Phèdre Réquisitoire

questionnements. On redécouvre les grands textes de l’Antiquité. Ecrivains représentatifs : Montaigne (1533-1592) : Les Essais (1580) : receil de textes répartis en 3 livres. La Boétie (1530-1563) : Discours de la servitude volontaire (1576) : court réquisitoire contre l’absolutisme. Pléiade (XVIème siècle) Courant poétique formé par un groupe de 7 poètes. Membres de la Pléiade imitent auteurs gréco-romains dans le but de les dépasser. Ecrivains représentatifs : Ronsard (1524-1585) : Les

celui produit par une autre figure de style : l'euphémisme. En effet, la fausse question peut permettre d'atténuer des propos blessants ou choquants, voire des accusations. Elle est ainsi employée par les avocats, lors des plaidoiries ou lors des réquisitoires, pour masquer notamment l'horreur de certains faits jugés (un crime par exemple). La stupéfaction peut également être un effet permis par la question oratoire. Cependant, dans biens des emplois littéraires de cette figure, il existe souvent

vite qu’il n’en est rien. En effet, Hugo, qui affirmait ne pas lancer de débat, part sur le terrain de la controverse en ironisant sur l’utilité des préfaces. Mais il revient vite dans le « droit chemin » en affirmant ne pas vouloir « écrire un réquisitoire et un plaidoyer pour ou contre qui que ce soit ». Dans cette préface, dit-il, il se « bornera […] à des considérations générales sur l’art, sans en faire le moins du monde un boulevard à son propre ouvrage ». Dans les deux parties suivantes, Hugo

Table des matières I. Le contexte de l’écriture du Phèdre 2 1) La démocratie athénienne 2 2) La rhétorique des sophistes 2 3) Socrate 2 II. Les grands thèmes de Phèdre 3 1) L’âme 3 2) Le monde des Idées (intelligible) 3 3) De l’amour à la philosophie 4 III. La parole dans le Phèdre 4 1) Les formes de la parole 5  Le dialogue 5 Le caractère théâtral de la parole 5 Les paroles mises en abyme 5  Les trois discours 6 Le discours de Lysias 6 Le premier discours

vite qu’il n’en est rien. En effet, Hugo, qui affirmait ne pas lancer de débat, part sur le terrain de la controverse en ironisant sur l’utilité des préfaces. Mais il revient vite dans le « droit chemin » en affirmant ne pas vouloir « écrire un réquisitoire et un plaidoyer pour ou contre qui que ce soit ». Dans cette préface, dit-il, il se « bornera […] à des considérations générales sur l’art, sans en faire le moins du monde un boulevard à son propre ouvrage ». Dans les deux parties suivantes

"bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. Introduction : La Fontaine, grande figure du classicisme, remet au goût du jour le genre de la Fable au XVIIème siècle, en s’inspirant des Anciens, notamment d’Esope et de Phèdre. Dédicacées au Dauphin (l’héritier de Louis XIV), il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable, sous-genre de l’apologue, a pour finalité de « plaire et instruire » tout en respectant la brièveté

L’œuvre la plus connue de La Fontaine est : « Les Fables ». La Fontaine a aussi écrit des poésies, des contes, il s’inscrit dans la grande liste des moralistes du XVIIème siècle. Il va s’inspiré d’un fabuliste grec : Esope et d’un fabuliste latin : Phèdre. Il s’inscrit dans le genre de l’apologue : récit court en vers ou en prose de forme allégorique et a visée didactique. Introduction :  • Fable distrayante, avec une description des circonstances, des pers, une richesse du dialogue. La Fontaine

charge alors d’éléments de réquisitoire contre l’instigatrice de la faute. Duplicité, car par chantage insinuant (que souligne les allitérations en « m »), elle lui a fait croire qu’elle haïssait Pyrrhus : « Qui même, s’il ne meurt, ne me verra jamais » (1576). Ingratitude car loin d’être reconnaissante à celui qui a exécuté ses désirs, elle l’insulte et le quitte. Incohérence, folie peut être qui lui fait réclamer « et le sang et la vie » d’un mort (1579). Mais ce réquisitoire contient évidemment à contrario

(Montesquieu s’inspire notamment de la tragédie Bajazet à plusieurs égards : le contexte oriental, la sultane nommée Roxane, le suicide final.) Pb* : En quoi cette mise en scène d’une mort tragique est l’occasion d’un réquisitoire contre la tyrannie ?Structure : · 1er mouvement, l.1 à 5 : L’aveu de Roxane · 2ème mouvement, l.6 à 9 : Roxane s’affranchit du tyran et proclame sa

occident dans l’Antiquité, elle est d'abord oral. Elle gagne ses lettres de noblesses grâce au fabuliste Ésope ( grec ) et au latin Phèdre, leurs fables constituent les sources principales de JDLF même si celui-ci se dit Ancien, il innove bien par rapport à ses prédécesseurs en travaillant particulièrement l'écriture de la fable mais il donne aux sujets d’Ésope et Phèdre un sens bien plus politique et / ou philosophique. 2) Définition: La fable La fable appartient au genre de l'apologue celui-ci