Phylogenèse

mettra en question l'objectif final". En ce qui concerne l'itinéraire, N.ABRAHAM avait montré ailleurs que l'on ne pouvait séparer la structure ( ou l'organisation du moment d'une personnalité ou d'une société) de sa genèse ( y compris de sa phylogénèse). «  C'est en prenant conscience des significations immémoriales qui l'ont déterminé que l'homme devient apte à se recréer vers une humanité inachevable et toujours renouvelée ». 4 . De la conception psychanalytique du social à l’intervention

variations (sans rien y connaitre à la génétique) létales et va doter l’individu d’un caractère avantageux. Un girafon est né avec un cou plus long, accidentellement, et la nature ou sélection naturelle va garder ce caractère qui est plus utile. * Phylogénèse = processus d’évolutions et d’acquisitions propre à l’espèce. Le bébé humain, origine de l’Homme individuel est lui-même le produit d’une longue évolution collective : celle des espèces en développement (populations d’individus). * Reprise

pour produire un son. Le projet est de construire une théorie de la connaissance fondée sur les conceptions évolutionnistes et développementales.Il y a un principe de : -Récapitulation proposé par Haekel (ontogenèse = récapitulation de la phylogenèse) -Intégration de la philosophie des sciences et de la théorie de la connaissance dans ce projet. -Objectif de Piaget : décrire la genèse des connaissances scientifiques dans l'espèce humaine. Jean Piaget né en Suisse publie son premier article

Euglénobiontes et Dinophytes Plastes à 4 membranes : Haptophytes, Cryptophytes et Chlorarachniphytes 13. Théories de l’endosymbiose Les plastes des différents types d’algues ont un nombre de membranes variable, ce qui peut éclairer sur leur phylogénèse. 1. Endosymbiose primaire Voir poly p6 Chl= chlorophylle, PC= phycocyanine, PE= phycoérythrine, APC= Alophycocyanine d) – Présence de peptidoglycanes, Membrane interne de type procaryotique f) – Perte des peptidoglycanes et des flagelles g)

de l’humain (phylogenèse), mécanismes de variation et de sélection naturelle (= la base de l’évolution). - Gregor Mendel (1822 – 1884), lois de la génétique sur le caractère héréditaire des mutations. ( Dieu est exclu de ces théories, c’est une révolution à l’époque. ( EVOLUTION : adaptation progressive par variation et sélection naturelle, avant les scientifiques cités ci-dessus il n’était pas question d’idée de développement et d’évolution. ( PHYLOGENESE : évolution des

étroite relation avec la sensibilité. - l’existence de centres dans le système nerveux central où les sensations sont intégrées avant d’induire une réponse motrice. C’est également au XVIIIème siècle que l’idée du développement cérébral et de la phylogenèse –c’est-à-dire le regroupement des espèces selon leur caractère- commence à apparaître. Legallois (1770-1840) parvient également à localiser le centre fonctionnel moteur de la respiration. 4) Le XIXème siècle. Le XIXème siècle connaît

parenthèses. Les noms des espèces sont toujours en italique. En paléontologie on utilise les règles de nomenclature de la zoologie ou de la botanique (CINZ/ICZN). Exemple : Chlamis irradius (sacco, 1798). VI Notions d'espèce, classification et phylogenèse VI.1. Notion d'espèce L'importance de l'identification des espèces en Paléontologie est illustrée par les applications possibles. D'après Lethiers, 1998 Une espèce est une unité taxonomique de base (ou de référence),

du conditionnement classique pavlovien, a été modifié par B.F. Skinner, car le conditionnement pavlovien n’explique que les apprentissages liés à des stimulis dits inconditionnels c’est-à-dire des stimulis provoquant des réponses inconditionnelles liées à la phylogénèse de l’espèce. Ainsi, le deuxième schéma classique est celui du conditionnement opérant. Ce schéma introduit deux nouvelles variables : l’environnement et les conséquences sur l’organisme pouvant être positives ou négatives. D’où le schéma : [pic]

chanvre « indien », il n’existe en pratique qu’un chanvre. 1 Du point de vue de la phylogenèse (Histoire évolutive des espèces, des lignées et des groupes d'organismes) 2 Jean-Baptiste Pierre Antoine de Monet, chevalier de Lamarck (1744-1829) est un naturaliste français. Un des premiers à avoir utilisé le terme « biologie » pour désigner la science qui étudie les êtres vivants. 1 Du point de vue de la phylogenèse (Histoire évolutive des espèces, des lignées et des groupes d'organismes) 2 Jean-Baptiste

la névrose infantile et la condition humaine, à travers l’universalité du complexe d’OEdipe. Pour Freud la fameuse horde n’a jamais existé, en fait l’état originel était l’ontogenèse, c’est à dire la forme intériorisé pour chaque sujet de la phylogenèse, c’est à dire l’histoire collective, qui se répétait par des générations. Définitions propres de la pensée darwinienne. A partir de cette idée, Freud souligne que la prohibition d’inceste n’a pas eu son origine d’un sentiment naturel de répulsion