Plaire Et Instruire Molière

classique  • Revoir la notion de registre comique  • Étudier une pièce de Molière dans son intégralité Textes et œuvres  • Molière, L’École des femmes (texte intégral Introduction Objet d’étude La tragédie et la comédie au XVIIe siècle : le classicisme Objet d’étude et objectifs Conseils de méthode Webographie Chapitre 3 Chapitre 1 Chapitre 1 : Autour de l’auteur A. Biographie de Molière B. Contexte historique C.  ’esthétique classique en peinture et dans l’art

d'une œuvre déjà existante. Ce n'est pas une copie, mais une transformation. On s'inspire d'un écrit que l'on prend pour modèle et on cherche à imiter ou à s'écarter de l'œuvre de départ en gardant son propre style. Les grands écrivains, tels que Molière, parlaient d'hommage aux auteurs classiques. La réécriture s'est vue illustrée de manière diverses et variées. - La citation Comme son nom l'indique, la citation est un emprunt direct à l'œuvre d'un autre auteur. On le cite afin d'étayer son

principes appliqués au théâtre donnent naissance à la règle des trois unités : temps, lieu et action. Mais tous ces points sont subordonnés à un plus grand principe énoncé notamment par Molière et jean de la Fontaine : plaire et instruire. De grands auteurs dans tous les genres : _ Théâtre : Pierre Corneille, Molière, Jean Racine. _ Fable : Jean de la Fontaine _Portrait et maxime : La Rochefoucauld, Jean de la Bruyère. _Roman : Mme de la Fayette _Lettre : Madame de Sévigné _Essais philosophiques

fait que l’on prêche et que l’on écrit. [...] On ne doit parler, on ne doit écrire que pour l’instruction ; et s’il arrive que l’on plaise, il ne faut pas néanmoins s’en repentir, si cela sert à insinuer et à faire recevoir les vérités qui doivent instruire. [...]Il y a une autre (règle), et que j’ai intérêt que l’on veuille suivre, qui est de ne pas perdre mon titre de vue, et de penser toujours, et dans toute la lecture de cet ouvrage, que ce sont les caractères ou les mœurs de ce siècle que je décris ;

aura d'autres mécènes par la suite, comme la Duchesse d'Orléans, Mme de La Sablière, Mr d'Hervart. Au XVIIème siècle, les personnes se rencontrent dans des salons pour pouvoir discuter; ils sont contre Louis XIV. Jean de La Fontaine y rencontrera Molière, Boileau, Racine.. Louis XIV veut aider les artistes seulement s'ils viennent à Versailles, et fait beaucoup de choses pour eux: construction de théâtre, création de la comédie française. La Fontaine a écrit des fables et des contes. Lorsqu'il les

vrai. La vraisemblance au XVII ce n'est plus ce qui pourrait avoir lieu, mais ce qui devrait avoir lieu. La mimésis correspond à un processus de recréation du réel, dont le critère est celui de la subjectivité. Instruire et plaire "La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour arriver à cette première Racine, préface de Bérénice "Les passions n'y sont présentée aux yeux que pour montrer tout

écrivains édictent des règles d’écriture permettant d’imiter des modèles antiques. - Des textes théoriques paraissent alors comme l’Art poétique de Nicolas Boileau qui résume les principes du classicisme. →LES PRINCIPES DU CLASSICISME  Plaire et instruire - Le culte des Anciens se fonde sur ce double souci. Pour atteindre cet idéal, il faut respecter des certaines conditions que les théoriciens définissent. - Chaque genre littéraire s’imposera, par des moyens différents ( le rire, le récit

Tartuffe, de Molière Molière (Jean-Baptiste Poquelin) est baptisé le 15 janvier 1622 à Paris (église Saint-Eustache). Fils d’un tapissier, Molière fait ses études chez les jésuites avant d’aller étudier le droit à Orléans .Avec Madeleine Béjart, il crée l’Illustre-Théâtre qui est un échec en raison de dettes (en août 1645, Molière est même emprisonné). Cette même année, il quitte Paris pour la province. Il y restera treize ans. En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux

 1. Bibliographie de Molière «Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Auteur le plus joué encore à l’heure d’aujourd’hui, Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Fils d’un tapissier, il renonce à reprendre l’affaire familiale qui le destinait à une vie bourgeoise et se tourne vers le théâtre. Il

ces qualités, il ne cherche guère la continuité. Et pourquoi n’aurait-il le droit de s’offrir à toutes les gracieuses qui passent devant ses yeux ? Sous prétexte de quelques bonnes manières ! Et bien il les brise pour mieux jouir de sa voracité. Molière utilisera aussi un euphémisme : " je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne ", strophe 55 L’amour qu’il éprouve pour une femme ne lui donne pas le droit de priver toutes les autres et la première ne doit pas s’accaparer de