et contre - la récapitulation : qui reprend les éléments principaux - la péroraison : qui fait appel à l’émotion et prend un caractère pathétique memoria le choix des formes les plus appropriées parmi les procédés, le travail du style les moyens pour favoriser la mémorisation du discours prononciatio

Pourquoi cantonner les grands écrivains aux années grises du collège ? Pourquoi réduire Racine à ce moment passé sur une estrade dos au tableau noir, où nous ânonnions piteusement « À peine nous sortions des portes de Trézène ». L’incandescent auteur de Phèdre vaut mieux que ça. L’heure est venue de retrouver avec le fringant Racine le frisson d’Hippolyte. Ou celui de Julien, celui de Frédéric. De passer l’éponge sur les pénibles vers de La Légende des siècles (« Il n’est pas de brouillards comme il n’est