Pietà

symbolise le peule il incarne la liberté mourante. L'artiste représente quatre femmes hurlant leur douleur et leur désespoir face à ce bombardement aveugle. Celle de droite semble implorer le ciel au milieu des flammes, celle à l'extrême gauche, comme une pietà d'un tableau religieux, pleure son enfant mort dans ses bras, symbole de la victime innocente. Une tient une bougie la lumière et le symbole du peu d’espoir qui reste. Au pied de ces femmes, un soldat, au corps déchiqueté, tient dans sa main une

sorte de constitution romaine, u code non-écrit de lois et de conduites). Il est fondé sur les vertus traditionnels romaines : 5 fondements fides : fidélité, respect de la parole donnée, loyauté, foi ; confiance et réciprocité entre deux citoyens pietas : piété, dévotion, patriotisme, devoir majestas: sentiment de supériorité naturelle d'appartenance à un peuple élu, majesté virtus : qualité propre au citoyen romain, courage, activité politique gravitas : ensemble des règles de conduite du romain

des figures animales et humaines. Au sol, se trouve un soldat dont l’épée est brisée, le visage (détaché du reste du corps) est agonisant. Les lignes de ses mains sont brisées. A gauche du tableau, se trouve une femme qui rappelle le figure de la piéta, ou Marie tenant le corps de son fils, Jésus. Cette femme porte son enfant mort, elle lève les yeux au ciel en hurlant sa douleur et son désespoir. Nous observons que ses yeux sont en forme de larmes et sa langue pointue, comme une arme. De plus, son

et dadaisme. Œuvres L’éléphant de Célèbes est une peinture à l’huile crée 1921 par Max Ernst, elle fait partie du mouvement surréalisme. La peinture à l’huile Aquis Submersus crée par Max Ernst en 1919 est une œuvre surréaliste. L’œuvre Pietà or Revolution by Night est une oeuvre de Max Ernst crée en 1923est une peinture à l’huile. Max Ernst crée cette œuvre en 1924, cette peinture à l’huile porte le nom de Two Children Are Threatened by a Nightingale. Cette création de 1923

Caractéristiques d’une épopée même si ce n’est pas une épopée mais une histoire (T.L : hstorien) II/ Un héro digne de Rome La bravour/l’audace champs lexical L’éloquence (discours direct et indirect impératif et apostrophe) Le sens du sacrifice Pietas, atis : piété ==romain : idéale respecte les dieux, sa patrie et sacrifie sa vie Conclusion : un épisode légendaire qui plait à l’imagination mais surtout n épisode exemplaire et symbolique == il fait un mode de vie « mes majorum » == valeurs morales ;

parties. La partie gauche représente un groupe enchevêtré exprimant le combat entre la bestialité et l'humanité. Le taureau rappelle la corrida synonyme de sauvagerie contre le groupe mère-enfant évoquant le thème de l'iconographie religieuse : la Piéta ( représente la Vierge Marie tenant dans ses bras son fils mort ). D'autres éléments de la partie gauche du tableau montre aussi que la sauvagerie l'emporte sur l'humanité et la piétine comme l'épée brisée de l'homme disloqué, la fleur représentant

donne lui donne une petite expression. L’oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau , sa pourrait être une colombe signe de paix et d’espoir. La mère et l’enfant Cette femme tient son enfant dans ses bras. Elle évoque une « pietà », une figure de la vierge. On peut voir les sentiments de la mère qui sont la douleur et des hurlements. Les yeux et les narines de la femme sont en formes de larmes. Sa tête est reversée en arrière. L’enfant a les yeux complètement vide est les bras

des connotations. La nudité des femmes, êtres désarmés, symbolise leur vulnérabilité et leur impuissance. Les visages déformés renforcent l'impression de souffrance en particulier chez la femme à l'enfant au centre du dispositif , sorte de moderne Piéta. Paradoxalement, la nudité devrait les rapprocher des hommes dans un rapport sensuel, contre-écho à la brutalité des hommes. Installés à la droite du tableau (à l'est), ils désignent à n'en pas douter les Américains comme les responsables des massacres

taureau a gauche apparaît imperturbable, statique. Il montre la brutalité. L’oiseau, a peine visible, entre le cheval et le taureau, pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes. Le soldat mort, démembré, dans le bas du tableau, a la tête et un bras coupés. Sa main est encore

guerres. Le cheval est le symbole du peuple, la lance transperçant le flanc du cheval comme celle qui blesse la poitrine du Christ ; la taureau symbole de la force brute et de la cruauté ; la mère qui pleure son enfant mort dans ses bras comme la Piéta . Je trouve que cette œuvre n'est pas très importante au premier regard mais en y regardant de plus près on peut y voir plusieurs émotions que l'on ne retrouve dans aucune autre œuvre que l'on puise voir, on peut ainsi dire que Picasso était un grand