Philinte Et Alceste

Scène 4 Cet extrait du Misanthrope de Molière est situé dans le milieu de la dernière scène de l’acte V, des vers 1709 au vers 1747. Les personnages présents sont Arsinoé, Alceste et Célimène. Dans cette scène, Célimène s’est retrouvée piégée par les billets qu’elle envoyait. Tout le monde se détourne alors d’elle sauf Alceste qui accepte de lui pardonner et lui fait la proposition de partir avec elle afin de fuir la société. Mais, Célimène va refuser cette proposition. Dans l’extrait qui nous

arrangement entre entre les deux parents de Chimène et de Rodrigue. La scène d'exposition peut nous renseigner sur les caractères dans la grande comédie par exemple. Dans Le Misanthrope de Molière, le dialogue entre Philinte et Alceste met en lumière la misanthropie du personnage principal, Alceste : « Moi, je veux me fâcher et ne veut point entendre. » Son portrait psychique est dressé dès les premières lignes. Dans Le Malade imaginaire, le monologue d’Argan met en avant son caractère hypocondriaque (d’humeur

destinée au maintien d'une « utopie ». Molière « utilise » littéralement Alceste comme projection de ces pensées. Il crée un personnage glorifiant la sincérité et farouchement opposé aux complaisances sans valeurs des mondains: Oronte: Quoi ? vous y résistez ?[2] Cette scène représente parfaitement l'opposition d'Alceste. Il n'acceptera jamais l'amitié d'un individu sans « vraiment » le connaître. Dans cette scène, Alceste refuse d'admettre juste par politesse que les quelques vers d'Oronte

celui de la sincérité. Nous verrons ce qui est critiqué dans ces trois textes et relèverons les différents procédés argumentatifs. Du Bellay va nous montrer comment les courtisant peuvent être hypocrite devant leur roi. Dans le texte de Molière, Alceste va être contre tous ceux qui vont être gentil, poli avec tout le monde qu’il soit bon ou mauvais. La Bruyère va critiquer l’arrogance avec Théodecte qui va toujours vouloir se faire remarquer et être le centre de l’attention. Et enfin, Proust va mettre

Le Misanthrope, ou l’Atrabilaire amoureux fut joué en 1666. Les cinq actes de cette comédie en vers mettent en scène Alceste, le personnage titre, qui déclare dès la première scène : « Je hais tous les hommes. » C’est essentiellement une comédie de mœurs et de caractère ; l’action en est fort mince. Le pauvre Alceste, l’ennemi du genre humain, lui qui ne peut souffrir l’hypocrisie universelle qui fait la société, est tombé amoureux de Célimène, une coquette qui est tout au contraire l’amie des salons

comme une sorte de cure, de remède aux maux de la société. Dans son œuvre Misanthrope, Molière, fait une sorte de thérapie sur les spectateurs et les lecteurs. Cette pièce, traite de 2 personnages, Alceste et Philinte. Alceste, dit seulement la verité, quitte à être en marge de la société, Tandis que philinte est, l’hypocrite, polit et soucieux des apparences, pour rentrer dans les case de l’époque. Cette histoire est doublé d’une part de comique. Ainsi, on notera que cette œuvre met en lumière un défaut

Personnage construit autour d’une obsession centrale, dès le début du spectacle, le définit : - Arnolphe (L’École des femmes) vieux garçon, se gausse cocus, se vante ses précautions pour son mariage avec Agnès - Alceste (Le Misanthrope) refus de composer avec les règles sociales en criant à Philinte : «Laissez-moi, je vous prie.» - Argan (Le malade imaginaire), vérifie prise de médicaments 2 Avant entrée héros, autres personnages ont brossé portrait : Le Tartuffe, L’Avare, Le Bourgeois gentilhomme

choisit de faire alterner discours direct et récit afin de créer une polyphonie, pour ne pas lasser le lecteur. Molière, lui, dans le misanthrope acte I,1, nous présente, dans cette exposition donc, les caractères très différents d’Alceste et de Philinte, mais nous fait aussi comprendre le sujet de la pièce, c’est-à-dire une dénonciation de l’hypocrisie au XVIIème siècle . Il va châtier dans cette pièce les mœurs par l’ironie. A travers deux personnages emblématiques, cette pièce va révéler deux

personnages (qui est parfois une femme !) proposera toujours une voie modérée au milieu de personnages qui présentent un extrême. Exemples : - Les Femmes Savantes : Henriette qui s'oppose à sa soeur Armande ; - Le Misanthrope : Philinte qui s'oppose au personnage principal Alceste.

La fonction sociale de communication est aussi essentielle. Déja philinte montre qu'il convient de respecter des conventions et des codes et que sur le plan relationnel on apprécie beaucoup plus une personne bien élevée comme l'affirme AD. La politesse est donc un code complexe d'une grande utilité, un service à rendre à ses enfants car c'est un passeport social. C'est aussi une forme de diplomatie car on apprend, selon philinte, à taire certaines vérités. toutefois, tous nes partagent cette ID