Pitié

Troisièmement, la pitié dans Phèdre est le sentiment fondamental de cette tragédie. Malgré que la terreur fut un sentiment ressenti de Oeone au début de l'acte IV, la pitié est aussi présente avec ce personnage à la fin de l'acte lorsqu'elle est exiler, malgré tout ce quel à fait pour Phèdre. Le dernier vers qu'elle dit dans cette histoire est très touchant: «j'ai tout fait, tout quitté,/ et j'en reçois ce prix» (IV, 6, 1327-28). D'autre part, Aricie est un personnage auquel la pitié peut y être associée

à l'état de déchets, ils n'ont plus de forme. La pitié vient de la souffrance extrême des personnages « se firent pitié » « leurs vie de boue » , ils ne sont plus humain. C'est l'horreur qui déclenche la pitié. Camille a une présence obsessionnelle par la présence de la cicatrice de Laurent. Mme Raquin est vengée. Ils meurent sous ses yeux , à ses pieds, comme des chiens. Sa justice est rendue. Le spectacle de la mort , l'horreur et la pitié des personnages et la vengeance assouvie de Mme Raquin

dialogue dominé par les registres tragique et pathétique. Nous étudierons comment cette déclaration d’amour involontaire est tragique. Nous mettrons donc en avant en quoi l’aveu de Phèdre est involontaire mais aussi le rêve qu’elle se crée et la pitié que cela suscite au lecteur. Premièrement, cette scène est construite autour d’un aveu involontaire. En effet alors que Phèdre, apprenant la mort de Thésée, vient solliciter la protection d’Hippolyte pour son fils, celle-ci se laisse peu à peu déborder

désinteréssée, il faut que nous faisions passer le bien et le mal d'autrui avant le notre. Ainsi, il va se pencher sur la question de la prise en compte d'autrui, et d'un sentiment que l'on développe à l'égard des personnes qui nous entourent, le sentiment de pitié, qui, selon lui, est le motif qui nous aiderait à nous mettre à la place d'une autre personne, et qui nous pousserait donc à faire passer son bien et son mal avant le notre. I/ Selon Schopenhauer, à chaque fois que nous accomplissons une action

pense comme lui, sans aucune compassion ou aucune pitié et avec une rage et une violence aussi poussées. -vision de la société : Cette vision de la société est la vision de la société violente, idiote, rageuse, sans pitié. Il montre qu'il existe bon nombre de gens comme ce goujat dans la société ; il n'y a pas que des gens bien. -VI- Avis personnel : Je trouve ce conte très bien écrit, il met bien en valeur ce personnage sans aucune pitié. Ce conte m'a beaucoup touché, c'est horrible et

Fillon parvient à susciter la pitié des Hô & de Dieu. Plan : I/ Une desctipt° macabre II/ La portée morale & philosophique du txt A Une descript° crue ++ A- Un poème à caractère religieux B- Une descript° pathétique B- Une reflex° sur le tragiq de la condit° hù Conclu : Ainsi, dans sa ballade, FV fait une descript° très crue des pendus, ce qui suscite à la fois dégoût & pitié chez le lecteur. De plus, il parvient

Les tourments du personnage tragique : Monologue d'Agamemnon : En quoi ce monologue suscite-il de la pitié ? Nous allons dans un premier temps étudier le dilemme tragique nécessitant la tirade d'Agamemnon. Ensuite, nous nous pencherons sur son monologue pathétique. Pour finir, nous verrons le monologue délibératif du héro grec. Le monologue d'Agamemnon est basé sur un dilemme tragique :choisir entre l’amour paternel et le devoir politique et religieux. En effet, nous pouvons remarquer

un langage relevé d’assaisonnements (…), imitation qui est faite par des personnages en action, (…) et qui, suscitant pitié et crainte, opère la purgation pro-pre à pareilles émotions représentant la terreur et la pitié(…).» Poétique, AristoteLa tragédie antique met donc en scène des mythes pour parler de la condition humaine et du rôle du citoyen. Elle inspire l’horreur et la pitié au spectateurs pour les purifier de leurs passions  catharsis zIII. LES Caractéristiques DE LA TRAGéDIE CLASSIQUE

1463. Villon fait appel, échappe à la pendaison et se retrouve banni par les magistrats. L’essentiel du Testament a été écrit entre deux prisons, de 1461à 1462. Villon cherche à s’y justifier, reconnaît des péchés et se repent, montre qu’il mérite la pitié davantage que la sévérité de ses contemporains. Nombre de ses poèmes évoquent la mort dont les tragiques tournent souvent au burlesque passant constamment du sérieux à l’ironie, de la délicatesse à la grossièreté, du réalisme à la poèsie. Champs lexical :

donne un trait moral à l'homme à l'état de nature car il détient une compassion naturelle, il éprouve de la pitié face à ses semblables. Le reproche est là, c'est que contrairement à Rousseau qui pense que l'homme n'est ni bon ni mauvais mais penche plus vers le bon de par la pitié qu'il ressent envers autrui, Hobbes lui dit que l'homme est violent à l'état de nature, qu'il ne ressent aucune pitié.5) La multiplicité des passions est l'ouvrage de la société car si la vie continue comme l'a démontré Hobbes