Philosophie de l'histoire

modeste et particulièrement pieux; et y est mort le 12 février 1804. Il fréquente tout d’abord un collège dirigé par un pasteur piétiste puis entame des études universitaires. Il étudie la physique, les sciences naturelles, les mathématiques et la philosophie. En 1747, la mort de son père l’oblige à interrompre ses études pour s’engager comme précepteur. Dès 1755, il commence à enseigner à l’université de Königsberg, tout d’abord en tant que « Privatdozent » (enseignant payé par ses élèves), puis

germanique | Décès | 14 mars 1883 à Londres,  Royaume-Uni (à 64 ans) | École/tradition | Socialisme, communisme; inspirateur du marxisme | Principaux intérêts | Philosophie, politique, économie, histoire | Idées remarquables | Aliénation et Exploitation des travailleurs; lutte des classes; conception matérialiste de l'Histoire | Œuvres principales | Manifeste du Parti communiste; Le Capital | Influencé par | Démocrite, Épicure, Lucrèce, Rousseau, Kant, Smith, Goethe, Saint-Simon, Hegel

D’APPRENDRE L’HISTOIRE A L’ECOLE ? L’histoire, matière riche et complexe, consiste en l’étude des événements passés. Cette matière est en quelque sorte la mémoire du monde. A l’heure de la mondialisation des échanges et de l’informatique, quel est l’intérêt d’étudier des événements qui se sont produits dans un passé lointain, à première vue sans lien de cause à effet avec la société contemporaine ? Les exigences auxquelles doit répondre l’école aujourd’hui peut faire passer l’histoire comme une

Hegel, ou la naissance de l’histoire philosophique de l’artA. NotionIntroduction : art et dialectique Si l’on part de sa célèbre définition de l’art (ou du beau) comme « manifestation sensible de l’absolu » on ne voit pas bien ce qui distingue Hegel du romantisme allemand dont nous avons exposé les principes. De fait, il a été très proche de Hölderlin et Schelling (ils furent condisciples à la faculté de théologie, le « Stift », de Tübingen) et ses textes de jeunesse font de la Grèce

pas), il s’intéresse à l’histoire et l’économie. Idée politique * Homme est un être agissant en premier et non un être pensant * La racine de l’homme, c’est l’homme lui-même * Il critique la religion (opium du peuple) * La tache de l’histoire est d’établir la vérité * Il critique la politique et l’État : Le peuple crée la constitution, pas l’inverse. Marxisme : Il tente d’expliquer le mouvement de l’histoire à partir des réalités économiques. L’histoire pourrait être une science

marxisme  est  une  conception  du  monde,  c’est­à­dire  une  philosophie,  une économie  politique  et  une  sociologie.  C’est  une  doctrine  qui  vise  la  transformation  du  monde,  une philosophie pratique,  càd de l'expérience sociale des hommes, face à  la nature, face à l’histoire, face à la politique. Le  marxisme selon MArx analyse l’histoire, donne  les moyens d’action sur l’histoire et postule la fin de l’histoire pour la réalisation d’une société harmonieuse. Théorie politique

L’histoire de la philosophie commence, en Occident, dans le monde de l'Antiquité grecque, vers le viie siècle av. J.-C.. Avant même que le mot « philosophie » soit en usage, et qu'il désigne par la suite une discipline à part entière, on considère que la démarche intellectuelle des générations de penseurs dits « présocratiques », étudiant principalement la physique, marque une rupture avec les discours mythologiques, religieux et poétiques qui existaient jusqu'alors, et forme à ce titre l'acte de

En quoi la philosophie est-elle utile à la société ? Sert-elle à l'émancipation ? Guillermo Kozlowski (CFS asbl) Le rapport entre la philosophie et la société « À quoi ça sert ? » On se pose désormais très fréquemment la question à propos de toutes les pratiques humaines. Quel bénéfice en tire notre société ? On se demande à quoi sert l'art ? A quoi servent les mathématiques, le latin, la philosophie ou l'amour ? Un seul domaine échappe encore à la question: la technique. Il y a là un paradoxe.

Maurice Godelier, né le 28 février 1934 à Cambrai, est un anthropologue français. Entré premier à l'École normale supérieure de Saint-Cloud, il est agrégé de philosophie, licencié en psychologie et licencié en lettres modernes. Il entre à l'École pratique des hautes études (VIe section) en qualité de chef de travaux auprès de Fernand Braudel, puis devient maître-assistant de Claude Lévi-Strauss, alors titulaire de la chaire d'anthropologie au Collège de France. En 1975, il est nommé directeur d'études

profession de professeur de mathématiques le conduit d'abord à s'intéresser aux principes mathématiques de l'économie. Il ne veut pas confondre science et philosophie mais pense que les deux sont complémentaires. Il se démarque en cela du scientisme de son époque en pensant que sans la science la philosophie s'égare dans l'imaginaire mais que sans la philosophie la science s'égare dans une rigueur stérile. Cournot développe une théorie intéressante du hasard. Le hasard est la rencontre de séries causales