Photographie documentaire

nouveaux supports au service de la propagande comme le cinéma, la radio, la photographie. IVRattachement à une autre œuvre : Toutes les autres œuvres ( statues , tableaux , films comme la Ligne générale) destinées a glorifier le régime totalitaire soviétique. On peut les rapprocher aussi des œuvres destinées a glorifier le régime totalitaire nazi comme par exemple : le Garde d’Arno Brecker , ou encore le film documentaire de Leni Riefenstahl , « Les dieux du stade » sur les JO de Berlin en 1936

raisons diverses , qui sont déjà disponibles , et ne répond pas directement au problème de recherche. En fonction de la façon dont les informations sont collectées , quatre méthodes de recherche peuvent être identifiés : La recherche documentaire : Elle s'occupe que du recueil de l'information secondaire et qui consiste à collecter des informations à l'intérieur et à l'extérieur de l'entreprise pourvue qu'elles soient pertinente pour l'étude L'observation : Elle consiste à observer

INTRODUCTION Le film documentaire, est connu pour être un genre cinématographique censé reproduire le réel et informer le spectateur. Cependant, il convient tout d’abord de clarifier de manière succincte ces termes de « films », et « documentaires », comme ils sont trop souvent employés, à tord. En effet, le mot « film » ne représente que la pellicule en soit, un ruban composé d’images. Il est devenu commun aujourd’hui d’employer cette métonymie pour désigner l’œuvre culturelle se trouvant

2050. Explosive dans les pays en développement, en mutation dans les pays développés, l’urbanisation a changé de visage et son impact est désormais majeur sur le plan social, économique, culturel et environnemental. À travers une vingtaine de documentaires, l’affiche 2010 de La Semaine s’attache notamment à investir la ville comme espace de vie, lieu de pratiques de sociabilité, d’interconnaissance, de cheminements singuliers et de rapports spécifiques des habitants à l’espace urbain. Sans évacuer

société iranienne. Actif car il modifie indéniablement les perceptions, car il confronte sans cesse les iraniens à leur propre image, à leur identité « en construction », passif ensuite de notre point de vue occidental d'abord pour sa nature quasi documentaire sur un pays encore mal connu. Il est aussi indubitablement soumis aux évolutions politiques du pays, car l'artiste – le réalisateur ici – « subit » l'Histoire de sa société qui, à tout moment, peut «  lui trancher la moelle épinière ». Pour ce

vision documentaire : les films Faits divers et Urgences de Depardon transposés au théâtre par Zabou Breitman....................................... A ] Raymond Depardon........................................................................................................ B ] La réalité d'un commissariat de police et d'un service d'urgences psychiatrique (d'après les documentaires de Depardon).......................................................................... C ] Les documentaires de Depardon :

analyser les possibles événements. Mais encore, les réalisateurs néoréalistes choisissent souvent des gens de la rue à la place d’acteurs pour empêcher une quelconque analyse du « jeu d’acteur ». Cependant, il faut bien faire la différence entre le documentaire et le cinéma néoréaliste. Alors que le premier reste objectif quoiqu’il advienne, le second garde sa dimension artistique en proposant la réalité vue à travers la conscience de l’artiste. Ce n’est plus la passion ou la raison qui fera le moulage

l’après-guerre. Les thèmes abordés sont : [pic]  l’action des partisans [pic]  le chômage qui sévit [pic]  la rude vie des campagnes [pic]  la délinquance [pic]  la condition féminine L’esthétique est proche du documentaire et des films d’actualité : [pic]  images de type documentaire [pic]  pas d’élément de narration spectaculaire : les drames de la narration sont limités à leur plus simple expression [pic]  refus des effets : montage et tournage simplifiés décors naturels [pic]  acteurs non-professionnels

Henri Bergson reprochait en 1907 au cinéma d’aborder le mouvement, à la manière de la photographie, comme illusion plate et directe de la réalité, presque tromperie. Sa théorie désignait le cinéma comme une suite d’images fixes, d’instantané de la réalité, qui, même mis bout à bout, n’en gagnerait pas pour autant la capacité à retranscrire le mouvement. Les formes prises par le cinéma, tour à tour documentaire, merveilleux, engagé, et formateur, lui permet aujourd’hui plus que jamais de mériter le

la visite d’une rétrospective s’annonce a priori sans surprises. Vik Muniz le Musée imaginaire présentée à la collection Lambert en Avignon est de celles-là. De Muniz, nous connaissons les portraits faits avec toutes sortes de matériaux, puis photographiés. En 25 années de travail, autant de séries et une centaine d’œuvres, l’exposition révèle pourtant une constance que l’on ne soupçonnait pas si solide. Derrière l’aspect parfois trop flatteur ou seulement divertissant de certaines œuvres, se trouve