Phèdre Thématique Des Personnages

Fiche de lecture Document rédigé par Marine Riguet maitre en littérature française (Université Paris IV – Sorbonne) La Duchesse de Langeais Honoré de Balzac lePetitLittéraire.fr RÉSUMÉ 3 ÉTUDE DES PERSONNAGES 5 La duchesse de Langeais Le général de Montriveau Les Treize CLÉS DE LECTURE 7 La structure du roman Des influences esthétiques diverses Le romantisme Le réalisme Le roman noir Le gothique Une analyse de l’amour Du réalisme au naturalisme : Balzac anthropologue ? Une étude des

pendant la guerre. Dans tous ces textes, les auteurs s'interrogent sur le rôle du public dans la représentation théâtrale. Les personnages des textes A et B sont des spectateurs qui, chez Molière, ont assisté à une représentation de L'École des femmes et, chez Rostand, sont venus voir jouer Montfleury. Les textes C et D sont des ouver¬tures dans lesquelles un personnage, l'Annoncier et le Prologue, vient présenter la pièce à la salle. Nous allons voir quelles attitudes de spectateur ces extraits

Pacte narratif et illusion romanesque Le personnage support de fiction L’Oulipo et la contestation de l’illusion réaliste Georges Perec 1936-1982, La Disparition, 1969 Anton Voyl souffre d’insomnie et tente de s’occuper. Récit à la 3ème pers. Narrateur extérieur à l’histoire qui n’est pas présent, qui n’intervient pas. Le pers. est vu de façon externe. Registre réaliste (référentiel actuel) I. La contrainte comme machine à produire de la fiction La contrainte crée forcément des anomalies

provoqua chez les Nobles un sursaut d'honneur, une revendication de gloire. En effet, le mythe de la gloire est présent dans le théâtre et les romans; beaucoup de personnages de CORNEILLE (Horace, Auguste...) ou de romans parlent de ''courage'', de ''cœur'', de ''générosité'' et de ''gloire''; les romans affichent ensuite des personnages surhumains: GOMBERVILLE a écrit Polexandre en 1637. Le mythe de la gloire est lié à la reconnaissance des mérites de l'individu et au concept de générosité, développé

rédiger, quelques années plus tard, Le tour d'écrou, roman dans lequel le même procédé est utilisé). Le vieux prêtre s'adresse alors à un « frère », comme dit précédemment. Il s'agit en fait du lecteur, qui se trouve être lui-même l'incarnation d'un personnage second (« Je ne ferais pas à une âme moins éprouvée un pareil récit »), et cette stratégie de Gautier le fait participer à l'action, et d'une certaine manière renforce l'adhésion du lecteur au récit, puisque lui-même y est inséré. Il est alors en

comme sur un document culturel : ex : Enéide, Virgile. 2) un apport au niveau historique : - guerre entre les sabins (enlèvement des sabines) : épisode réel et historique transposé dans l ‘Enéide. - Reflet des mentalités par les types de personnages : guerrier violent, etc Quelques exemples du rapport épopée / histoire :Transposition de noyau historique en vue de la recomposition du mythe : Iliade : achéens / troyens : guerre, expédition, pillage. Troie : ville réelle mais également représentation

conditions extérieures ne jouent aucun rôle. 1. Les forces intérieures  * A l‘origine, dans l’antiquité grecque on pense que la force intérieur c’est l’enthousiasme, c’est à dire la possession d’un dieu.  Platon reflète cette idée dans l’Ion et le Phédre, que l’homme peut être posséder par une force démoniaque ou bienveillante. l’homme est le vecteur des dieux, le passage se fait lors d’une transe, où l’homme est arraché à lui même, et le moment ou il créer se fait dans un état d’enthousiasme (de

historique et culturel et à mettre en relation différentes formes d’art, partageant et structurant ainsi une culture humaniste. Rappelons à ce titre qu’en classe de quatrième les élèves ont lu au moins deux récits du XIXe siècle 1 et que les thématiques « Arts, espace et temps » et « Arts, ruptures, continuités » 2 permettent d’aborder, dans le cadre de l’enseignement d’histoire des arts, des mouvements artistiques et culturels des XVIIIe et XIXe siècles. Cet objet d’étude de la classe de seconde

amoureux. 2-3- Le chiasme Le chiasme est une structure symétrique du type (ABBA) qui permet d’unir ou alors d’opposer des éléments : « Il succomba vivant, et mort, il m’assassine » Pierre Corneille. Verbe, adjectif, adjectif verbe. Même mort, le personnage continue à semer le trouble. 3- Les figures d’opposition Elles rapprochent de manière saisissante des termes opposés de façon à marquer le lecteur. 3-1-L’antithèse L’antithèse oppose deux mots de sens contraires à l’intérieur d’une phrase

image de la tristesse d’une vie finissante. b) Ce qui se passe derrière une vitre évoque ce quotidien qui est au cœur du projet de l’œuvre, Baudelaire l’affirme dans sa préface à Houssaye2, cette transmutation de la vie de tous les jours, de ses personnages et objets, en création poétique, derrière la trivialité d’une fenêtre fermée, « ce trou noir ou lumineux », « vit la vie, rêve la vie, souffre la vie » (1er paragraphe). Inversant systématiquement la vie comme sujet le poète semble exprimer une