Pierre de Fermat

écrivains classiques d'atteindre les buts qu'ils se proposent : peindre la nature en suivant la raison, plaire et instruire. CONTEMPORAINS HISTORIQUES du XVIIe siècle Boileau Nicolas (1636 - 1711 ) Bossuet Jacques Henri (1627 - 1704 ) Corneille Pierre (1606 - 1684 ) Descartes René ( 1596-1650) Fénelon François de Salignac (1651 - 1715) La Bruyère Jean de (1645 - 1696) La Fayette Marie-Madeleine (1634 - 1693) La Fontaine Jean de (1621 - 1695) La Rochefoucauld François de (1613 - 1680) Molière

Paris Cedex 05 Téléphone :0140462614/3248 Télécopie : 01 40 46 32 77 Paris 05 - Université René Descartes - SCUIO 12 rue de l' Ecole de Médecine 75006 Paris Téléphone :0140461650 Télécopie : 01 40 46 16 67 Paris 06 - Université Pierre et Marie Curie - CAIO Tour 24/14 - 1er étage - Case courrier 35 - 4, Place Jussieu 75252 Paris Cedex 05 Télécopie : 01 44 27 25 21 Paris 07 - Université Denis Diderot - SCUIOP Maison de la Pédagogie - 2, place Jussieu 75251 Paris Cedex

Contribue à la construction d’une calculatrice mécanique (la « Pascaline ») et à l’étude des fluides. Nombreux textes importants sur la méthode scientifique. o Mathématicien de premier ordre, au niveau géométrie et probabilité avec échanges avec Pierre de FERMAT o A 30 ans, il délaisse les sciences et se consacre à la réflexion philosophique et religieuse. Il écrit pendant cette période les Provinciales et les Pensées, Les pensées Les Pensées = œuvre posthume publiée en 1670, huit ans après

demeure cependant rhétorique. Le calcul symbolique apparaît en 1591 lors de la publication de l’Isagoge de François Viète avec l'introduction de notations spécifiques pour les constantes et les variables (ce travail popularisé et enrichi par Harriot, Fermat et Descartes modifiera entièrement le travail algébrique en Europe). 7 Au XVIIe siècle Les mathématiques portent leur regard sur des aspects physiques et techniques. Fils de deux pères, Isaac Newton et Gottfried Leibniz, le calcul infinitésimal

oeuvre: "en espionnant la lumière" Pour valider son expérimentation, il a confronté son idée à l’avis des deux scientifiques référents sur ce projet, Stefan Kubsky (physicien et mathématicien au laboratoire des surfaces au synchrotron Soleil) et Pierre Dhez (ancien directeur de recherche au CNRS). Cette rencontre aurait dû décourager l’artiste tant, selon les deux chercheurs, l’idée de Flavien Théry était vouée à l’échec. Mais il n’a pas lâché l’affaire. Et a construit un dispositif, consistant

et miroirs....................................................................................................................... Lois de Snell-Descartes en milieu homogène. Lois de Kepler ............................................. Principe de Fermat ...................................................................................................................... Propagation de rayons lumineux en milieu non homogène ................................................... Application : la réfraction

pour la mˆme raison, ni 5, ni aucun des nombres a e premiers ≤ 1000. Mˆme si l’on sait qu’il y a une infinit´ de nombres premiers et donc e e des nombres premiers arbitrairement grands, il n’est pas si facile d’en donner explicitement. Pierre de Fermat (1601-1665) avait cru trouver une formule donnant ` coup sˆr des nombres premiers. Il pr´tendait que, pour tout a u e 2n n ∈ N, le nombre Fn = 2 + 1 ´tait premier. C’est effectivement le cas e pour n = 0, 1, 2, 3, 4 qui correspondent respectivement

ce temps – et contiennent l’attaque contre la casuistique. La Lettre XIV présente une seule excuse : « Je voudrais avoir écrit une lettre plus courte, mais je n’en ai pas le temps. » La série de dix-huit lettres, publiées entre 1656 et 1657 par Pierre Le Petit, choque Louis XIV, qui a commandé en 1660 que le livre soit déchiqueté et brûlé. En 1661, l’école janséniste de Port-Royal était condamnée à son tour et fermée, ceci aboutissant à la signature d’une bulle papale condamnant l’enseignement

: la bagarre ! . . . . . . . . . . 10 excuses pour ne pas faire ses devoirs de TABLE DES MATIÈRES . . . . . . . . . . . . maths . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 74 78 79 81 . . . . . . . . . . . . . . . Fermat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83 83 84 87 89

importants sur la méthode scientifique. Mathématicien de premier ordre, il crée deux nouveaux champs de recherche majeurs : tout d’abord il publie un traité de géométrie projective à seize ans ; ensuite il correspond, à partir de 1654, avec Pierre de Fermat à propos de la théorie des probabilités, qui influencera fortement les théories économiques modernes et les sciences sociales. Après une expérience mystique à la fin de 1654, il délaisse les mathématiques et la physique et se consacre à la réflexion