Phédon

reposent sur des efforts de définition où l’on voit Socrate embarrasser ses interlocuteurs (Lachès, Ion, Protagoras, Gorgias) ; Suit la période de la maturité (jusqu’en 367), qui englobe les grands dialogues philosophiques, politiques et métaphysiques (Phédon, Le Banquet, La République, Phèdre) Enfin, Platon rédige des dialogues où le rôle de Socrate s’efface progressivement. Sa dernière œuvre, Les lois, reprend de façon plus concrète le programme politique présenté dans La République, mais Socrate n’y

Philo(aimer)sophie(sagesse) : désir de la sagesse qui entraîne une recherche de la sagesse (processus dynamique). Allégorie : représentation concrète et imagée d’une idée abstraite. Préjugé : idée fausse, une opinion admise sans jugement/ raisonnement. « Phédon » : les derniers moments de Socrate, ce sont des moments d’une parfaite sérénité. Les derniers mots de Socrate : « Nous devons un cop à Asklepios » (Dieu de la médecine). Ironie Socratique : feindre l’ignorance (dire le contraire de ce qu’on

n'est pas fait mention de la pyramide avant Démocrite (fragment 155), actif vers 430 av. J.-C. Archytas aurait le premier construit le cube, pour résoudre le problème de la duplication du carré. Le premier, Platon mentionne le dodécaèdre, dans le Phédon (110b), qui date d'env. 383 av. J.-C. Le mathématicien Théétète d'Athènes (mort en 395 ou 360 av. J.-C.) a découvert les deux autres solides : l'octaèdre et l'icosaèdre ; surtout, il les a construits, le premier, tous les cinq.[2] Platon a philosophé

 Empédocle et Platon sont au nombre des premiers ; Anaxagore soutient la seconde thèse5. ------------------------------------------------- Notes et références[modifier] 1. ↑ Se prononce « nousse » 2. ↑ Aristote, Du Ciel, II, 3 et Platon, Phédon, 99b 3. ↑ Traduction des fragments d'Anaxagore [archive] 4. ↑ Origine du dicton « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » sur Tatoufaux. [archive] 5. ↑ (Vors. 146, 1-4), "SUR LES SENSATIONS, 1." -------------------------------------------------

pouvoir de connaissance. Ce mépris classique du corps sera interprété par Nietzsche comme un mépris de la vie. Plus généralement, la philosophie est accès à l'intelligible et donc refus du sensible. Philosopher, c'est apprendre à mourir au sensible (Phédon) Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre ! Platon avait fait graver cette phrase au fronton de l'Académie, l'école qu'il avait fondée. Elle signifie qu'il faut faire des mathématiques (à l'époque c'est la géométrie) avant d'étudier la philosophie

constituées d'éléments, elles n'en expliquent pas la raison d'être, ni ne parviennent à surmonter certaines contradictions ontologiques et épistémologiques. Platon adopte plusieurs attitudes à cet égard, selon la nature de l'explication. Ainsi, dans le Phédon, Socrate critique-t-il la thèse d'Anaxagore de l'organisation du monde, du fait de l'insuffisance de son explication des causes de cette organisation. En revanche, Platon adhère à la thèse héraclitéenne du devenir, mais en montre les limites : d'une

rationnelle, autrement dit de l'activité de l'âme. La nature de l'âme et la nature du corps sont radicalement différentes ; en effet, seule l'âme est en mesure, du fait de sa nature divine, d'échapper à la mort.Socrate, dans l'ouvrage de Platon intitulé le Phédon, explique à ses disciples que, l'âme étant immortelle, le philosophe n'a pas à redouter la mort.Ainsi est décrit, pour les siècles à venir, le sage métaphysicien : il ne craint pas la mort physique, aspire à la liberté spirituelle, et lutte, pendant

loin en disant; notre corps n'est pas un objet pour un"JE PENSE" mais c'est un ensemble de significations vécues, qui va vers son équilibre et non pas comme une réalité matérielle au sens strict( phénoménologie de la perception). Pour Platon dans Phédon,il explique pourquoi Socrate accepte la sentence de mort comme une libération d l’âme et permet d'avoir accès grâce à la force et la pureté de la pensée à la vérité et la pureté des réalités intelligibles. Cette prise de position aura une valeur

sens à partir de la liberté humaine. La richesse du projet de l'homme confère une multiplicité de sens à la matière que l'homme rencontre à titre d'obstacle, mais aussi bien d'instrument et de stimulant." Sont citées les oeuvres suivantes : Phédon de Platon L'Etre et le néant de Sartre L'énergie spirituelle de Bergson Sur le site devoir de philosophie, la problématique du sujet est ainsi posée "Le substantif matière est issu par dérivation du latin materia, materies (de mater, mère)

politique, esthétique, rhétorique, sophistique, langage Idées remarquables Dialectique, Maïeutique, Allégorie de la caverne, Théorie des Formes, Participation, Réminiscence, Imitation, Philosophe roi Œuvres principales Le Banquet, La République, Phédon, Théétète, Le Sophiste Influencé par Pythagore, Parménide, Héraclite, Socrate, Mystères égyptiens A influencé La majeure partie de la philosophie occidentale ; une partie de la philosophie islamique modifier Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn)