Plaire Et Instruire

ce siècle a connu de nombreuses révolutions et critiques du pouvoir. Les auteurs sont des moralistes, ils peignent l’homme de façon pessimiste pour tenter de le corriger. Ils cherchent à plaire et instruire. Selon la rhétorique classique, il fallait obéir à des règles : le placere (plaire), le docere (instruire) et le movere (émouvoir). L’idéal est l’honnête homme qui doit avoir des qualités de corps, d’âme et d’esprit pour ainsi respecter ces règles. La fontaine est un célèbre poète de grande renommée

et non plus par la terreur et la pitié >les jansénistes et Racine le considèrent comme irrépressible (pessimiste), opposition entre le monde et le héros tragique(torture mental) b. La comédie au zénith - De la comédie classique, Molière veut instruire et plaire et définit la comédie de caractère en dénonçant des traits psychologiques -L'art remplit une rôle politique. - esthétique dramatique repose sur le respect des bienséances dicté par le modèle de l'honnête homme (bonne compagnie) - on exclut

La Fontaine met en abyme ses propres Fables qui sont un miroir de la société «notre vie» Cette Fable complexe où il défini ses attentions. Il fait de l'Art poétique son illustration. Sa Fable repose sur une double intention Plaire/Instruire 2 – Plaire et Instruire : Double intention du Fabuliste. 1 – L'enseignement moral. Intention didactique – mettre en évidence les travers des hommes. Corriger les vices, Molière «Castigat ridendo mores» = La comédie corrige les mœurs par le rire. La

doute plus favorablement, si les auteurs songeaient autant à instruire leurs spectateurs qu'à les divertir, et s'ils suivaient en cela la véritable intention de la tragédie. J-J Rousseau, Lettre à d'Alembert sur les spectacles, 1758 Quant à l’espèce des spectacles, c’est nécessairement le plaisir qu’ils donnent, et non leur utilité, qui la détermine. Si l’utilité peut s’y trouver, à la bonne heure ; mais l’objet principal est de plaire, et, pourvu que le peuple s’amuse, cet objet est assez rempli

l’occasion de pointer l’ambivalence du genre inventé par Voltaire : Plaire et instruire, c’est le but du conte philosophique. q Plaire et instruire, c’est aussi là le fond de la problématique, ici liée au genre : Ø Elle peut être liée au registre Ø Ou à l’histoire littéraire v Point culture de base ( l’une des problématiques littéraires susceptibles de tomber au Bac) : « Plaire et instruire » précepte transmis depuis l’Antiquité, la littérature se doit d’être

l’homme cherche à se divertir. Lorsqu’une pièce fait rire cela signifie qu’une sensation de bien-être est apportée au le public qui regarde la pièce. b) Le théâtre sert aussi à instruire les spectateurs. Nous pouvons ajouter que le théâtre sert souvent à instruire et transmettre une idée à travers l’œuvre présentée. Instruire consiste à faire acquérir des connaissances, amener quelqu'un à modifier sa manière de penser et de se comporter. Il s’agit de présenter, de manière plaisante, des idées à son

Séquence 1 – Lecture analytique 1 « Les Animaux malades de la peste », Fables, 1678, Livre VII, fable 1 Jean de La Fontaine (1621-1675) Cette fable est un apologue (= court récit à visée didactique) Elle respecte l'idéal classique : plaire et enseigner, elle se partage en deux parties : le corps (l'histoire) et l'âme (la morale) Procédés utilisés par La Fontaine pour susciter l'intérêt de lecteur : corps de la fable. Intertextualité: registre épique parodié (indice : parenthèses)

pathétique de leur amour. Vous vous attardez au conflit qui existe entre la raison et la passion. Introduction  Sujet amené : au XVII siècle, le classicisme était un moyen d’instruire et plaire le peuple. Pierre Corneille était un écrivain polyvalent qui a écrit Le Cid pour plaire le peuple avec les rimes et pour instruire sur la vérité universelles : la passion, la jalousie, l’ambition et l’obligation. Sujet posé : Mais, ce qu’il fait ressortir le plus c’est l’aspect pathétique de l’amour en utilisant

défauts.»Molière nous donne ainsi son avis qui est que le théâtre est un lieu d'éducation morale.Jean Racine en arrive à la même conclusion mais dans un contexte différent, il nous dit que pour suivre la doctrine tragique il faut plus penser à «instruire» les spectateurs plutôt que de penser à les «divertir». Doctrine qu'il respecte parfaitement car comme il nous le dit ,dans phèdre tous les vices sont sanctionnés «les moindres fautes y sont séverement punies»,l'amour et les passions n'apportent

entourage. La suggestion passe de fait énormément par l'emploi quasi-constant des animaux. L'auteur le dit d'ailleurs clairement dans sa dédicace du livre I au Dauphin : "Ce qu'ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes ; Je me sers d'animaux pour instruire les Hommes." Ses Fables ont effectivement la particularité de pouvoir être assimilées par chaque lecteur selon qui il (ou elle) est. De plus, la morale n'est pas toujours explicite : le lecteur, selon ses valeurs personnelles, selon ses principes