Plaidoyer Sur La Faim

le petit roman de Victor HUGO CLAUDE GUEUX, nous éprouvons de la pitié, de la compassion, pour ce pauvre homme victime de la pauvreté et de l’acharnement de son « bourreau », on comprend que s’il est en prison, c’est qu’il a volé parce qu’il avait faim, et s’il a tué le directeur de la prison c’est par ce que celui-ci l’avait poussé à bout et plongé dans le désespoir. D’autre part, les personnages secondaires peuvent être aussi indispensables à l’intérêt du roman. C’est le cas dans NOTRE DAME

Le discours ( le plaidoyer ou le réquisitoire ) : Discours sur la misère de Victor Hugo (1849) prononcé à l'Assemblée pr engager les députés à constituer 1 comité destiné à préparer des lois relatives à la prévoyce et à l'assistce publique. L’auteur veut éradiquer la misère décrite cô 1 maladie, il évoque plusieurs cas précis et douloureux d' ♂, de ♀ et d'enfts moura de faim. ·

volontaire (IAVE) et le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU). Le bénévolat et le volontariat recouvrent toute une série d'activités, des visites aux malades à la sensibilisation au VIH/SIDA en passant par la plantation d'un arbre et le plaidoyer pour les droits humains. Alors que l'on a parfois tendance à considérer le bénévolat et le militantisme social comme deux sphères d'activités séparées, il y a, en réalité, une relation dynamique entre les deux. L'un comme l'autre contribuent à l'implication

faux dilemme / 2 propositions mais 1 seule acceptable -De la pente fatale / cause-effet catastrophique -De la double faute / c'est l'autre qui fait la faute -De l'appel à la popularité / par l'humanité -De fausse analogue / la faim justifie les moyens 3.3 Plaidoyer (défendre l'accusé) et réquisitoire (défendre la partie civile donc accusé) 4/. La poésie. Les traits caractéristiques des textes poétique: 1/. Le langage se distingue du langage traditionnelle: les mots s'assemble autrement

— Rien ne me le prouve. L’endurcissement ne s’amollit point tout à coup par un livre. Il fallait Dieu lui-même pour ce prodige. Le plus grand nombre a dit en jetant ce livre : Cette idée pouvait en effet se défendre. Voilà qui est un assez bon plaidoyer ! Mais la cause, ô grand Dieu ! la cause pendante à votre tribunal, ils n’y ont plus pensé ! page 1 Alfred de Vigny, préface de Chatterton (1835) 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68

"Arès contre Arès, Droit contre Droit" (Oreste) "Qu'ils soient pris à leur tour au lacet de la ruse et meurent selon l'oracle de Loxias." (Oreste) "J'en [Egisthe] fais un cadavre, je jette autour de lui le bronze agile, et l'Erinye sans souffrir de la faim boira le sang pur d'un troisième meurtre."(Oreste) Il évoque aussi l'ordre d'Apollon - Loxias : "Non, Loxias ne me trahira pas, lui dont le puissant oracle m'ordonnait d'aborder ce péril à grands cris, lui qui glaçait mon foie brûlant sous la tourmente

Quiconque aura premier la main embesognée À te couper, forêt, d’une dure cognée, Qu’il puisse s’enferrer de son propre bâton, Et sente en l’estomac la faim d’Erisichthon, Qui coupa de Cérès le chêne vénérable, Et qui, gourmand de tout, de tout insatiable, Les bœufs et les moutons de sa mère égorgea, Puis, pressé de la faim, soi-même se mangea : Ainsi puisse engloutir ses rentes et sa terre, Et se dévore après par les dents de la guerre.   Qu’il puisse, pour venger le sang de nos

commerçants. Je crois bien que nous sommes les seuls à voyager « pour le plaisir » ». Partir au Congo était une idée de jeunesse « ce voyage au Congo, je n’avais pas vingt ans que je me promettais de le faire » p.14 Dans ce roman, André Gide fait un plaidoyer en faveur des indigènes. En débarquant sur le sol africain, il est émerveillé par la beauté du paysage (p.17) « Extraordinaire quiétude et douceur de l’air. Tout ici semble promettre le bonheur, la volupté, l’oubli » et la richesse des terres. Au

veulent trouver un coupable. L’âne est tué sans être le plus coupable. I) L’art du récit A) Un art de plaire à travers les personnages-animaux et la Peste L’auteur délègue la parole à des animaux : confession d’un lion, réquisitoire d’un loup, plaidoyer d’un renard, condamnation d’un âne Plus grande liberté d’expression, très limitée à cette époque de censure, le lecteur averti peut reconnaitre le monde de la cour avec les courtisans (renard), les avocats (loup) et à sa tête, le roi (lion), le

est en exil. Aidé depuis la France par des amis qu'il charge de vérifier si tel coin de rue existe, il retranscrit dans ce roman la vision des lieux qu'il a aimés et dont il garde la nostalgie4. Mais la motivation principale de Victor Hugo est le plaidoyer social. « Si les infortunés et les infâmes se mêlent (...) De qui est-ce la faute ? » Selon Victor Hugo, c'est la faute de la misère, de l'indifférence et d'un système répressif sans pitié. Idéaliste, Victor Hugo est convaincu que l'instruction,