Phrase Mignon

feuille. A. Première et quatrième de couverture 1. Montre par des éléments de la couverture que ce roman est un roman fantastique. 2. Le récepteur (voir situation de communication) est présent dans le titre. Prouve-le. 3. Par quelle phrase l’auteur amène-t-il le suspense dans le résumé apéritif (quatrième de couverture) ? B. Début du livre (chapitres 1 et 2) 1. Á la première page, quel est le registre de langue utilisé ? Prouve-le. 2. Quelles sont les caractéristiques

au maximum les traits de ce qui se fait habituellement à l’écrit (élévation du niveau de langue notamment) - Syntaxe simplifiée (phrases courtes, juxtaposées, peu de subordination, on allège le tout, tout est très français, très correct mais c’est tout de même un peu du parlé écrit : « Mourir pour la vitrine de chez Paule Ka. C’est délicieux. » (première phrase sans verbe conjugué). Pareil pour la ponctuation dont veut renforcer l’expressivité (donc on multiplie par trois les points d’exclamation

grands. Le vocabulaire est simple pour un lecteur d’aujourd’hui, alors que l’œuvre a près de 150 ans ! Les phrases sont généralement courtes et bien rythmées : la lecture et la compréhension en sont facilitées. Il écrit ainsi : « Alors on le vit s’en aller dans les rues, l’air égaré, trébuchant comme un homme ivre » (l.102). L’utilisation courante de la comparaison, comme c’est le cas dans la phrase précédemment citée, éclaire la description et stimule l’imagination. L’alternance permanente entre récit

affublé par Figaro et Suzanne de qualificatifs ironiques soulignant par antiphrase sa fourberie : « loyal Bazile, noble maître à danser, honnête agent de ses plaisirs, mon mignon ». A part Suzanne, tous ces noms et ces caractères sont connus des spectateurs qui, pour la plupart, ont vu Le Barbier de Séville. La phrase de la ligne 61 : FIGARO : « J’avais assez fait pour l’espérer (la reconnaissance d’Almaviva) » rappelle au spectateur averti l’action de cette comédie où Figaro aidait Almaviva

Fonction Nature |Les fonctions par rapport au verbe = le mot ou groupe de mots complète un verbe. |Les fonctions par rapport au nom = le mot ou groupe de mots complète un nom |Le mot ou groupe de mots complète la phrase. |Le mot ou groupe de mot complète un adjectif | | |Sujet |COD/COI |Complément d’agent |Attribut |Epithète |Apposition |Complément du nom |Complément circonstanciel |Complément de l’adjectif | |Verbe conjugué |Le verbe conjugué est le pivot d’une proposition. Les autres mots

LES CITATIONS DANS LE COMMENTAIRE DE TEXTE (exemples donnés pour le poème de Ronsard "Mignonne, allons voir si la rose...") Elles sont: • indispensables et précédées des deux points, encadrées par les guillemets. • le plus souvent courtes, ponctuelles ; tout au plus, 2 lignes ou 2 vers formant un tout. • bien appropriées à la démonstration (car elles ont valeur de preuve, d'illustration du commentaire). • scrupuleusement exactes : si un mot ou un élément du mot doit être changé

des mots différents peuvent avoir le même sens. | Matériel : 1. Séance 1 : * Etiquettes mots-paires découpées et plastifiées pour le tableau * Etiquettes mots pour chaque groupe. * Grande feuille cartonnée * Feuilles A3 avec les phrases pour chaque groupe * Feuille avec les verbes à choisir pour chaque groupe2. Séance 2 : * Affiches séance 1 * Ardoise * Cahier de leçon * Cahier du jour | SEANCES | PHASES ET DUREE | MODE | DEROULEMENT | Objectif | BILAN | 1 | ObservationDéduction10

est « effrayant » à la place du père : bourgeois sévère. La jeune fille est associé à la petitesse : petit au sens mignon. Allitération en « t » (répétition d’une consonne : effet essentiellement rythmique) = imitation lorsqu’elle fait « trotter ses petites bottines » il s’agit d’une harmonie imitative. L’échange de regard : elle se retourne : il ne lui ait pas indifférent. La phrase n’est pas finie comme si l’auteur était troublé. Elle devient « l’Adorée » (v.28) : elle devient la muse de l’auteur

des surnoms tels que « fillette » ligne 6 ou « mignonne » ligne 13 ou bien encore « ma chérie » ligne 23. Tous ces petits surnoms marquent une grande affection envers Jeanne. Le narrateur précise également « Le baron serrait contre lui le bras de sa fille en lui pressant tendrement la main. » ligne 11. Ce qui montre un fois de plus que le baron aime sa fille. Ensuite, le père semble prendre ses responsabilités mais, en fait les fuit. La phrase « Petit père alors la quittant brusquement, s’approcha

ce qui est inattendue. Ainsi, la règle n’est plus une obsession. On voit aussi à la ligne 6: « Fais ce que tu voudras ». Cette phrase est la phrase centrale du texte (elle est au centre). On cherche à mettre en valeur cette nouvelle liberté et donc cette rupture avec le Moyen Age. La syntaxe simple de cette phrase la met en évidence, au contraire des autres phrases qui ont une syntaxe compliquée. D’ailleurs, Thélème signifie bon vouloir en grec: ça montre que cette abbaye est différente de celles