Plaire Et Toucher

d’art doivent à la fois plaire et instruire le public. Le public et l’idéal de l’honnête homme. D’un public bien réel (voir ci-dessus) naît l’idéal moral et social de « l’honnête homme » : chez lui « la parfaite raison fuit toute extrémité » (Molière), c’est un homme qui a le sens de la mesure. Tolérant et cultivé, il « ne se pique de rien » (La Rochefoucauld), c’est le contraire d’un pédant, mais il connaît l’art de plaire, c’est un mondain. Les moyens de plaire au public

l’exactitude s’il s’agit de ses buts. Quoique il est difficile de les distinguer, il faut essayer. Boileau dans son “Art Poetique” a écrit: “N’offrez rien au lecteur que ce qui peut lui plaire” . On peut utiliser cette phrase comme un prétexte pour des délibérations suivantes. Un poète de classicisme écrit pour se plaire, pour être apprecié par la société en repondant à ses gouts. Cela peut semble un peu ordinaire parce que chacun, pas seulement un createur, veut être adoré. Pour clarifier, je cite

œuvres ont à faire avec l’indicible et touchent au mystère absolu. « Touche », dans tous les sens du terme, est un mot important pour le propos qui nous occupe. La « touche » de l’artiste (sa manière de voir et de faire, sa manière de poser son pinceau ou son regard, de donner un éclairage mais aussi une ombre et une profondeur particuliers à ce qu’il regarde et à ce qu’il montre) va déterminer la manière dont il nous « touche », beaucoup plus que le sujet lui-même.   « Dans une de ses lettres

répondent ou non aux principes d'art dramatique énoncés par Boileau dans son « Art poétique». Dans son extrait de « l'art poétique » boileau énonce les principes d'art dramatique suivant : la pièce doit plaire et toucher le spectateur ( v.1 « le secret est d'abord de plaire et de toucher ») notamment par son originalité (v.2 « inventez des ressorts qui puissent m'attacher »), le sujet de l'action doit être immédiatement annoncé (v.3 « que dès les premiers vers l'action préparée ») et il doit

plaisante en utilisant le symbole animal, une leçon ou une question morale. On retrouve ainsi dans la fable de La Fontaine comme dans la littérature classique les deux ambitions qui doivent animer l'auteur ; le devoir d'éducation : docere, et l'art de plaire et de séduire : placere. La Fontaine se sert des animaux pour instruire les Hommes. Avec la fable La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion, écrite en 1668, Jean de La Fontaine veut amener à réfléchir sur l'autorité politique du roi

Comment bien commenter un poème en prose ? "Le désespoir de la vieille" de Baudelaire. La petite vieille ratatinée se sentit toute réjouie en voyant se joli enfant à qui chacun faisait fête, à qui tout le monde voulait plaire ; ce joli être, si fragile comme elle, la petite vieille, et, comme elle aussi, sans dents et sans cheveux. Et elle s'approcha de lui, voulant lui faire des risettes et des mines agréables. Mais l'enfant épouvanté se débattait sous les caresses de la bonne femme

d’affection de la part d’Alex, absent depuis son enfance. Il va donc essayer de rentrer en contact avec ce dernier par l’entremise de ses œuvres. En effet, dans la pièce Le vrai Monde? Il remet en question l’utilité d’écrire si cela n’arrive pas à toucher son père : «À quoi ça sert. À quoi ça sert, papa, si j’peux pas me rendre jusqu’à ton cœur? À quoi ça sert si tu refuse d’admettre que t’en as un? R’garde, le mien est éparpillé partout, pis tu peux le piétiner tant que tu voudras». Cet extrait montre

a pour but d'être un retour au culte des érudits de l'antiquité, mais il se soucis aussi de plaire et d'instruire. Ainsi, La Fontaine affirme dans son Épître à Huet que : « Mon imitation n'est point un esclavage [...] Je ne prends que le sens et le tour et l'idée Tâchant de rendre mien cet air d'antiquité ». Il dira également dans la préface de Psiché : « Mon principal but est toujours de plaire ». Les grands genres du classicisme : • L’épopée qui met en scène l’héroïsme. • La tragédie

Rouges, 1893.Questions 1) Les deux autrices cherchent-elles plutôt à convaincre ou à persuader ?Les deux autrices cherchent plutôt à persuader à travers leurs écrits car elles font appels à la sensibilité du lecteur. Elles évoquent les sentiments pour toucher le lecteur pour que celui-ci éprouve un sentiment d’empathie envers

exagérant notre monde. Mais la comédie aussi ! Répond Anne. Prenons l'exemple de l'Avare de Molière, cette pièce dénonce les gens les plus radins qu'ils soient dans notre société et montre … Mais la tragédie à une visée morale, c'est-à-dire de toucher et instruire par la terreur et la pitié, en s'identifiant au personnage et en éprouvant à travers lui des passions mauvaises, le spectateur parvient à maîtriser ces passions et à s'en libérer. C'est ce qu'on appelle la catharsis. C'est bien pour ça