Pitié Pour Le Mal

de son discours Julien a employé premièrement un langage soutenu (càd?) puis secondement un vocabulaire qui touche au plus profond de soi, avec comme nous l’avons déjà dit le lexique de la mort mais encore celui de la pitié et du châtiment. « À ce que ma jeunesse peut mériter de pitié » et « voudrons punir », ligne 15, « il sera punit avec d’autant plus de sévérité » ligne 19. [Développez] Dans un premier temps, nous pouvons relever que la prise de paroles de Julien est tardive, à partir de la

partie exclamative jaillissant spontanément d’une partie explicative. L’absence de ponctuation crée une phrase unique à deux sommets d’intensité : «  Elle était déjà bien tendue / la paroi sous les doigts » (l. 3), « On l’a chassée, tracassée / la pitié » (l. 14), « s’ils avaient pas changé un peu / les hommes » (l. 20) « il était un peu malin malgré tout /Léon » (l. 26), « Ils pleurnichent encore…/ les mourants » (l. 32), « elles sont restées en l’air / ses mains » (l. 49) → la phrase disloquée

fait l'éloge de la vie sauvage, gouverné par les règles de la nature et par conséquent le blâme de la société européenne qui n'apporte que maladie et malheur au peuple Tahitiens. Pathétique : au début de son discours, le vieillard fait appel à la pitié, la compassion et utilise le champs lexical de la douleur/tristesse : « Pleurez, malheureux Tahitiens […], un jour ils reviendront ». il fait aussi référence à la maladie et à la vieillesse. Thèmes : la nature. Diderot fait ici une éloge

Selon la tradition, on retient la division qui a été faite par Leibnitz : • Le mal physique est le mal subi. Il n’affecte pas seulement l’homme mais aussi les animaux même si la souffrance de l’homme est irréductible à la souffrance des animaux a cause de la conscience de soi dont elle s’accompagne. On estime que la conscience de soi redouble la souffrance de l’homme. • Le mal moral est le mal commis : le péché en langage religieux n’affecte que l’homme parce qu’on suppose l’homme doué d’un

qualificatif "infâme" =>quelqu'un qui n'est pas digne d'être reconnu, qui n'a pas d'honneur oxymore: "misérable vanité" =>les gens n'ont plus de ligne de conduite, ne savent plus comment se diriger qualificatif "méchant" =>quelqu'un qui fait du mal volontairement vocabulaire violent référent à la mort =>"crevée", "victime", "bourreau" b)elle parle de la moquerie ,la destruction psychologique =>"railleries" ,"sarcasme" Dans cette société, la méchanceté vient par les mots et tout est

combats de l’après-guerre. Il développe les thèmes de l’absurdité de la condition humaine et de la révolte qui lui donne du sens. Selon l’auteur « l’étranger » appartient au cycle de l’absurde. C’est un roman. La souffrance du héros peut provoquer la pitié chez le lecteur. Mais c’est un texte tragique : Le héros est soumis à une fatalité, à un destin injuste. Point de vue interne à la 1ère personne : Meursault « je » raconte au lecteur. Des sensations variées : Peu de sentiments mais beaucoup de sensation

car c'est un récit imaginaire et que certains éléments de l'intrigue sont invraisemblables et merveilleux, et « philosophique » parce qu'il propose des sujets de réflexions sérieux en relation avec la réalité et s'interroge notamment sur l'origine du mal. De l'Allemagne à la Turquie en passant par le Portugal et le Nouveau Monde (= l'Amérique), Candide ne croise que malheurs et désolation sur sa route. Dans le chapitre 19 accompagné de son valet Cacambo, il s’apprête à entrer dans Surinam, capitale

qu’il retirera d’une quelconque interaction (on voit ici un lien avec l’amour-propre), la raison morale dicte ce qui est bien de ce qui est mal. Cette dernière engendre la pitié chez l’homme social, créée par la modification de l’amour de soi de l’homme à l’état de nature par la raison morale. Ainsi, puisque l’homme social est doté de raison morale et de pitié, il est capable de voir et comprendre les inégalités sociales. Rousseau parle aussi d’un autre concept, celui de la perfectibilité, « […] la

former, et quel bonheur attendre ? De tous les deux côtés j’ai des pleurs à répandre  De tous les deux côtés mes désirs sont trahis. p 36 De plus, la tragédie est écrite en alexandrins, dans un style élevé et suscite la pitié et la crainte. En effet , on éprouve de la pitié pour Camille et Curiace car leurs destin et tous chambouler. Camille Il faut bien que je pleure : Mon insensible amant ordonne que je meure ; Et quand l’hymen pour nous allume son flambeau, Il l’éteint de sa main pour m’ouvrir

suscite une réaction de pitié ou de terreur devant des situations ou les personnages sont victimes de la fatalité et condamnés à un malheur certain. Quelques principaux procédés du tragique : Le lexique de la fatalité, du destin, du désespoir Le lexique du malheur, de la douleur, de la mort, du néant Les exclamations, les interjections et les interpellations Les termes évoquant l'idée d'accablement et d'impuissance → Le registre pathétique suscite les sentiments de pitié et de compassion devant