Philosophie De Pangloss

écoutait ». Cette candeur implique aussi l’idée de pureté : le jeune homme a « le jugement droit » → le héros est un naïf. * Cunégonde, la jeune baronne « fraîche, grasse et appétissante », porte un nom pompeux et peu euphonique. * Le bavard Pangloss, dont le nom signifie « tout langage » en grec porte un nom caractérisant son verbiage pédant et absurde. → noms peu euphoniques ou très ironiques. Voltaire trace en creux les portraits de ses personnages et détourne les codes du code pour les

grand mal (la guerre). Voltaire dégrade Pangloss puisqu'il lui enlève tout (statut, vêtement...). Ce que Voltaire lui enlève c'est en quelque sorte son beau langage. Ici, on voit que la philosophie optimiste s'effondre. Voltaire en profite pour énumérer tout les maux que font subir ces hommes aux innocents. Pangloss termine sa phrase en disant qu'ils ont été vengés. Ici, on parle de manière violente et brutale et il justifie les horreurs commise sur autrui, Pangloss est disqualifié en tant qu'optimiste

L'antiquité, car Pangloss est un nom grec. Effectivement, il y a volonté d'un temps indéterminé. c) Qui ? Dans les contes, les personnages sont caricaturés, sans analyse psychologique fouillé, ils sont stéréotypés. Ici, Candide est le stéréotype du naïf le bâtard. Quant au baron, c'est le stéréotype du tyran, du méchant. Le fils du baron est le stéréotype de l'insignifiant, c'est l'héritier incapable, la baronne quant à elle est le stéréotype de la grosse femme, tandis que Pangloss représente

le fatalisme et l'existence du mal. Depuis longtemps déjà, Voltaire est opposé aux idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu ( cette philosophie se nomme l'optimisme leibnizien.) Dans Candide ou l'optimisme, il s'attaque ouvertement à l'optimisme leibnizien et fait de Pangloss ( un des personnages mettre de l’œuvre ) un défenseur ridicule de cette philosophie. La critique de l'optimisme est le principal thème du conte: chacune des aventures du héros tend à prouver que l'on a tort de croire que

un récit fictif comportant une série de péripéties destinées à retenir l'intérêt du lecteur. Pour cela, l'auteur a recourt au merveilleux et met en scène des personnages types qui incarnent des thèses ou des idées plus ou moins convaincantes (EX : Pangloss incarne l'optimisme contre lequel s'oppose Voltaire). Il s'apparente à l'apologue et à la fable, car il garde un objectif didactique : instruire et plaire en illustrant une leçon (plus ou moins implicite) par le biais d'un récit.

religion chrétienne orthodoxe : « anabaptiste » X2 ; la 2ème occurrence associée à adjectif valorisant. · Le matelot odieux (…) · Candide, égal à lui-même : confiance naïve en son maître et en sa j l.17 à 23 ; Cpdt impulsion généreuse : l.16-17 · Pangloss : optimiste irréductible (et ridicule >>> III) 2. L’action rapide : · Plan général (l.1 à 7) w plan rapproché (l.7sq) ! accélération du rythme : ponctuation plus fréquente ; syntagmes plus brefs ; temps verbaux plus variés · Enchaînement des péripéties :

penser par lui-même, approuve tout ce que dit Pangloss et le répète. Pangloss, quant à lui, est l’ « oracle » du château de Thunder-Ten-Tronckh. Il suit la philosophie de Leibniz qui dit que tout est bien. Dès le premier chapitre, nous pouvons remarquer la naïveté de Candide idéalisant le château qui est très modeste, même  pathétique. Il le considère comme le paradis terrestre alors qu’il s’en est fait chasser. Candide suit les leçons de Pangloss, répondant à la théorie du « tout est bien »

exactement avec sa personnalité. En effet, Candide a une admiration aveugle dans la philosophie de son précepteur et se fait plusieurs fois tromper et abuser par les gens qu’ils rencontrent lors de son voyage. Il est roturier et né d’une union illégitime, ce qui va l’amener à être rejeté du château du baron où il a été élevé. Il est décrit comme un garçon au « jugement assez droit, avec l’esprit le plus simple ». Pangloss est le précepteur de la famille Thunder-ten-Tronckh, un philosophe allemand qui

II. Résumé de l’œuvreEn Westphalie, un jeune homme, appelé Candide mène une vie heureuse dans le château du baron de Thunder-ten-Tronckh. Cet endroit est merveilleux. Candide écoute avidement les théories de son professeur, Pangloss. Candide tombe amoureux de la fille du baron : Cunégonde. Un jour, ils sont surpris alors qu’ils sont en train de s’embrasser. Le baron est furieux et chasse Candide hors de ce monde idéal.Candide est enrôlé par l’armée bulgare. Il découvre les horreurs

des péripéties en excès, les rencontres avec de nouveaux personnages sont très fréquentes. Parmi les personnages rencontrés par Candide on peut citer Martin, Cacambo, la Vielle, Jacques ainsi que ceux présents depuis le début de l'histoire comme Pangloss et Cunégonde. On s'aperçoit par cela qu'ils ne vivent pas leur propre destin. Il y a une sorte de « Dieu » derrière les actions des protagonistes. Voltaire est ce « Dieu », il est « l'habile montreur » dénoncé par Henri Bénnac. En sélectionnant