Pietà

L’humanisme au XVIe siècleC’est un grand mouvement européen intellectuel, moral et religieux, caractéristique de la Renaissance (1515-1547). Au Moyen Age, les « lettres humaines » désignaient les lettres profanes en opposition avec les « lettres divines » (études sacrées, commentaires de l’Écriture et théologie). Au XVIe, on met à l’honneur les lettres humaines et on y ajoute les Belles Lettres (grecques et latines), ce qui caractérise l’humanisme comme une renaissance des lettres antiques, bien

douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d'accès. L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta (vierge à l’enfant). Cette figure exprime une douleur universellement compréhensible, et traduit l'horreur de toutes les guerres. Ses yeux en forme de larme, sa langue en forme de couteau, son visage tourné vers le ciel (d'où est venu le drame),

Il semble fixer le spectateur. C’est une figure ambigüe. Certains y voient une figure de la bestialité et de la cruauté, d’autres le symbole de la résistance. La femme et l’enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

l’iconographie tauromachique dans ses œuvres. A gauche de ce taureau se trouve la mère pleurant son enfant mort. Le désespoir de la mère est évident par ses cris qu’elles poussent vers le ciel. La posture de la mère rappelle très facilement la piéta. La piéta est une représentation de la Vierge Marie pleurant la mort du Christ en le tenant dans ses bras. Par cette image universelle il arrive à faire ressentir la douleur de la mère à un plus grand public et dénonce l’horreur de toutes les guerres. Ses

tournés vers le ciel, ce qui accentue l’expression des visages. Au premier plan, de gauche à droite : -La mère et l’enfant : la femme tient son enfant mort dans ses bras, dans une pose pathétique : elle semble effondrée. Cette figure rappelle une Piéta, figure de la Vierge Marie pleurant la mort du Christ. Ses yeux et ses narines sont en forme de larmes. Son cou tendu, sa bouche largement ouverte et sa langue pointue traduisent sa douleur et l’horreur de la guerre. Elle regarde le taureau et hurle

Le taureau est peint pour exprimer la brutalité. Il symbolise la force et la cruauté par laquelle le peuple est anéanti. A gauche, une femme tient dans ses bras son enfant mort et hurle de douleur vers le ciel. Cette image fait référence à une piéta. De plus, Picasso utilise une peinture aux formes dramatiques, aux contrastes violents et aux couleurs ternes, notamment le noir et le blanc. Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation.

"à vos pieds" mis en valeur des mots féminins) b- désir d’être aimé (traduit par l’évolution constante de l’être aimé avec impératifs "souffrez" "laissez") désir de tendresse/protection/paix a- maternel ("jeune sein", 2e strophe image de La Pietà ou Christ repose aux pieds de la Vierge), b- douceur (allitération en ‘s’ associée à la quête amoureuse, "doux" place privilégiée à fin 1equatrain, sonorité green) c- sentiment de lassitude, aspire au repos (allitération ‘p’ -> repos, champ lexical

Un homme seul, mort, décapité avec l’épée cassée et le bras droit coupé * Horreur de la guerre, signifiant un soldat qui se bat jusqu'à la mort pour défendre la liberté. * Femme hurlant de douleurs, tient son enfant qui est mort (c’est la piéta) ses yeux sont en forme de larmes * Détresse, souffrance, désarroi * Taureau, il nous regarde, immobile, queue en fumée après le bombardement, chaque personnage le regarde * Le mal vient de lui, il est symbole de cruauté de triomphe,

violence. 2) le taureau: il représente la violence, la brutalité, mais aussi la masculinité. 3) la mère et l'enfant: cette femme tient son enfant mort dans ses bras. Elle pleure et crie de tristesse et de désespoir. Elle peut être comparée à la Pieta, de Michel-Ange. C'est une sculpture dans laquelle la Vierge pleure la mort du Christ. 4) le soldat mort: il témoigne de la force et de la violence du combat. Il est démembré, et il possède une épée cassée, ce qui signifie la défaite. De sa main sort

pétrole qui symbolise la résistance et l’espoir, l’éclairage extérieur qui symbolise la vérité, le taureau la brutalité et les nationalistes, les flammes la domination de l’ennemi, le cheval le peuple sacrifié, la mer avec son enfant fait référence à la piéta (Michel Ange), le personnage bras en croix le Tres de Mayo, la fleur la vie fragile et la paix et enfin la colombe dans l’ombre le désespoir de la population. On observe une absence de couleurs, seulement du noir du blanc et du gris ont étés utilisés