Pietà

à la loupe Le taureau : impassible, brutalité, cruauté. Symbole de l'Espagne. Profil mais tous les détails présents. La mère et l'enfant : pleure, cri strident ( langue ). Douleur. Enfant : les yeux vides, les bras tombants. Évoque une pietà. Profil mais tous les détails présents. L'oiseau : colombe, symbole d'espoir mais peu visible. La femme dans les flammes : bras levés vers le ciel, désarmée. Souffrance ( yeux ). La femme à la lampe : sort d'une fenêtre. Allongement de

l’épée est brisée, le visage (détaché du reste du corps) est agonisant. Il pourrait représenter l’écrasement de la résistance républicaine.  A gauche du tableau, juste au-dessus de la tête du soldat se trouve une femme qui rappelle le figure de la piéta, ou Marie tenant le corps de son fils, Jésus. Cette femme porte son enfant mort, elle lève les yeux au ciel hurlant sa douleur et son désespoir. Nous observons que ses yeux sont en forme de larmes et sa langue pointue, comme une arme.  Du même côté

des élèves(pupilles), puisqu'il est mort. N'est pas seule une femme de Guernica qui a perdu son fils mais il(elle) se convertit en symbole de toutes les mères qui perdent ses enfants dans les guerres. Le modèle de cette forme(figure) peut être la "Pietá", la représentation dans l'art chrétien, de la Vierge Marie en soutenant dans ses bras son fils mort. La conclusion : Guernica n'est pas seul un témoignage (témoignage) du bombardement de la ville, ni de la guerre civile espagnole, c'est quelque

fera diviniser. Antonin doit son surnom de « Pieux » au Sénat. Il semble que sa dévotion et son respect envers son père, le sénat, les lois et les dieux en aient été la raison. Comme Auguste avant lui, il fut honoré d'un bouclier proclamant sa « pietas erga deos patriamque » « piété envers les dieux et la patrie ». Son règne ne fut pas marqué par des conquêtes, mais par une volonté de consolidation. Ainsi, il fit ériger le Mur d'Antonin en Grande-Bretagne, entre le Firth of Forth et la Clyde

punition contre les anti franquistes. Il y eut 1654 morts, hommes, femmes et enfants, et plus de 800 blessés, sur une population totale d’environ 7000 personnes. La mère et son fils Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

4m de haut et l’exception est que le peintre a su garder malgré la taille les proportions et les précisions. Il a voulu conserver l’aspect jeune. Michel-Ange a aussi sculpté « Pieta ». Il a voulu représenter Marie jeune et pas très inquiète malgré la morte de son fils (elle sait probablement qu’il va ressusciter). Une pieta c’est un nom pour ce genre de sculpture. Il n’a pas voulu représenter la douleur de Jésus, on dirait qu’il dort. La manière dont il a sculpté les draps est exceptionnelle. «

et son fin dard, l'œil en forme de larme, expriment le paroxysme de la douleur et de la détresse. La tendresse de ses bras qui enveloppent la frêle victime, la grâce du petit corps inerte au visage angélique, aux pieds menus, en font un groupe de Pietà. |   | Tombé symboliquement entre les têtes du taureau et du cheval, sur une table, (ou sur l'autel du sacrifice ?) un oiseau, sobrement dessiné sur fond de grisaille, est blessé à mort par une arme triangulaire, énorme pour ce petit animal, arme

vigilance serait le résultat d'une maîtrise de soi grâce à l’entraînement militaire, idée de combat intérieur. Paradoxe romain: si tu veux la paix, prépare la guerre. La piétas, piété, que l'on peut définir comme étant la dévotion/le devoir que l'on doit aux Dieux et à sa famille en particulier le père. L'incarnation même de cette pietas est Enée qui d'une part se sauve de Troie en portant son père sur le dos et d'autre part dans la scène qui nous est proposé ici offre un sacrifice aux Penates, dieu du

symbole de la résistance. L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est

enfant mort : le visage tourné vers le ciel et les yeux en forme de larmes, elle exprime la souffrance et le désespoir (elle rappelle les représentations traditionnelles, en peinture ou sculpture, de la vierge avec le Christ mort sur ses genoux = une Pietà) -La femme qui boîte : elle est blessée (pied difforme) et semble supplier et se traîner vers la lumière (regard). -La femme tombant au milieu des flammes : les mains levées vers le ciel, elle évoque le déluge de bombes incendiaires lâchées