Plaie

jours 31/03/2012 Dans service il y avait 2 AS 1IDE 2ESI Depuis plus de deux ans Mr P est soigné pour une plaie (escarre) à la malléole droite (coté hémiplégique). En octobre de l’an dernier cette plaie c’est dégradé au point qu’on lui a proposé l’amputation. Dans un premier temps ce monsieur avait accepté cette opération jusqu'à ce qu’il change d’avis au dernier instant. De ce fais la plaie à continuée à être soignée et a connue une nette évolution jusqu'à aujourd’hui où sont état stagne. Aujourd’hui

encore à préciser. Pansements à l’argent… et colonisation critique ! La peau est physiologiquement colonisée par des espèces bactériennes peu virulentes, issues de la flore commensale cutanée, des flores endogènes ou de l’environnement. Toute plaie est obligatoirement colonisée et pour certains, cette flore de colonisation aurait un rôle bénéfique sur la cicatrisation. L’infection, processus pathologique caractérisé par une destruction tissulaire avec réaction de l’hôte, est à distinguer de

quantité et la nature des exsudats, ainsi que la plaie pour déterminer les soins à prodiguer. Sa plaie mesure 5 cm par 8 cm, peu exsudative, sans signe d'infection et fibrineuse. La fibrine, bien que phénomène naturel, perturbe les mécanismes de cicatrisation et doit être retirée. Je vais donc effectuer une détersion mécanique à la curette. On nettoie d'abord la jambe portant la plaie à l'eau et au savon, on rince, on sèche. Je tamponne ensuite la plaie avec un tampon stérile imbibé de sérum physiologique

pansement : Effectuer un traitement hygiénique des mains par frictions avec une solution hydro-alcoolique puis mettre des gants non stériles à usage unique car il existe un risque infectieux lié au risque d’exposition au sang. De plus la contamination de la plaie doit être prévenue. Oter le matériel de contention du pansement puis le pansement souillé en maintenant la peau et en tirant sur l’adhésif sans trop faire bouger le tube du redon. Oter les gants en les retournant sur le pansement souillé puis jeter

monsieur X qui en déambulant cette nuit s’est accroché le mollet et a une petit plaie. J’accepte mais je lui demande de me préciser quel pansement il faut pour une plaie de ce type et de me repréciser le protocole lié à ce type de pansement. Elle m’explique donc comment réaliser un pansement simple et m’accompagne auprès du patient. Arrivée dans la chambre je préviens le malade que je vais poser un pansement sur sa plaie à la jambe. Je me lave les mains et je prépare mon matériel sous l’œil attentif

LES ESCARRES 1 LA PLAIE Définition : l'escarre est une plaie de pression consécutive à une hypoxie tissulaire provoquée par une pression excessive et prolongée. Localisation des escarres : 40% des escarres apparaissent au sacrum et 40% aux talons. Les autres localisations les plus fréquentes sont les ischions (os qui forme le bassin) et le trochanter (partie supérieure du fémur), ainsi que l'occiput en pédiatrie. Classification des escarres : -stade 1 : rougeur ne blanchissant pas

Mesurer les paramètres vitaux Mesurer les paramètres vitaux. Protéger, dégager et installer. Arrêter une hémorragie et tampon compressif et points de compression. Appliquer les techniques d’immobilisation. Connaitre la conduite à tenir devant une plaie cutanée, une brûlure. Objectifs de formation : Savoirs associés : Pratiques : Niveaux d’acquisition et limites d’exigence : Les connaissances en anatomie et physiologie doivent être suffisantes pour appréhender le fonctionnement général du

Les traumatismes abdominaux I) Les traumatismes abdominaux ouverts II) Les traumatismes abdominaux fermés I) Les traumatismes abdominaux ouverts Processus en général évident mais la gravité peut varier de la simple plaie superficielle ne nécessitant que quelques points A la blessure cardio-vasculaire mettant en jeu le pronostic vital très rapidement Entre les deux en terme de risque : la perforation d'organe creux Présentation du patient grave en choc hémorragique : Teint pâle

protection destiné à recouvrir une plaie, une lésion au moyen de compresses stériles fixées soit par un bandage soit par un adhésif. Il s’agit d’un soin infirmier sur prescription médicale dont la surveillance relève du rôle propre. Le but de ce pansement (surtout pour la plaie du talon gauche) est de prévenir l’infection, d’absorber les exsudats, de limiter l’odeur, de protéger la peau de la macération et de l’action irritante des sécrétions, de protéger la plaie des traumatismes et d’assurer le

cogné le pied ce qui avait déclenché un saignement abondant. Les bandes et compresses étaient imprégnées de sang elles étaient collées aux points de sutures de l’orteil. En ouvrant le bandage, une odeur de sang très désagréable se dégageait de la plaie et devenait de plus en plus forte. Cette odeur était très difficile à supporter aussi bien pour moi que pour l’infirmière. De plus, les compresses ne se détachaient pas de l’orteil et le patient était très douloureux au toucher ce qui rendait le soin