Plaie

Evaluation risque (échelle d’Angers) Décharge des zones d’appui : mobilisations supports de prévention Dénutrition (albumine) Hygiène corporelle Artériopathie associée ? Patient présentant une plaie EVALUATION Etat général, Pathologies, Traitements, Alimentation, Hydratation, Mobilité, Facteurs de risques, Antalgie Plaie Cancéreuse Gestion odeurs et exsudats Confort esthétique Protection de la peau périphérique Etiologie non retrouvée Iatrogénie (Hydréa...) ? Cancérisation ? Séjour tropical ? Pathologie

indiquer une nouvelle plaie. L’escarre du patient est actuellement de stade 2, ce qui veut dire qu’il y a une altération superficielle de la peau touchant l’épiderme ou le derme. La plaie se présente comme une phlyctène hématique avec présence de fibrine. Je vais donc devoir inciser la plaie, la nettoyer et la protéger. Dans un premier temps, je suis entrée dans la chambre du résident, accompagnée de l’infirmière responsable, pour le prévenir que j’allais regarder sa plaie au niveau du talon et

les chirurgiens ont posé une plaque sur le fémur gauche et ont refermé la plaie avec des points. De plus, lors de cet accident, M r D. s'est brisé les dents numéro 11, 21 et 221. Mr D. a dû retourner au bloc opératoire le 31/03/11 pour une reprise et un nettoyage de la plaque qui avait été posée, car deux hémocultures se sont révélées positives à un Staphylocoque « méti-R ». Suite à cette reprise, Mr D. présentait une plaie chirurgicale (refermée par des points) s'étendant sur le côté gauche de sa

charge d’un patient âgé de 70 ans, retraité, qui réside avec son épouse (4 mois par an dans une caravane) dans un camping. Monsieur M est adressé par le Médecin des urgences du centre hospitalier à l’infirmière pour effectuer les pansements d’une plaie étendue (Dermabrasion) 10 cm sur 6 cm, située au niveau du tibia de sa jambe gauche, suite, à une chute dans les rochers. Cet acte doit être pratiqué dans un premier temps tous les jours et au domicile du patient. Ce patient a pour antécédents :

de cicatrisation de l’escarre. Pour le soin : Lorsque j’arrive dans la chambre de Mme T il devient difficile de faire rentrer le chariot de soin car la chambre est petite et encombrée, il faut manœuvrer pour bien le positionner. Pour accéder à la plaie qui se situe aux talons, Mme T met ses jambes horizontalement alors qu’elle est dans son fauteuil roulant. Cette position peut lui devenir inconfortable si le soin dure trop longtemps. 6. Les marges d‘autonomie L’infirmière m’accompagne dans la

l’infirmerie préparer mon chariot à pansement et recueillir des données pertinentes de la patiente sur les transmissions et sur son dossier médical Je regarde tout d’abord si le patient est allergique aux produits iodés (pour éviter de nettoyer sa plaie à la Bétadine et provoqué une réaction allergique) puis je vais prendre connaissance des informations pertinentes quant à la réalisation de mon soin : antécédents médicaux et chirurgicaux, pathologies… Avant toute chose je me lave les mains et désinfecte

malade bouge peu (fatigué, immobilisé parfois au lit sous perfusion) La plaie d’escarre facteur d’infection ? ? ? La plaie d’escarre C’est une plaie chronique toujours colonisée par de nombreux germes Bactériocycle de la plaie => Cycle microbiologique invariable Se produit au cours de la cicatrisation normale des plaies chroniques Déroulement normal du développement des flores bactériennes sur une plaie La flore commensale résidente Elle colonise la peau saine Conditions locales

pleuraux et médiastinaux PLAIE ARTÉRIELLE => NE JAMAIS FAIRE SAIGNER !!! Plaie: interruption de la continuité et de l’intégrité cutanée Plaie aigüe => absence de facteur local ou général pouvant retarder la cicatrisation Plaie chronique => plaie dont le délai de cicatrisation est allongé. 4 à 6 semaine d’évolution selon étiologie. - ulcère de jambes - Escarre - Plaie du diabétique - Moignons d’amputation Pansement => dispositif de protection Indications: - protéger la plaie (contre infection, irritation)

dispositif de protection destiné à recouvrir une plaie, une lésion au moyen de compresses stériles fixées soit par un bandage soit par un adhésif. Cadre législatif Soin infirmier sur prescription médicale et/ou protocole : art. R.4311-7 décret 2004-802 du 29/07/2004.   Surveillance relevant du rôle propre : art. R.4311-5 décret 2004-802 du 29/07/2004. Indications et objectifs Prévenir l'infection en assurant une désinfection de la plaie. Protéger la peau de la macération et de l'action

particulièrement de coupure. Une coupure est une incision, une blessure faite dans la peau causée par un objet tranchant (voir annexes 1 et 2). La gravité des plaies varie en fonction de leur profondeur, de leur taille et de leur localisation. Toute plaie est la porte ouverte à l’infection. La principale maladie encourue liée à une coupure est le tétanos (maladie difficilement curable). Le tétanos  est une maladie infectieuse aiguë, grave et potentiellement mortelle. Si les germes du tétanos pénètrent