Pietà

au dessus du cadavre: une femme qui pleure son enfant mort dans les bras. Sein découvert pour allaiter référence à la Pieta: statues représentant la vierge Marie avec son fils mort dans les bras mais le visage de la femme dans le tableau n'est pas tourné vers l'enfant mais vers le ciel et vers une autre figure juste au dessus de la femme qui crie sa

-eris f | | Vénus | oratio, -onis f | | discours | paupertas, -atis f | | pauvreté | arx, arcis f | | citadelle | tempestas, -atis | | temps, saison ; température, tempête | pietas, -atis f | | respect des devoirs, piété (envers les dieux) ; affection, tendresse | bos, bovis m/f | | bœuf, vache | centurio, -onis m | | centurion | custos, custodis m | | garde, gardien

égalé l’originalité, la puissance de ses conceptions, et ses œuvres frappent par leur diversité autant que par leur caractère. L’humaniste néoplatonicien, superposé à la foi chrétienne, anime sa création. On lui doit notamment, en marbre, plusieurs Pietà, le David, les Tombeaux de Julien et Laurent II de Médicis dans la nouvelle sacristie qu’il édifia pour San Lorenzo ( à Florence) de 1520 à 1533. On lui doit aussi les différentes statues de Jules II, le Moïse en 1515, la Victoire à l’étonnante torsion

Quand on le regarde on voit qu'il a le regard vide. La mère a l'enfant: Dans ces attitudes on aperçoit de la peur mais aussi de l'espoir, dans ces bras on peux voir un bébé déjà mort. On la voit qui crie, surement de tristesse. (référence à la piéta, de michel ange) Les habitants de la ville en flammes: Sur cette image, on voit un habitant se trouvant dans un batiment enflammé. On dévine le désespoir dans les expressions de ce personnage. Le feu réprésente les mort affreusent ayant eu lieu

tchèque Peter Parlér à partir de 1357 sur instruction de l’empereur Charles IV, il fut achevé en 1402. Long de cinq cent vingt mètres, le pont Charles est bordés de statues baroques. Les plus célèbres représentent le saint tchèque Jean Népomucène, une Pieta, saint Venceslas (patron de la nation tchèque) et un crucifix. Le château royal de Prague et la cathédrale Saint-Guy Monumental, le château de Prague est commune une ville dans la ville. Symbole du glorieux passé du peuple tchèque, ancien siège

reine embrassée et levant les yeux au ciel ». « la reine le soutient dans ses bras » et « la reine se jettant sur son corps » sont très différents. Cela montre l’aspect solennel de la scène. Il s’agit ici de l’image de Michel-Ange de la piéta : « la Vierge tenant le Christ mort dans ses bras ».. De même, on retrouve un champ lexical de la religion : Dieu, pardon, maudit, béni, à genoux, oh ! Mon Dieu, crucifié. Il y a une allusion à Saint Véronique qui a essuyé la sueur du front du

repères ont disparu, le chaos est total. L'artiste représente quatre femmes hurlant leur douleur et leur désespoir face à ce bombardement aveugle. Celle de droite semble implorer le ciel au milieu des flammes, celle à l'extrême gauche, comme une pietà d'un tableau religieux, pleure son enfant mort dans ses bras, symbole de la victime innocente. Au pied de ces femmes, un soldat, au corps déchiqueté, tient dans sa main une épée, arme bien dérisoire pour lutter contre la puissance de feu des avions

le symbole de la résistance, du nationalisme. L’oiseau : A peine visible entre le cheval et le taureau. Il pourrait être une colombe. C'est un symbole d''espoir et de paix. La mère et l'enfant : Elle tient son enfant mort dans ses bras, évoquant pietà, figure de la vierge criant la mort du christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles. Soldat mort : Il gît, démembré dans le bas du tableau, la t^te et un bras sont coupé. C'est la figure du combattent, de cette main sort une fleur

propagande, qui raconte que Rome put prospérer grâce à l’appui des dieux, et que l’avenir de l’Empire romain serait radieux. Le texte fait aussi l’éloge des valeurs romaines (le mos majorum.), du courage (virtus.), du respect de la patrie et des dieux (piétas.), etc Dans la première partie de l’Énéide, Virgile raconte les voyages d’Énée après la chute de Troie, jusqu’à son arrivée en Italie (livres I à VI.). Cette partie ressemble fort à l’Odyssée. Énée fils du mortel Anchise et de la déesse Aphrodite (Vénus)

: C’est une femme qui brûle vive. Elle tend les bras vers la fenêtre et le ciel, elle appelle à l’aide mais personne ne vient la secourir. (Cf « Tres de Mayo » de Goya) Femme de gauche : Cette femme pleure son enfant mort dans ses bras (cf la « pieta » de Michel Ange). Elle a un couteau dans la bouche ce qui symbolise la souffrance, l’agonie. Elle regarde vers le haut comme pour apercevoir ses agresseurs. Homme au sol : L’homme par terre est démembré. On peut dire que c’est un paysan à la vue