Philosophie politique

août 1632 - Oates, Essex, 28 octobre 1704) était un philosophe anglais, l'un des principaux précurseurs des Lumières. Sa théorie de la connaissance était qualifiée d'empiriste car il considérait que l'expérience est l'origine de la connaissance. Sa théorie politique est l'une de celles qui fondèrent le libéralisme1 et la notion d'« État de droit ». Son influence fut considérable dans ces deux courants de pensée. Son idée : Monarchie constitutionnelle contrôlé par le parlement (Angleterre moderne) garantissant

serions juste dominés par nos désirs , cela correspond à la situation dans laquelle les Hommes avaient vécu avant que la société ne soit fondée . Puis il y a le contrat social qui pousse à changer l’homme, grâce à celui-ci la société et le pouvoir politique sont formés non pas par dieu , ni la nature mais par les hommes eux-mêmes . Un contrat par définition est un accord entre plusieurs parties avec des intérêts communs mais « social » implique le fait de faire partie d’un même Etat, d’une construction

 Le texte écrit par Michel Seymour prend la question de la hausse des frais de scolarités et l’interprète d’une manière différente de ce que nous sommes habitué de voir. Premièrement il commence par utiliser la philosophie d’un certain John Rawls et dit que chaque personne qui a un talent doit être en mesure de le développer. Dans cette perspective, il dit que la hausse des frais de scolarités pourrait empêcher des personnes avec un talent quelconque à accéder à un enseignement supérieur pour

« Plutôt qu’à l’innocence d’un état de nature, on assiste à la falsification de cet état par la perversité de l’expérience et les interventions de la cour. » Urs Alleman Transposons-nous au XVIIIème siècle dans une situation que nous allons vous exposer. Celle-ci ressemble fort aux émissions de télé-réalité d’aujourd’hui ! Il s’agit d’une expérience, non vécue, et racontée dans une pièce de théâtre de Marivaux (1688-1763) : « La Dispute » écrite en 1744. Notons que le terme d’origine plus pertinent

Multiculturalisme, différence et démocratie, Paris, Aubier, 1994 KYMLICKA Will, La citoyenneté multiculturelle : une théorie libérale du droit des minorités, La Découverte, Textes à l’appui, série « Politique et société », dirigée par Loïc Blondiaux et Yves Sintomer, 2001 La théorie politique a été rythmée depuis les années 1970 par les différents soubresauts d’un contentieux entre les libéraux plus ou moins proches de RAWLS et les philosophes dits « communautariens ». Ce débat a pour origine

L’Etat est-il l’ennemi de notre liberté ? L’état est l’ensemble des organes juridiques et administratifs d’une société. Il incarne les lois qui fixent les limites de notre liberté. Un ennemi est quelqu’un qui nous nuit, qui est notre adversaire, contre qui nous sommes en guerre. La liberté quant à elle définit l’état d’une personne qui ne subit pas de contraintes ou de soumissions par une autre personne ou par un pouvoir. La difficulté de cette question réside alors dans les termes de la question

lorsqu’il est question d’enjeu de pouvoir par exemple, il faut dans un tel cas de figure imposer les enseignements de la raison. On a ainsi les bases de la théorie politique du philosophe, il faut instaurer un pouvoir absolu pour assurer l’ordre et forcer l’obéissance par un système de sanction. Cet extrait nous informe sur la théorie politique de Hobbes mais il va de soi que bien d’autres idées sont à envisager comme par exemple le fait que l’homme ne soit pas juste naturellement, soit par ignorance

d'un ordre de droit, institutionnel ("ordre civil", "institutions publiques"). Rappel de l'idée principale de la première partie du texte. Cette thèse correspond à la théorie politique dominante, celle présentée dans les "livres" par les autorités à la fois intellectuelles ("les savants") et juridico-politiques ("les jurisconsultes"). Cette première partie du texte est ironique. Rousseau présente non sa thèse, mais celle des théoriciens qui défendent le pouvoir et l'ordre établi. Rousseau

Machiavel Nicolas Machiavel (né le 3 mai 1469 à Florence, Italie - mort le 21 juin 1527 à Florence) est un penseur italien de la Renaissance, théoricien de la politique, de l'histoire et de la guerre. Pragmatique : se basée sur des faits réel, les étudier pour en tirer une leçon et agir efficacement. Machiavélisme : conception de la politique prônant la conquête et la conservation du pouvoir par tous les moyens, y compris la manipulation. Thèse : Il vaut mieux être craint qu’aimé Discours argumentatif

la justice au niveau politique selon certains. Le philosophe politique John Rawls a en particulier centré sa réflexion sur la justice comme équité et dans une de ses œuvres principales, Libéralisme politique, il développe l’idée d’un « consensus général », comme il l’appelle, soit un accord implicite sur une justice « équitable » entre différents citoyens qui possèdent de points de vues, des situations socio-économiques, des convictions différentes. La conception politique de la justice que développe