Pitié Pour Le Mal

d’humanité a-t-elle un sens ? La notion d’humanité est-elle même une grande question philosophique : existe-t-il une nature humaine ? * Selon Rousseau, l’homme dans l’état de nature possède 2 sentiments primitifs : l’amour-propre et la pitié. Cette pitié permet à chaque homme de s’identifier lorsqu’il constate la souffrance d’autrui. L’autre est donc un autre moi-même auquel je m’identifie. Comme je ne supporte pas de ne pas être respecté, je ne conçois pas qu’un autre homme ne puisse l’être

dangers extérieurs, l’homme a créé la société et il a choisi d’être dirigé par l’État. C’est ainsi que d’autres problèmes se sont créés comme : l’inégalité, le désir de posséder, la centralisation de soi, les mésententes et les guerres, qui causent du mal à l’homme par l’homme. La question suivante peut être perçue différemment selon la perception de chacun : l’être humain est-il fondamentalement bon ou mauvais? Selon le discours anthropologique, qui est au sens philosophique, un ensemble de propositions

gréco-latins. Pour faire une bonne tragédie dans le classicisme, les auteurs s’inspirent de La poétique, d’Aristote. Il faut donc avoir un personnage mythique ou historique de haute noblesse, ce personnage doit inspirer « terreur et pitié » appelant à la catharsis, c’est-à-dire la purgation des passions. Les pièces sont écrites en Alexandrins, des vers de douze syllabes, et c’est ainsi que naquit par imitatio-emulatio la Phèdre de Racine. C’est une tragédie

ses pièces Andromaque et Les Troyennes, mais Racine cite dans sa première préface L'Énéide de Virgile comme source principale de référence. La situation du passage est dans un premier temps pathétique, car Oreste, qui aime Hermione, inspire de la pitié et de l’empathie. On est désolé pour lui qu’il ait perdu sa « bien aimée » et donc on le soutient dans sa tristesse et sa détresse: « Au comble des douleurs tu m’as fait parvenir. » (Vers 4). Ce vers que je viens de citer montre sans aucuns doutes

point de se divorcer, sont constamment en train de crier. L’adolescent craint que ses gestes empirent la situation à la maison. En constatant la peur sur le visage du garçon et en voyant qu’il respecte chaque demande lui étant faite, je suis pris de pitié et je comprends comment il se sent. Je me demande si je devrais réellement aviser ses parents. Je dois prendre une décision déchirante. Je peux avertir ses parents malgré ce que l’adolescent m’a raconté. Cette optique risque d’empirer l’ambiance au

dialogue et ouvre une place pour un récit, qui occupe l’essentiel de la tirade de Phèdre. En effet, dès le second hémistiche du premier vers, le présent d’énonciation cède la place aux temps du récit, imparfait, passé simple et plus-que-parfait : Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d’Egée Sous les lois de l’hymen je m’étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi, Athènes me montra mon superbe ennemi. Le récit constitue comme une longue parenthèse dans l’échange dialogal, qui

rien : Attention du lecteur Paragraphe 3 : 3 eme moment de crise: l 17 « a nouveau pour la troiseme fois » ou le rythme du récit s'accélére ce qui souligne la souffrance subie par l'enfant. Par des details réalistes: Emotion et pitié: Le narrateur fait naître le sentiment de pitié du lecteur par l'évocation de la faiblesse du corps de l'enfant « petit malade »l2 « petit corps nu » l 3 « frêle carcasse » l 14 cela demontre la fragilité de celui-ci 2/ Par les précisions de données physique insistant sur

ses yeux mal assurés, N'osent lever au ciel leurs regards égarés". Albine fait alors appel a Agrippine pour lui faire signe d'aller sauver son fils, car dans l'état où il se trouve, on ne sait ce qu'il pourrait faire. " Il se perdrait, Madame" : là encore, on retrouve un sens caché, car symboliquement cela signifie qu'il pourrait se tuer. Après les morts sous différents aspects et les réactions des différents personnages, nous allons voir comment cette tirade cherche a susciter la pitié chez le

L'appellation « le pauvre » appartient au registre pathétique. Le personnage a des habits déchirés, il inspire la pitié. De plus, il utilise des hyperboles et le superlatif dans ses répliques à propos de sa situation : « retiré tout seul dans ce bois » (l.962-963), « je suis dans la plus grande nécessité du monde » (l.974-975). Il dit qu'il n'a rien, qu'il est seul, afin de susciter la pitié. Il utilise des interjections (« hélas » l.974, « Ah ! » l.983) qui sont des plaintes, des lamentations.

tendresse manifestée «je pensais que mon mal venait de ce que tu étais loin» - Nostalgie de l’amour familial : «mais moi ? je suis calme ?» Elle affirme sa volonté d’amour - Lorsqu’elle voit sa mère resurgir, le masque resurgit. b - Amour filial - l. 1391 : « Notre mère... » pas d’ironie mais contradictoire. Electre a aussi conscience de la grandeur et de la faiblesse de sa mère. - Clytemnestre devient être pitoyable : « j’avais pitié », « J’avais pitié de cet Egisthe » Elle a essayé de se raisonner