Pitié Du Spectateur Andromaque

personnage seul en scène, elle sert à renseigner sur ce qui s’est passé entre 2 actes, ex. : dans Le Cid, L’Avare, Hernani: nous renseigne sur les états d’âme d’un personnage. Le récit : un personnage raconte ce qui s’est passé hors de la vue du spectateur. Ex. récit par le Cid de sa victoire sur les Maures, mort d’Hyppolite dans ‘’Phèdre’’, V, 6 Le portrait : « gros, gras, il se porte à merveille » (Tartuffe) La stichomythie : ping-pong verbal. Succession rapide de répliques brèves : ex. Le Cid II

sur l'étude de la Bible. Il commence a écrire c’est premier poèmes puis il choisit de se consacrer entièrement à la littérature . Ses œuvres les plus importantes : -La Thebaïde ou les frères ennemis (1664) -Alexandre le Grand (1665) -Andromaque (1667) -Les plaideurs (1668) -Britannicus (1669) -Bérénice (1670) -Bajazet (1672) -Mithridate (1673) -Iphigénie (1674) -Phèdre (1677) -Esther (1689) -Athalie (1691) Mme de SEVIGNE Sa vie Marie de Rabutin-Chantal, baronne de Sévigné

plus ivre. Il voit Andromaque de dos. : information sur l'état d'Oiax.) L’exposition se trouve dans la première scène du premier acte, qui plante le lieu de l’action, et qui annonce déjà la détermination d’Hector à œuvrer pour la paix, ainsi que le dénouement de la pièce et la façon dont celle-ci va se terminer, c’est-à-dire à cause de la bêtise des hommes et des éléments affirment Cassandre. Les scènes suivantes dévoilent les différents protagonistes de l’histoire aux spectateurs. Il y a plusieurs

dans un monde absurde et parce qu’il est préoccupé par les choix moraux et les valeurs que doit adopter l’homme, la technique dramatique s’avère être particulièrement adaptée. C’est ainsi que la pièce intitulée Les Justes déploie sous les yeux du spectateur les contradictions et les souffrances inhérentes à l’exercice de la liberté en général, et à l’engagement politique en particulier. - Mise en situation du passage : Dans cette pièce, Camus met en scène un groupe de révolutionnaires russes qui

vers; en alexandrin et en cinq actes, mettant en scène des personnages de rang élevé qui sont confrontés à des événements exceptionnels. L’époque de la tragédie est biblique ou antique. L'effet recherché par la tragédie est d'inspirer la terreur et la pitié et provoque ainsi une purification des passions (la "catharsis"). Le dénouement est très souvent malheureux. Les personnages conservent un caractère unique et s'expriment dans un ton défini un fois pour toute. 5. La tragédie classique se définit

est née au VI ème siècle avant Jésus Christ dans la Grèce Antique lors des fêtes religieuses en l’honneur de Dionysos. Elle repose sur le registre tragique puisqu’elle doit impérativement respecter la catharsis, à savoir inspirer crainte et pitié au spectateur. L’homme est confronté dans sa vie quotidienne au tragique qu’il reproduit souvent dans ses productions littéraires ou artistiques. Par définition, la tragédie est tragique mais est-ce que ce registre ne se retrouve pas aussi bien dans la plupart

JEAN RACINE (1639/1699) Dramaturge et historiographe français. Il veut sortir de l’ombre. 1er gros succès : Andromaque (1667). Ecrit ensuite Britannicus en 1669Il était déjà aimé de la pop et du roi. Son dernier grand succès fut Phèdre (1677).  10 ans de gloire. Il a été influencé par le jansénisme, et fut élevé dans une morale austère. Ses personnages sont animés de violence et de désirs contrairement aux personnages Corneliens qui se battent durement. BRITANNICUS Tragédie classique :

persuader, comme dans Les Liaisons dangereuses de Laclos. C’est aussi le cas de certaines formes d’apologue. La fable, par exemple, procure du plaisir au lecteur. C’est une Šuvre qui peut aussi bien le prêter à sourire qu’à le faire éprouver de la pitié pour l’un des personnages. Le fait de toucher le lecteur peut aussi être un moyen de renforcer la thèse initiale. Par conséquent, un lecteur touché par la fable de La Fontaine « La Mort et le Bûcheron » comprendra plus aisément qu’il faut savourer

fonde en outre, en 1984, la revue L'art du théâtre, et y écrit, dans le premier numéro: « Le théâtre est un champ de forces très petit , mais où se joue toute l’histoire de la société, et qui, malgré son exiguïté, sert de modèle à la vie des gens, spectateurs ou pas. Laboratoire des conduites humaines, conservatoire des gestes et des voix, lieu d'expérience pour de nouveaux gestes, de nouvelles façons de dire [...] pour que change l'homme ordinaire, qui sait? ». Antoine Vitez suppose ici un paradoxe

au théâtre grec antique. On l’oppose à la comédie au contraire de laquelle elle met en scène des personnages de rangs élevés et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Aristote lui assigne pour but d’inspirer « terreur et pitié ». Origine La tragédie apparaît à Athènes au Ve siècle av. J.-C.. Elle est représentée dans le cadre des fêtes de Dionysos (fin janvier et fin mars). Il veut dire le « chant du bouc ». Mais les raisons d’un tel vocable ne sont pas très claires.