Pietà

la mère tient son bébé mort dans les bras elle est effondrée, elle lève la tête vers le taureau et vers le ciel, d'où ont été lancé les bombes causant la mort de son enfant. Ses yeux sont en forme de larmes. Elle rappelle le thème classique de la Piéta (la Vierge qui tient le Christ mort dans ses bras). Elle incarne le peuple qui souffre. L’enfant a les yeux vides et la tête pendante. Il symbolise l’innocence assassinée. Le soldat : Le corps démembré et décapité témoigne de la violence et la

pointue lui donnent une expression, et ses yeux sont humains. Il semble fixer le spectateur. Sa tête est massive. Il possède des cornes et des oreilles pointues. La mère et l'enfant : Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

dans les brasà guauche du tableau de Guernica. Ses yeux sont en formes de larmes et sa langue en forme de couteu qui exprime la violence. Elle montre l'horreur du bombardement qui touche les civils innocents. On peut faire féférence à l'oeuvre La Pieta de Michel Ange on fait référence à cette oeuvre car tout comme l'oeuvre de Guernica on voit une mére qui tient son enfant dans ses bras agonisant. En fait il s'agit de la vierge Marie douloureuse tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu

pleurant son enfant, tous les personnages figurant sur ce tableau sont édentés cela montre qu’ils sont sans défense mais aussi que c’est un bombardement. A gauche de ce tableau nous voyons une femme hurlant son enfant celle-ci fait penser à la  « piéta » de Michel Ange. Le cheval blessé symbolise le peuple chez Picasso, celui-ci à la langue en forme de poignard cela représente la liberté qui meut, il fait allusion au christ c’est la crucifixion le cœur des femmes pleure cette liberté agonisante

Dans l'histoire de l'Occident, la Renaissance est tout d'abord considérée comme un mouvement culturel et artistique auquel on associe la Piéta de Michel-Ange ou le génie multiforme de Léonard de Vinci. Mais cette période se présente aussi comme une remise en question radicale du Moyen Âge. Par plus d'un côté, la Renaissance est, en quelque sorte, l'acte de naissance de notre monde moderne et de nombreux événements (les voyages d'exploration et de conquêtes de Christophe Colomb, de Cortès et de Pizzaro

consiste à prendre le pouvoir au sein de la famille : à la fin, elle remplace le père par son autorité. Elle apparaît essentiellement comme une Mère Courage. Ensuite, Rosasharn se caractérise par son évolution depuis la jeune fille égoïste vers la Pieta finale. Weedpatch : le microcosme utopique de la communauté Il s’agit d’une tentative de construction d’une justice à l’échelle de la communauté. C’est une reprise d’une justice passée, qui existait au temps des aïeux. Au cours de l’œuvre, la communauté

bestialité et de la cruauté, d’autres le symbole de la résistance . L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il représente la liberté abolie . La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ .La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. L'enfant dans ses bras a des yeux vides, la tête

lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. La Mère et l’enfant : Cette femme tient son enfant mort dans ses bras évoquant une « pietà », figure de la vierge pleurant de la mort du christ. La douleur et les hurlements de la mère sont bien visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage est à la fois de face et de

L’entre-deux-guerres P.Picasso Guernica Description globale : Les quatre parties correspondant aux groupes de personnages : Première partie à gauche, on peut y voir un enfant mort dans les bras de sa mère cela ce rapproche d’une autre image : la piéta, et le taureau symbolise la force brute et la cruauté. Deuxième partie à gauche, on peut y voir un cheval symbolisant le peuple sacrifié et une lampe symbolisant l’espoir. Deuxième partie à droite, on peut y voir deux femmes regardant dans la même

sa tête, le bras droit dans le prolongement de celle-ci, les sabots du cheval, le pied, le genou et l’autre pied de la femme qui se traîne. Au gauche du triangle, les figures du taureau et la femme tenant son enfant mort dans les bras évoquent un piéta, l’oiseau blessé suspendu dans son vol, sur une table, et la lampe électrique. A la droite du triangle, la femme sombre dans sa maison incendiée et une figure féminine surgit, une lampe au poing, allégorie de la vérité. Durée : 8’37’’ Modes de